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• i‘:Les dchàntillons; de ml poisson, qui nous .ont éVé en-
vôÿés: d e là cote de Coromandel par MJ3Æ. Sonn,erâ,t et Les-
chenault, portent encore unestçinte rougeâtre. M- bfesehhr
nault, qui Ja vu.à l’état frais, nous dit que .sa coule u f f i t
rougeâtre sur lepcqrps^ .et qu’il .a la ligne latérale argentée
que les indigènes le nomment partait; qu’il parvient à
quinze pouces aèslongueur; qà’bnïe pêche1 eri abondance
pendant toute l’année dans la rade de Pondichéry.et que
' §a c h a i r estinrnq.., ä ;
M. Dussumier a jtussi rapporté ce, poisson de 1r cote de
Malabar.
, Jljle décrit fauve .sur le dos,* ^vëc^des reflets métalliques, argenté
h t ^es Aauc&eÉ àuven'tr ë ■ 'lés fiàge'<nr®S]%p'érieuJres de la
- ’ dos,> les inferiores hlanches.H5joqs; observons^ sur la ppmière
dorsale,un pointillé très-fin, guidffi donne,,une teinte,.noirâteer: il
y en a:aussÎBur la seconde-, mais moins,marqué.;T)esrindividns plus
| petits avaient toutes les nageoires jaunes, et g
de la base deda seconde* dorsale' u n | suite de taches formées parçun
pointillé plus xs^proché:
J ° ^ n^us ruber de Bloch'(edit. de Schn., n. aS,
ih pd qui? - o i f - d ,^ nomme. Wooel-pannab
nom-manifestement analogue .à.,celui de partait. Sa figure ,
faite^sur un individu conservé dans;sl’eaur- de-vie>-a i,e'té
enluminée par .conjecturév comme la plupart de-celles de
Bloch, et est bèaucotip trop rouge.
1. Bloch dit que ce nom est malais j mais iï hé savait pas qup le malais 'etîle
malabare sont deux langues; et c’ést de Tranquebar qu’il avait probablement reçu
ce poisson par son ami le missionnaire John.