448 iîVREaGïM^BIÈ'Mj:. BGaÉÔNÏIUBsiij
l’expédition* jde la O>ÿia7feetftp<ont- jpris* en grand nfeatfKr-p
à t entrée de la fivièitë5 Bougainville. Sa!chair était ^blatfèlîe,
lamelleusë/'ijiolle, maïs, d assez bon^ïMt.
Il iie nous paraît pas'»qu’il soit question -de ce "pôfssbn
daim, aucun d,es auteurs qui nous ont-prééed^. * .?
; ë a . foSîÿè .«st alongée^un peu ronde^sa, tête un pevkjdéj®piée;
Sa hauteur aux pectorales estjsix fois dans sa longueur t^te^Vson
épaisseur au même endroit n’est queld’un , qUant qn<»-
hauteur. La longueur de^a têî.é>est du quart" de sa" longueur totale;,
-sa hauteur un, peu plus de iqgitié de sa longueur . ^s'a.largeur efijre
^ o p e r c u l e s peu-différente de sa hauteur/,Le diaWliViieiâri’Lrif^t
guère que du septième de la longueur de la ^'Icy W n èûA'^WîC le
troisième septième et le second quart de4la Jiauteni h * Wffîltfîn,*-j
, s^ouyre. que jusque sous le milieu,de la distique d e 'lu il au li/’ut
du museaules mâoliQires sont obtuses,,a*aT;iiTèsù]’ime bande elroiiq
de dents en vel-our?„oqT^n fines cajççjes.^pn soüs^r1rtt£m{ < a n /1
"77 cache dans dë renqsde maxillaire^ mai a daris“fr'ruilicu de
son,bord supérieur un .élargissepient c«nsi(Ié^Blièr--L^bord,
tant du préopercule ëai situé]siï^stance7^ 1e de 1 <r>iFet 'de jffîjfïr-
~ mité de l’ôperpule. Son angle,est arrondi, d u rte v.oil\àpW'Jis;'
aucune apparence de dentelure. L’opéiëule Se termine en ^ cM tè
plate et obtuse. Les Td,eux memb^ u t^ ,,hfa&chio'stèges s’aOrns^nt
l’une a l’autre, et ^’attachent à l'isthme ta dessous, j^]$j
milieu du bord horizontal du préopercule. Je n’y , trouve aûfeîsix
rayons. Il n’y ”a ahcune âfmm^l^Fépaule. La p ç c to ra le 'u sta f^ -
Jchée scSsbz ba§ Jd^d^tee^tfiartgûlaire , ‘.êt' a viÙgt-âeiikvrkÿpM Le
-troisième et Iè quatrième sont les pïu’s' longs?- Le premier*,1 de
moitié '‘plus, Uoilrt, est sHiiph cÔgîÊa'e- à ^ordinaire. ■ ;Uitë grande
partie de sa hase -.est garnie de petites écailles.. Les ventrales sont
attachées un peu plus en avant quê les'pectorales, et n’ont qu’un
quart de moins jeu longueur^ • Leur épine test, faible. Celles de la
première dorsale, au nombre de huit, sôrït aussi très-faibles; et les
- plus grandes-, qui son! la deuxième et- la troisième, ont] à peine
- moitié de là hauteur du: corps st>ûÿ elles. La- deuxième dorsale est
|u n peutfpli^f.élevée.'.tQn y :vtrtgt-,éibq rayons mous,.sans
épine. L’anale répond à celte seconde dorsale par l|^ p lm én sion s,
et a vingt-d eux rayons i nous, mais précédés d’une é[ime' faible.
L^Æâ^aîel e»i?*^MWtr»du, | » i É ^ ïtætp.^^Èès‘‘de la longueurgdu-
jlçGirps, <et pa,r mrtMspaec’^e^âh. de la d$h&le, fdéi‘ l’anlle.
On ha ■ÿin^Çamti^^pplMhs ,> mais,ii]i&^ff en; a que
B. 6; D‘
l # ^ ^ ||k i ‘eqient marqnéMayp
i f f l e s * quitâ v ii^ tlp io o s.
Il ;y, en^a|^©.f^&^^ëi'éé sur une
1 là 'q u e ïîé * - iifséféhd" eri^lfM|qfe'1 petip^^^i'ùÇ Te ' dieslus te te ,
l&q j ’!l'è s ^ p ^ ^ P i© ^ l^ w |||^ â ^^^garhiè^îmà^Is- il/ -n:^ J® ,
'a p v ^ T f n iW jW c l iA e ^ L a l i g n e ^ a r a j l ^ e au-fd'ôs et
, .^u.-tmqs supérieim en, a y |h | ; chacune
I A'3fâ9f9;(k|ûÿf,,s\a <&
t é ' i n d i v i d u 'dëjêz;
mal riiS|?a,^ÿ'frûpLël#é%
a u fm M é îf d e f la " f i l a m l l j d iïeY n lI is ^ q n ^ J e t
’ùMngËlO/nt bienî^vjllilù (^ ^ î f B m m u n ^ u e § s.q
* F aUe^n); ^uTO/lâllfe'îl^Ë eux pieds. La
> -coiaÆeù.r'=du 'dliM est“VèrdâééUyéffl » hqirâtre au bord dtf
, chaque'éè'illej.-Ée véntçêqè^ai'gpiitè5 h-s nâgPoi^'Vtu fiés ef ’de là
,"qii&Uëfioifwun vert brun; les'aujÀefe^îahtehajhes^ 'tâi^t'é^
des bamcmârijés de'ne
i I P aV'Qir MVV^i|4 ê n e n n l?S0 n;l|1 e ^ f ^ P Y ^ f & ^ ^
’1 cr'é> rèi" deuï^^W&prièdrés e t pointiig? EÂ'^fetdpfe, &u fiel
I est obVngpé. ^Le c^naï p I id I éM ^ ;* 4 5 n ^ ^ e ia bde’dîais fnn
des uoe’eûms', 'qui?sont%u nombre de' quatre, ■ urt a,gaüche ^è^ la
branche mbntànte de fes^om1 i c ,^ ' 4 ^cSs dfbrèe. L’'cêsh^Magë est
lo n g , terminé en un sac arrondi uù peu dilaté. La branche mon-
tantè est étroite et lrès-rétréciè‘àu pÿlore. Le duodénum estdaï’gey