sur une ligne verticale^ et cinquante sur unei ligne longitudinale,
en »©comptant pas celles; de la caudale, qui
deviennent rapidement plus petites ;. leur forme >est plus
large que longue , très-finement dentelée au bord-, quii&st
plutôt un: peu niât que ^éritâbtenent, 4pt^> Leur^piydie
radicale a quatorze ou quinze petits sillons parallèles et
courts, qui y forment autant de crénelures. Les écaillée
ne manquent qu’aux lèvres, et sur le devant du museau, à
compter.des yeux 11 y en a .sur; une grande partie du
sous-orbitaire et de la mâchoire inférieure. La ligfae laté-r
raie .se;marque par; deux ou trois petits tubes en. éventail
sur chaque. écaille.
( Telle e;st la description extérieure qui convient presque
à tojutes. les espèces.
; Quant:à,L^térieurmufles ont un estomac petit,f^luoit
eo^me. un boyau et à cul-de-sac pointu; sept appendices
ccécales longues et grêles; un intestin à,deux-replis, l«egèrér
ment renfle à l’origine;du rectum; un foie grand,;à deux
lobes presque .égaux, très-pointus, qui descendent jusqu’au
quart inférieur de l’abdpm.en; une vessie .»atatoire aussi
longue que Labdomen, tpè zi l^ge^ s^plei-Ct médiocre-r
ment épaisse. .;
Leur squelette, a. les ,os*'de la tête a caverneux,-.comme
dans les seiènés;.mais les fossettes dërla partie supérieure
ont leurs bords moins relevés,.ce qui rend;la ligue du
profil plus droite.et même un peu concave., à cause de
l’élévation. !de la^eiÉte sagittale. La basé, dé leur crâne est
eqnvexe, et a de grandes, cavités-pour les pierre^ de/loreille.
Il y a à leur épine dix vertèbres abdominales et seize caudales;
leurs côtes, sont de force médiocre, et munies chacune
d’une appendice,* 14
Pôut compléter maintenant l’histoire de ces-poissons, il
suffit presque, de décrire ’leurs'' couleur^- Leurs- deux plus
belles es^*è®Ü|4pnt celles qui portent plus particulièrement
à là Martinique les .noms de gorette ou de gueule-
rougè.'l..
La^&ORETa’Ei ÉLÉGANTE..
^ ( H cem u loh êÉ g a n s} &G$ï^\À:n th ia s fo rm à s su s , Bl., pl. 32$?)
L’une; d’dles^egt toute entière d’un j aune^cf qq, tpès^ifjjiet, a de
ehaque^Ét|?>ep.L ou* huit lignes argentées,‘yfc;.dun bleu dVci'ér
bruni, ‘î>xùn*. -<3©Ws du côté du dos sont pins rappro-'
^ chge^euplua irrégulières-: vêts;l'dj|mtee|elles^écartent davantage,
- et 1r veniTQ.,n^ta^ n’en ,k,pasp'.|®e^-lignes se, prolongent sML’qgé^-
oule et le museau au-devant d®yeux : les supérieures s’unissent
ÿô. à Jeurs^Srrespoiidântes-^tir, la tête;.des ^jjçes-, se^rj^prigent ^rfs-
qu’j^ b c td fd ^ l^ ^ o r b ita ir e s : ïP n y en-a point sbuç la .gqijge ni
l^ ^ ïS îfe ip o itrin e . Les lèvres, la membrane et lfe, .q|â|ous
de la;nalâèh,®ipe i n f é r i e u r e . B a Pa,%<; în_
terne de la ltv p re tla pallie voisine/dé'-^genriyf‘s ap, rouge
vif,., qui gpTbarige en avanl^£l|rangé : l’in t é r ie u r ^ la bburlie est
i , do®fjpale" na^oi^®'impaires jsSm^onvaS^^ le s’'vend aies
'* o f a n g é ^ F l e s ^ ^ ^ ^ T e ^ r ^ ^ T ,
u prise* d’un individu erivoyéJae
?l!|la Martinique par M. Àehard, et'arrivé jaî^s^uet frais?!*
- Vôici à p'ëu.'ip'Tesîtte.proportiorfc âlljîdelptdfson. La lo&g$éi!jSF de
. "sa/itétetégaf^îI^shaïUeur tiers
ifâg'eîsa lptigtieur, totale. S o ^ e ^ ^ S ;\ «& ngj^plus; p respaJ if f l^ , que
du bou:CT^f%nseauA,Sabou,Ae>lfmd u eÆ K h ^ f e f e ^ e a n . s’étend
jusque |bus le bord antérieur de l’orbite.
Les deux- ouvertures de la «îfsinR sont» pn $ (le3*orbitej t O vm-
' sines f u n ^ è l’aujtré : 'la q ^ r o le iir e ûu*pëu-i]dus' haute’ et W p e u
* plus La ligne1 '^æfehtà’ritè ‘diæ‘ptléépef©tûife
~ éét vfeftiéal'è ;1!,inférieure hori^®nÿale^b&®mglereflifarr.ondi.
La dbrsale a douze‘épine^lfortes et pointues, peu inégales, un
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