S S ^ k je ne crois nulleme&tf aux s £ ‘Taÿon«^1^8h|eili^ix,,
et je doute beaüèfe'up de§ tréisj^îffifes 'anales. lim e spa-,
raîuàussi que la (figure i au de Renard, rap^Of¥ée .par
à c&,p"Mssôn, .appartient plùsfc&t à nôtre premuante .à^t rois
Jp n d e ^ ^m a ^ dans ^re^ü feil holîàfidais1 de*: peintures faites;
aux ïn d isi k la fin Au d fe s ip tilm é siècle ,>s©us: les y§üx
de Tamird'Gôineille de Vlaming, recueil d’où Renard et
Valehtyü Q*rft tiré preStfîïOOuté&'léurs figures ,1 j’en ïroiive
une t’oùie'semBlable a 1 celle de Bloch, où le fond de la
e ju le ù r f ^ t d’un qàfirne^ orangé ■ tèt. celle dès bandes et
de la caudale d’u n rgris-de perlg.
ISeW nt.'probablement là tés1'vraies étmmdrs liu poisson.
11 y poïte ile^nom de battok.
Z/Amphipriqn' èBRCHèsr.
b ' ( jfmpKiprïon pej'çiffa, n ô b .^Ç t
Un charmant peti t poisson,, d o n t Bloclh ( pl. 3 16 ,gjf§. 3 }
É | fait qu’unp variété, du précédent, me p a ra ît bien devoir
former une fespecA' distincte. v-
II est dün tirangé plus ou mtfins \i£ Ses irob bandes cl-toutes
sès nageoires paraissent blanches, ayee un lï^féfnoir'bién;«cor
lïOjSee. ,$>â bande mù^léâqfé/ferme en avant une .peinte qui ya,
Jusqiies a%$ëz.près de ltépm^--V,ÿ ’* ’ *-
D. l$/t& ; A. etc.
îÇos individus n’Oni tpië, dèuX ét trois, pouces.
Ils viennent de la mer dés,Indes.
1 . Lutjan perchât^Lacépède, t. IV, p. a4o; variété du Lupan polÿmne, ihid.,
p. 224; Anthias polymna, Bloch, pl. 3i6, %. 3yPerehàt de ta Nomll&Bréiaghe,
Commerson, Manuscrits.
■ Klein-=avait déjà d o nné une..'fort>B®nne figure de* Cë pms~
son (M m . IV , pl- i r ,^ g i mais 'celle de Seba f t III j
qiiè Bloch lui rapportera- la vérité avec
dû^fc^Ç îfj| îy ijxàppaftië'ni pas, Il y âM/ia une, également
tr ^ s -b o im e ^ a r^ u c h eE T ^ o n , dans, les Transactions phi-
îospj®Eiqq*es A|.,tL X I, pl- B, p. )< jCpmmerspn l’a
obsgryé, et ep. a laissé une p x ç ^ ^ n te .d è ^ d p tio n ,: dont
M. de.rUacépùde ÿ. tiré >*&&&:: article d \iv ltit/a n perchât
(t- H P- M
^ pùus-vâpprenons parusGte desri jption qqe.le Tond de sa' coidteur
C^K£(frdÉfgr f *ct e e lïëa ë s “bandes d'un bleu pale. Il ne paisse pas la
longueur' du petif .doigt.
h i<|@namerson l’avait ^u. >eti Juillet 1768, %au p o rt Praslin,
dans épi Nouvelle^Bretagùé ÿwoù il se tie n t entre leyt coraux
et dans le s,trouS..d&sf >roches. (Nous lqi Ifesilibhsde nom
mécifique que lui avait donné ^cet habile naturaliste.
MMv:-læss<Éi let Gamot ï p n t pris au Hàvre-jDoBeÿ j;ià la
No“ù v e I^G ù in é 4>pôù. les Papous? le ndmment chêne. Ils
l’onfe ti'oii Borabora, l’und deS’fies de k 'S o ciété,
■Æ\ MM. Quoy -et Gaijmard l’ont eu ,à la- ^Éiuvelle-Irlande
et à Yanicffllp- ,,
Il esttrçq} petit pour qù’on cherche même à l’employer
g irm e: aliment.
AA^MPHIPRÙ&N A TUNIQUE NOIRE,
\ ‘ f^^mphiprion tunicdtus, ’hoÏ>v)
MM. Lessop et Gampt1 p n f rapporté de Vanicolo un
amphiprkm très - sefiiblable à tous égards au perchotH,
' ^iaâîs qui en -diffère,''pâri# qu’il fest plus- aîémgé, et^que l’intervalle
entre'sa première et sa deuxième bande, au lieu d ’être orangé,