dale est en croissant et ses lobes assez .pointus. Il n’a que dix-huit
lignes on deux ponces.
- ' D. 13®; A. 2/14. '
; L e POMAÇEÿTRE DE V a NICOLO. ■ 'y ,
jj (Pomacentrus vanicolensis ®®b.) "
Un autre pomacentre de Tîle Vanrcolo, également rapporté
par MM. Quoÿ et Gaimard, ressemble extr&bTrdi-
nairement au précédent par ses couleurs.
U paraît aussi tout brun, et n’offre de marque distinctive bien
sensible qu’une très-petite tache ou plutôt un,point blanc.,^immédiatement
derrière la dorsale, suivi d'une teinte noirâtre. On lui voit
aussi un point noir dans le haut du bord operculàire ; mais son sous-r
orbitaire est sensiblement dentelé, et a-vers sa base antérieure une
i forte déni bien distincte.’ 'Sl"caudale#rèst i^éd'ioCT'ê^mént ëcKaniifîée.
D. 13/14 ■' T: 2/14 ; été: 3 d
Il est long de déu-xpouoes et demi.
i> - Dés-individus plus petits* de dix-buit lignesymontretade plusxine
légère tache noire sur le milieu" ae-la par^e-molle'Hfe^ K^dê^stile.
L e P o m a c e n t r e a s o u s - o r b it a ir e ’/ e:c h a n c r <é
ÇPomacentrus emarginatus,, iio l.r;
-Un pomacentre fort voisin du 'ùamcolensis a été recueilli
à W aigiou par.MM..Lessonot G&raot. - |
Son sous-orbitaire est aussi étroit et presque aussi fortement
dentelé ; il est comme échancré y parce que'sa première dentelure est
- plus for te,.plus séparée et subdivisée-à sa pointe.-Sa èükteur*pâraît
entièrement brune, sauf la caudale, qui est jaunâtre. La, base dé la
pectorale semble aus^-avoir été jaunâtre : on aperçoit (p iq u e s
points blancs vers la base de la portion molle de la dorsafe...,
- I). 13/lâ; A,.2/l?', etc. |
Sa longueur estdetaois pouces .et demi. ; •
; p eu t^ é tre i/é e tte1 ;esjièbé''!^ ù é S'eba représente
tome1 II I, p i 26, 27 et 28.
L e P o m a c e n t r e . a q u e u e d’o r .
( Pomacentru&ckrjsurusyi&oiïu; Gheetbàon ékrysurus,
Brouss., .
Feu Broussonnet a la j^ jd a u s la, collection qu’il a’léguée
àtfeFaculte de méd'ecinéde Montpellier,’ un pomacentre
de la mer du S u d ^ q u ’il appelait chèetodon éhrysuvusi
et qui a le sous-orbitaire conforméiiodybrie des deux précédens. Sa
- ' forlne/'ge^éralei'est un peul p’lus>©M«6ngue^ ,
D.
Dans la -liqueur 3. par'aît' d’un brunS^àslezUuniforme. L’^ ith è te
que Br-oussbnnèt lui avait'donnée,‘fait; juger que, sa caudale était
> jaune. Il estîlotog dè tro'is.pdue‘é's^><
'rÊ e P o m a c e n t r e a t r a it s o/us* l ’o e il .
X>Po màcen trùs^tæn
MS:I. Quoy et Gaimard ontérappbMé de lisle-de:Frgnce
un
"plus haut, àoroportioù ,J l nuque. p\us'(r^leyéè, à’profil plus tombant
que les pîéc,édehs:-lj;èt dont lèS/sdus - orbitaires, un peu plus
élevés de l’âvant, sont finement -denfelés/ Soi^l foeiff!Sa> M ^ lu r
n’est pas deux fois et demie dans ‘M^èngueu^Ses’ écEÛUëb’sbnÉ aussi
bien plus grandes : il n’en a què vingi-six ou v ing isepy sur .u ne
1 ligne longitudinale, et-quatorze ou quinze-, sUr-une verticale. Les
angles de3®l>. nageoires’verticales sont moins aigus,
D. 1 2 /# | A. 2 /l|; -C: 15 ; Pl
Sa couleur parait d’un gris. brunâtréT fehâqüe‘ëô^d&s ade milieu
plias nacré, et le bord plus brun. La téie, les'opferoulés.éelabase du.