HVttE cin q u ièm e ; iscïéînt®ïdes,_
Parmi toutes les 'singularités que Ikm olüèrve dans$lâriamîlle Hes
’‘scienoides relativement a la vessie natatoire, uiie‘<slp> plus Happantes,
~Cst que cette espèce en tfüanquéJtout-à-fàù^Ù-5
Le squélertfe/aiOnzç Vertèbres aMominalis et^quattee/cau^les.
1 -Les- cëlïfltes'staevson'. G ïân fe sont:pfeu profondfes:, étalés arfceaùx qui
’* les séparent peü élews.^1. '
- 1 .([jU mfirma nob. )
La Martinigpe a une ombrine que Efo'iH^u.avfms-^ciie
par M. Plée, et qui* ressemble ex&I^Efl in ai rg ^ nÆ j| la » f p
céd en te , memp par les nombres d o s e s usllùi
trouvQns^eulement
lès dents antérieures^l jaVmâchoire -supérieüdlïet celles, dudniîieu
v des pharyngiens'plus ’fo rte s, les dentêlfpls dk^p'^JiteAqîïlei plus
pronfnQifef£la première' dorsale ^^p^"éleNtéè?pplle®Bté’.nr(Æitre^au-
* ' Jeune trace de'ÜÔteiîaMe^bandes^ r^tdan%ïs^iét4tjactttgl ellîë:tpa'raît
d’un brun dofé iSfifôrrne. 1
D. lÔ*-il/fl*;«A. 1/10; C. 11;
/ ji'Kps-individùs sont à peu-près longs d'un-pea, ■*
f l 1 est probable qüë'c’est cette e sp b ^ b é fl^ j^ l'c ^ te tfte ?
qui est lesfflürummer ou le tambour de la Jamaïque ,j3fl l a
quatri^tféchromis de Brown (Jdm ./p . 449)*'€-é{ quàm&ie.
cjbromis ne p eut être^ çomme l’a cru/Linnæ-iis, jlln ièm ù
poisson que le drum de la Caroline oq.^ogor^i(Mji car celui-
;ei a les' épines âbrsales très-fortes, et Browju dit. du,;sien
qu’il les a flexibles êt à peine poignantes,.
TV.O -M B R tM J F ^ j l I ^ R R O .IIS SO JN 'M E T .
Br&usf^Wwt^ nob.1} ’
., Nous Trori'Vpns dans l^^collectiotis -do Bro.tissonnet uné
ô ïiib fin e arm’èneéfe à l a . q u i j S f ê s ï ' guère probable)
comme de la mer du,Sud la Janialque.
/j^ ^ B t e u r ,.’Â quatre fois d a n s a longueur. Son barbillon est
p o i n ® » i t ‘es'sfepçeiïts''s0nl'en fm/fèlours; les lo b u le |:
au-d.evàntf de sa mâchoire supérieure peu marqués;.ses: dentelures
prCT^&ncees. Quoique fort altérée, on-ne voit pas
I I,^ | p g a it eu de taches:,,è | il'parait bien qfe.q'est une espèce par-
i^ fô^ iè l^ S é^ èp in e s d o t^ é s/sp n t grêles.'& deuxième anale est assez
forte.' %s. ventrales dépassent les pecteralés de moitié. Il ÿ'à'Iièu de
: cr&^m que sa’ caudde-était coupée carréinent. Ses nombres appro-
î chenL cfëjpéuides, espèces précédentes^^
D. 10—.1/25; A. 2/6.
L ’O mBRIIJE- COROÏDEv.'.. ,
■ (ZJmbrina coroides/noh:)
Le Brésil' nous a envoyé trois espèces d’ombrines. Celle
qui .ressemble le plus à la notre
par sa caudale carrée et par l’égalité de ses dents en velours, par
1 jfg^jiVentaçales un peu plus longues que seS-pefet orales, et même par
les lignes obliquas,qui se montrent sur tout son dos, se distingue
éminemment dans ce : genre ■ par neuf bandes verticales brunep, qui
descendent sur un fond argenté jusque vers le «ventre, où elles finissent.
La plus grande conVexité de la ligne du dos est entre les deux
dorsales. La hauteur â cet endroit est trois fois et trois quarts dans
la longueur. Les quatre petits lobes du devant, de la bouche sont
arrondis. Les dentelures' du préopercule sont aussi prononcées qu’à
l’ombrine de France; et la seconde épine anale aussi forte. Il y a