'cette longueur j elle est coupée carrément et a dix^sépt rayions. Les
pèctorâlés sont pointues, dé longueur médiocre, .et de dix-s,ept
rayons. Les ventrales sont également .pointues , un pe.u plus longues
que les pectorales. Leur .épine est de moitié moins longue, que leur
premier rayon mou. L’aisselle des pectorales et dés ventrales à une
peau nue; et on nie voüvhi sur ni entre elles d’écailles de-forme
particulière. L ’anale est. sous üe milieu de Ja »deuxième doTSale ,%autè
et pointue, mais peu étendue en longueur. Sa première) épinelse^oit
a peine; la seconde est-iprte, sans l’être autanttque dans le 'c€>rb.sLe
premier rayon mou estMéÿplus long: il m’y en a en tout que sept.
Je compte environr soixante-icinq écailles sur une ligne Ibn^tu-
dinale, et environ vingt-huit Æur~une ligne verticale derrière ..les»
pectorales. Elles se rapetissent et-se perdenL surla base delâ'caudale,
excepté celles de la ligne moyenne, qui régnent^'nsqu’au-dernier
quart de cette nageoire : toutes «sont rhomboidales, plus hautes jjne
longues, et posées un peu obliquement. A la loupe leur Bord externe
est finement, ponctué et bilié; leurs cotés sont finement.striés;
leur bord radical ést à peine sensiblement crénelé, et leur eŸenstail
a dyxdignes,enrrayons. Au tact on sent'la riadfessseHé leursibofids^
Toute la tête en est .garnie, excepté les mâchoires'«et lesttoehrbranes
f branchiostèges. Le maxillaire n?enîa point.
Là cordenrièerce poisson est d’un jaune, de laiton omdn-litbaæge,
: avec un éékt métallique plus pâle et plus.argenté à la-ifacre mférieure.
Be son dos descendent des lignes obliques au nombre de vingt-*cfnq
ou trente, dont les antérieures se ]»orient ver-, la nuque, et d'cuildes1
suivantesdescendent en avant etifioissent en onduklit sur lesVitaés'
1 du corps-à la hauteur des pectorales. Dans le fite&cCs lignes sont
d’un bleu d’acier, et lisérées de noirâtre L’extrémité de L’opereble
est moire. La première dorsale est teinte; de ûoirâti-e; la 'seêbndb d ;
cinq .ou six lignes du même bleuâtre que céllês du • dos, régnant
longitudinalement sur un fond jaunâtre. La caudale paraît teinte!
: d’un bi*un ; noirâtre ; des autres nageoires sont jaunâtres ou r ou-
geâtres. L ’iris est de couleur d’or et teînt gle brun «fwp-lé bkwt*.
L’estomac de l ’omhrme est u a sac assez grandy obtus; .'médiocrement
charnu. Le pylore est près du cardia, et entouré de dix appendices;
coe'calès, bien plus‘icoalrtes’i à »proportion -qitie dans le maigre.,
ïfëus avons trouvât dans ^somie.j'ipm^desi sippn cleset' dans ses in-
j$ia|tin^ d ’abpndaps *cMbms»dev coqjaijlesi ,
■ .'Sa .vessie natatoires est très-grande, épaisse argentée, et .a sur les,
cotés, non pas des appendicesmranchAesfe|amme.les maigres, les
ptriHiU'. \ r p lu 'itu i ■> 'joîqiiûîjflmffE> UroffiMn{P.rtl11 g"-,®WÛrts,
terO^E?^‘Séparés par qes’yr'eplis1 dè‘ l‘a membranè'Wgentée.^om
’ âppamLséérêt'Oïrê* est 'trè^pfedhrfhcé-, et résèenMe pour la structuré
;à:cèlïti dteïmligre. (fn
q ; Son-, sqiïteîêtleiaî’iviîïgbcinqi vertèbBes,, donti.onâgt abdominales ét>
^i^Pï'/fiÆaudaléSç Lès jlf qis i^tne, ..ci^jqmème, jtinq eiîjdestl
-^^^^menfqncerqenb aonç^ye .\qù--s’attache La.pw|siej matattë&e, I La
dernière- ç^stabdomi na,jes a;s.es'apophy^e§,l3n ti^ é ^ aù n é a ti;e t.^ san t
la pi )a i j h i.uSpftjr-iais n e porte « f i t -dépliés. Les ii 'ss'cs^river-
neustes dey«gn crâne, dg^son isK^^^mtâire, préopercuTé,' et
meme^’de' sonCfuTçCapûlaire, ^ m tr^-prononcees!' S e s^ n e s sont’
lès1 ântériéù^e^p’H^Bomprimees et'/platesLW^^^p*, et'ont
Des PoissontWraiïàers analogues a /’Ornbrine.
Qui n’a u ra itp®veriri'^»sjtiarmsëufê* wiigiuaux de Plu-
mie.Tt.p,oîir rait. yâtre• beutjér>dfe«|)3,'ai6eàv-i,âila dasi omfeéiiffes
éir&pg'jèreis, \§,yx>héilodiptère eyanoptere de M. dre,foà|cépède
(t. II I, p. 546,, et pl.. 6,j fig.;d}-l!'Koûs- rt©it!ifiy&omàîe§
pop^seulenaenb.que- c’|ès.t le piêip)ë:,p'Q'S|)p,,qüîe .loin]mue
de Frapfpl mais que le dessintsuf l e - é t é
lemblie .efeit primitgèment let même d|j||t une àûteÿtwme
a';sêfvi à B b ic^ ^ rep r^ â^ leêT^ lfté'm ù b rin ê'. Plümier'ien
était l’auteur, é t stm'croquis^dii^iuaî^st ebcbVe' aujourd’hui
b la Bibliothèque du B>o% ilnilÜvjtiiduve dans', son reeuei^
aveé bèbucbup d?aî^tès M>é^ftitèt?
rartée qu’il avait.'faits eu. P^yèû(*-jllkS:à--patiie ; il en aypflt