7 8 LIVRE CINQUIÈME. SC'lE?rOÏl)ES..
(silvery-perch). Elle a en effet à peu près la tournure dune
perche par sa hauteur, la légère ' concavité de'soÈT-chan-
frein et les dents de son préopercule; et d?après son exté-*
rieur, on pourrait être tenté de là placer dans ce-gente
mais elle manque de dents au palais, ainsi que toutes lesîsciènes. Sa
bouche; est .fendue au 1»out dxl-museau | sa-mâchoire ifilbriéûi'e est
marquée de quatre |iore& Ses dents maxillaires sotit 'én velours ou
en fins crochets; etîstir des bandes ifort étroitfes. A l’angle âe,>-Son
préopercule sont deux petites pointés où fortes- dents écadées',' et
l’inférieure dirigée vers le bas le bord. intÿptàM fi’éla a que de
petites;le bord inférieur é stà peine créneléSlb?^ffebfenlfe.o’sseùi finit
' par: deux poïfltles plates et obtuses, bés eOaillég SOfiblisSfif^iBdés -,
âpres apxibords: La'premèère dorsale n’â‘.pas des épines très-fortés;
mais la deuxième dé banale l’est autant qu’au-<|®îh.' La- Gaudâîé a
son bord u n peu convexe entre le^ deux angles.
’ b. i l—î/221; À.^-.fcViT; r. ir- v. i%.;
-, J-jÇe-poissonJést entièrement argenté,;men un^légèrej.iviniaplê
bleu d’acier sur le dos;.selon le docteur Mitcbill, il a,des lignes
longitudinales résultant de reflets- plusi^a moins bruns.
geoires sont_toutés plus ou moins jam ^V surtout la (t
l’ânale. Ses viscères ressemblent h ceux de notre-boxf). Il n ’Vvafà-»sa
i vessie ni cormes; ni appendices ; telle est tlÆs^>iftbiïerteb*âî^fe^.%bn
.. pylore-a huit cæcums. .Son estomac est long et ample| #t nJ^dser
plis qüe’.yers l ’oesophage.'
Son squelette n’a; pasde, crâne; aussi .çayemeux que celüfedu corb
eonupuruJDu reste il a le même nombre dè^ertébrea,. çjnze abdominales,
quatorze caudales,'et lui.ressemble ep général beaucoup.
Nous Ltyqu^reçu dçs États-Unis par. MM. Lesueur et
Milt»ert, et àh la Martinique par M. Plée. Il ne-parait pas7
1» .C’est par îuié' faute-d'impression que roüvjvge 'du'dôçtéur ïlïitchiÉiae ëônii^
qtie onæc rajoàs mous à cette espèce. Sâ figure on montre vingt-deux*.
CHAP. III. CO RB S. 7 9
quilf devienne'très srt§qäidä'j:|M.>;iMiitchill n f.• lui jdoitne que
h u M ^ ^ è s * 1
- Nous serions disj^E^â^f^lé^iTcndî^ptout \e percà punctata
de o^jfelldty-Haï ^ 'G a rd e n ,' qui l! les
inêmes'nomo^P^e r a ||Â |p ^
Le Coife ~
®W(§3pYvifià J«oracÂû’v/,nol5,I|', 't
-'’-■-La sé'co’n d é ' & e s p d e 1 ancien Cabinet-du Roi, et
nous’ gltéhipsf^ignbré ?s© n ■èrigii^- mais elle s^èslt
trô'udséfp de
l’avait ; p r i s |f e ^ |f a l ^ T e B Q g j
ronço p u r'
A llS n t - D om ir ^ n S iî-011 M. Ric||ISdqp h nommï
gmnde} qui ,^a[insi que ranao» fiept sans doute-au bruit
quelle- faityreij s’empMeafaussipfUur des'espèeW'iVQkiMS.
# n l’ÿ 1 ëkime' autant que lès meilleurs poissons de* oétte
côté. ‘ J 1
^ '^ ^ ^ è ^ y ^ P e i f ^ r e ravoi^^pCdunt^patlsMn deslm'^it
B I lad a a « ^ a n B n mWfel^^eom m ^ n uW P ^ M.‘ Pôe||
iM s le nom Cèsl^ < to jà t <^jervfc||ur, nu
p.0®% de iong/ qui s ^trouve dans les
proprement un1 d ^noms-de l’orh-
bBiui f d tse’rgapp^rte^ au- barbillon' court ou verrue que
ljpiqbrine §. sojis la sy^Mp|e.
Le -Çàbinê^lq ^erliu^ a plusiéqÿindividus r^nçÂMVjymi$
de ^Surinam» |
1. >J|jsi4ends par HJj&pIjre desigp/e d ms lV?.^ ^Uma
fe-Abm- ÿ&jierüt punctata, àotpèrèa punctata
lia serran.