jouïl’SQâ^vaipt en embuscade-aumai^é., pour informé
'des maisQnSfàOft; allaient .les bons moreaux. e>Ayantappris
une fois, qu’ilu était arrivé >Tun-rpa&igr-e plus^yand .que de
coutume, il se.hâta de faire visite,auxf e fflS&ijyateurs.,'dans
l’espo.k qu’on -1e retiendrait et qu’il aprait s% part de la
tête; mais-,il n’avait pasren@0e moptéd,%sdiegrés du«C#pir
tôle , qu’il; vit r.çpasserr cette tjlte ,■ que desi^puservateurs
envoyaient,,gopronnéë de fle%i^,.au cardinal Riario,-a§ors
en g^and crédit- cpmmeûièven du ■ pape.;v Sixtp-d^t- Tout
réjoui q u e fe friand m o r ^ a p d e s t ln ? 4 |k un prélat qu’il
connaissait et à qui il pouvait sans ■ dem an de r .-à
dîner, Tamisio s.’ ëmpreksa-dllfsf açnsCttre à-la'«suite deg g,ens
des ^conservateurs^ mais^pour ^pmalheur du paipsite.,vRia-
rio eut une autre idffè.? Jligst juste, dit-il, que là tête d’u'n
si-grand poisson aille au plus grand des-fcardinaux J^^sur
^ “mauvais jeu-dè unots il .l’adressa, à unÉl^Éës^fcollègue'Si
le .cardinal Féderic dêf §ainfe-?Sévérin, que -les^mémoires
d^’\temps représentent comme d’une, taille , dî4w&s&]?ée>.
Mpuvelle course pour Tamisip et -nouvel apeident. duint-
Sévérin, qui devait beaucoup d’argent au riehe banquier
Augustin, Ghigi, fut bien ^ise de lui faire une. politesse ;
il lui envoya da tqte sur un «plat d’or. Gut^é^oi^âl fallut
la Suivre au-delà du Tibrë^^ù ^Ghigi faisait bâtir le joli
palais de la Farnësjpe^qi|e des ehefs-d’oeuvre de Raphaël
et du bodomaont rendu s-frd^bre> Mais Ghigi enoOreyre
la garda p.oinlpil fit re'nouvetêrdes fleurs quejfeaspl'eil avait
fanées^et, l’envoya à sa maîtresse,TCpï&fË4$ft¥ie en^vo^aè?|%ui
demeurait -près du pont-Sixte-Ce fut là seulemënt ique le
p auvro^T amisio, vie illard gros et replet, -après 'avoir^uiru
ïqute-la ville g p une ehafeur ardente, put'sé repaître à
son aise de l’objet d’une, si violente convoitise.
On contfiëndra rqti’un poisson que les plus grands de
Roipë -regardaient comme un présent magnifique, e t.q u i
fais-stiVbiÿver à ü’n vieux, gônrniand le soleil d’Italie à midi,,
méritaitthiem une plaéedansdteS' livrées des ichtÿologistes.
' Rondelet Çoprie^âusSi ‘Cette histoire ; mais il la rapporte
mSîMà propos àM<Ombrine, qui n’est ni assez grande ni
assézSpréeieusé pour ^ia^éîr donnë^éccasiom •’
~ ©uframél (/.. P.^dOnnè êônPaissadkl'ë^un fait qui expli-
q ^ ^ ^ e u t ^ 'ê t f e l’oubli où le malgréesl^t tombé à Paris.
S&esn lui , seè$ poissons ‘â¥âU*ènt q u itté ^ plusieurs années
avant l’i r a d e ^ V o n ouÿrâgç, les côtes de l’Aunis
poù#4$afiter pétiplér eeHe-s'deda Biêè'aÿe, éloignées d’une
ééùtâiWe d4 feéô%à.^feuraient-Mè'*|)'aSfùn"peu plus tô t émig
ré'd e la Manche vers les JoÔt’ëS - de l’Aunis -?1
ôhfe.ùistdp Diëppè>|f‘énrîâissent à présent ’ce pois-
sosù'isôüs le nônï & aigle, qu’ils lui*’donnèrent e n i8 o 3 ,
époque où ils en prirent n eu f o u dix, et qu’ils lui conserv
e ro n t'tan t que la tradition se maintiendra; mais s’ils sont
plüsfèüJs années Sans fen p ren d rè , il n’y a u ra it rien d’éton-
nant qu’ilsfi^nômmasSant,e.nânâ?e“autrement. C e s tc e q u i
m e t »tant d’incertitude dans'lès nomenclatures vulgaires,
wfcce qui jettj! tant de^bnfùsion dans l’histôire dés espèces
qui rfe' Somt pas fixées-par de bonnes figures et des' descriptions
d é ta illé e ^ <
■ R’un dë:Vces aiglesy ou maigres, fut porté à R ouen,
êP<j>ù- MM ^ 'N o ^d e la Moriniërè^ct MfesEfee envoyèrent à
M. le$$'rpé*le Lâoë|)Ù#e'»uÉfe courtê^nôticé*, accompagnée
d’iMéfigute fa i^ 'è n ^ à n d e ^ p a rtie de mtéfirorre', ainsi que
jn l’aMjIkpris depuis dé l’uü d’eux. M. d é Lâcépèdè, p o u r
ne point 1 aisee-r-per dr e -eësprenseigmemens et les-employer
au môins comme pierre d ’atten té, en fit la base de l’article