Z /A m phipr ion a q u eu e . jauise.- fc .
(Amphiprion xanthurùs., nob. ; Jourddia., Renard, pl. 7 ,."fîg. 49O
" Uù^ionzîèùiê' sorte j ièfofin, die çe$ amphrprîons à ban d és,
outre la bande de l'o p e r c u lé c e j le du milieu du-eqrps, a la sandale
toute entière de couleur pâle, ei ne confondant*, immuiii^lan s
l’état où nous robse^^fepavec la bande de sai>Me^Sette,«âldale est
, un pçu,-fourchue , le cinquième f^Qn de chaque! lobe <§e pçolfen-
> îgé§nt en pointe. Le museau aujsi.est pâle ou blanchâtre, depuis lç
front et tç^ut^utaup de la bouche. Les pectorales n’ont de brun qpe
leur base ■ le reste de»feir étendue^fest-de la même codeur que ifcj|
bande?: mais les ventrales, I,’anâle et Ipîao|spnWnt de la mèmè couleur
foncée que Je reste ducoèps, '"V
C’est tïèsHpibbablement une figure imparfaite
amphiprion qui est^ravéê dans le Diction]taire el'as^que
d’histoire naturelle sous le nom de spore T^ydius* '^R fe
figure, faite à risle-de-France,y a été prplMMëMi én t^ ô fS -
r iê e d ’après le -fra is â t elle nouS apprend q k ë ’fe"caudale
et les-pectorales' sont jaunes, les bandes blanches5,-Et le;
museau roûssâtre.
l i p p # i 5 A:. '2/13 SfÉaM P: 19 ; V. '1/5, ' \
Cest ^ussi la geqlp combinaison de codeurs qui 'réponde
un peu à la figure 49 4« Ren ard , que Ifiochi a
rapportée à celle que nous avons décrite la première. :
Nous avons disséqué quelques-uns de -ces amphiprions à bandes
. latérales. ■
Les viscères de Yamphiprion polymne diffèrent peu de ceux dé
Fephippium. Le foie est plus -à gauche et plus-gros. L’estomac est
plus petit et plus globuleux. Des deux appendices coècalès, celle
qui est cachée sous le foie est beaucoup plus petite, et l’autre
beaucoup pltfè p^ssêtque leUfgïcQrresportdantes dans Yamphiprion
ephippium. La- vessie asëdëwné''esî plus; petite.»
Le ip ie rion• ^^.yb^.|^g^e^%itué tout-àr fait à
.gâuphéf'il est huadrilalé^al', en longueur le tiers
de celle, de Jr abdomen. L ce-iOphage „esMtjijA'rf 5 çetj&e dilate P® suite
en u 1 i T e s n f m a o g„ .dipasjàiii un^uè'iijlc *fWie ; ses .parois sont
de 'l’ës-
TOmhd,^"âujjris -(ï"té tùtuii d'e^pi&'âlîp muicël ' côscalès,
d oW w til^ ’ïfeh^pe^fr érPd^wii^'ué r>ésJofefec:; elle
ïtte le- dé^ss^pas : Mù|®’est^|lâ^ê'èiftre feboïd du îfôte fet l’estomac.
L’intêstîn fait quatre ou <^qj replisssùjr fin-même, sans,, mon*-
Ver aucune, dilatapop ^rS’és!p a r^ ^ s^ ifi excessivement minces. Il y
a nue pedie^wwam'. natatoire jB^Bln&hbêi d’un, b ÿ éclat d’argent
Le|^BtMn^.Êat JilânO rougeâtre1 .,(iVfcînë«.fe^n^ati?e--
l’intestin étaient pleins d’henfésAw p
/Lëf squéletië de'®® po^so^s^géueÆ® ej^îent, 00 uze verl’èbres‘;abdo-i
minalps, treize câudeâ'ek^^^s’lif^ré^î&nx sans rjyonf;avant la
côtes éi’leurs a p p e n d i c e s , r o l i u s i e s . Dviil'leurs
il n’offfé rien d^parficu'Herr^ ieS!F‘ofi rie pûiVsfe piger jfjar F extérieurs.
DES V
J ’ai donm i en 1 8 1 7 ’, dans.mMx Règne aniipaï,Me 'nom
d,e premnad'es.k un gexire de., .petits, ]^^b;Sjm.sj.f e eg^vdisins
d elamphiprions, quoigiM^Mnaturalist-es gui en ont parle-
l.es aient p ja e à parmi les. ‘Ghqtqd&é. Ils' ont î^sjmêmes
f o rm ® la m êm ë lign^feféi’afe, finissant soirs'la fin de la
dorsale, sans recommencer .plus b a l l e s mêmes deill| 4 o b tuses
dispose^ sur une .seule rang|e 5j efea Pe u d ? ll|| les
mémesjnomb.res (de rayons} mais leursyopercules sont
moins armés et leqrs^ous-orbitaires le^g»nt davantage*
Le sonS-orbitaire des premnadès, e t c’êst'îà en effet leur