CHA P ITR E IV.
De quelques petits genres de ' Sciéno ïdes à deux
dorsales qui ne peuvent rentrer dans-aucuns
des précëdens.
Après"'tous lèssgraupes'què nous venons, € e décnrèy 'et
qui composent la série régulière *dê&l§bî^é#à%ux do tales,
sans barbillons, il mous reste* encore q u e lq ü ^ s ^ ^ ^ n fe de
cette famille qui échappent à tous ’ les>'caract|&Mâsi|bës
a u x p r é c é d |^ èW q ù i devi-endront probablement-ehàcun
le type d particulier, auquel m^ ay ^rdm' du
donner uri npm'génériqug. On les' a p p e li^ â ;ÿ iJ ’q n ' veut,
desjciènes.anomalesj mais en se scS v e n ^ t que'Ia n p i J i
-ne -reconnaît »ri^W’anomal d a n s^ |è qm -< |X » -irt q u îl 'n’y
a danoinabe que rèîâd^êïfênt S x .a b s t r a y ir i^ ^ ^m p J
plèfees“- de notre esprit.
DES,LARIMES (Larimus, .qob.).
appellerons de de nom, qui se trouve 'dans. Op-
pien *Südl|| signification précise , des-sciénoïdes A^^eux,
d o r s a l e s f énts ' en velours-, d o n t le c f e ^ i n n’est
b o ^ é et^le museau fort court - l e u r Jj||É p e rc u le est
légèrement d e n t e l é ^
L e L auime a co u r t m u sea u .
('parimus~ brevicèps, nob.)
? L’espèce -ressemble presque rèri tout aux corbs ;
mais, loin d’avoir' le museau renflé et.iproeminént-, elle l’a plat et '
ïextrêrïiemBnt court ; autant et plus court que dans le barbier (ser»
ranus. anthias).ou d-’^Æ ^ .pércqtdes pareilles;,em sorte que. son"
oei l ; qui est assez grand, se trouve dans la moitié antérieure de la
longueur de la tête. Néanmoins les mâchoires sont caverneuses, et
il rfyta&pas, de derrtst aHapalaïs. La longueur déi la tête fait à peu
près le • quart'de la longueur totale $ et la hauteur du corps la sur-
passe^É^One un pétri La fente,de la"héjich'esvar en descendaut^n
arriéré. Lé^ôA^erturesidétla narine sont tout, près du bord antérieur
de l’oeil. On ne voit aucun pore à la mlphüire;-inférieure/ Les dents
sont en'veloursâf%|aAe bandë-fort étroite , ôu même sur une seule
ligll-tLetJ&uS-orbitaire distingue pas plus que dans l e s
'autres? âeiènes' et donne _dé même ‘abri f;/Up«' partie', du maxil-
' laïre/ ;ÿ©|^|la/itête, .excepté le s lèvres:-; et le maxillaire^! e|hécail-
îSqse.; Il desÆé^Üès^ême'ala mâchQire'inférieure,' mais.non
'a lA '.membrane des buiesr, .qu^festj-Jrès-féndue et a sèp.t rayopsydont
Aes-isupêripurs plats-, les.inférifeups' très7petits$Èiri-|)réoperculé a le
limbe, lafigerèt- -presque.sans, dentelure, sensible. L’opercule;osseux
IPI termine par. deux pointes,- mais,‘capheès^p(^ies!a.et si faibles
laipteirie: à^trii^sp/ritiré La premièrèj.dprsal&: esMriangulaire, et
â a .-fe s: moitié la hauteur du^eprps; efli|peompte dix .payons
r;lè|iheUx ,èdi|p®Sïepmme à l'ordinaire. La dp^ïàp.e.en af$n épi-
n èw et vingt Aput.- mous. Des lécailles^montent -entré ses; rayons
iusqu’k-moitï©dl^^,à'autfeur.,-- -
- D. 10)A Ï/28.J A'èâ/lV'C, 11, été."
Lesi pecforales-vsont doflgu§i,{ctippintues;j les ventrales large?, et
. ■ presque .égpâëSî auxi^oforales en : longueur,; L’anale, mpijfâlpngue
que haute, n’a qûe,«sept-rayons mous; mais sa seconde épine est
jfortUscofnme dans-le^ corbs. Cette nageôjÿe ^st,placée squale milieu
de, la ^ eg g id e dorssdq-, â^/fort en ;am èrêde; fanus, qui ^est .juste
entre l’anale et l^ventral'eSjv^QUsJé^AQininencement de la deuxième
dbrsale. La caud&le est rhpmhoidâlej e|fe a une ligne d’écailles sur
son milieu. Celles du fe p f^ tb h ^ ss é z grandes. Il y en a- erivfeon
qûaràhte-cinq sur uirefh|nteMtihgitudinale ’et quinze sur une verticale
: il -s’emporte-quelques-unes.' entre les' basés deHla-dorsale et