2 6 4 LIVRE' .CINQUIÈME- &ÊIJÊMÏDES.
Forskal (p. 5ô-‘, àw*56) dont Mr/de .L a c ^ fd e a fait son
koiôcentre ghanam (t. IV , p. 3‘4® Ghanam fé u t dire
brebïî: Quelquespbhs l’a p p e lle n t^ s s i, comme l’iiolëcentre
sammara, abu-msammer, c’est-à-dire chantre. A Màssuah
on le nomme koont.
L’espp,ek^selon MiRuppel, est commune dans la partie,
méridionale de la mer Rouge' : on la mange; mais^sa^ckair
a une forte odeur d’éponge. -
'Ge scolopsidê ghanam a 'un‘e§Eêfiï«e "petit j -''suivi- d’un- intestin
assez court-»*qui se replie deux fois. Il y â?trois" appendices au
•' pylore,“dont le m ito y en p lâ c é sous la branche montante, estait*
plus’ long. M. Ruppehnë les- a pas trouvés y - cependant nous nous
Sommesfassurés de leur existence.
La vessie" aériënnFêst plus petite quaux-pécédensï, jet, ses parois
sont plus mih,c"ës.' ;.:.
L e ScOLOPSIDE !ÇKEIL>MS^P^
* ÇScblopsides cancellatus, nobr)-
MM. Quoy et Gaimard, naturalistes^ de l’expédition
Fiffeycinet^§èit A p p o rté dès îles Sandwich et „des îh'xs de
Waigiou et dé Rauwac, près djeîj:l?extrémité nbrd-oifel-it
de la Nouvelle-Guinée, unSiscdl^j^^ÈÆâs^^^enïlSlahle
p oui la' formera ,eè- ghanam de' la mer Rongé,!
à milgèaù^ënrcore un peu plus- cdùjtft. et p lw K t p , et nom ’le. sjfus-
orbitaire n’a que deux dentelures s&us sdh'jépinê^L’â ^ te 'u e son
préopercule h’avahclripag, et n’a poliidd’kMi^Veritrant' âpffircldlGl dé
lui Épis dentelures en sont très-fines. Ses épines; â^ale^sautfassez
grêles. La distribution de ses couleurs le'-distingue d’âille.ur^ij|e
' tous les autres : ILpL-pâTnxpxffié ‘supérieure du corps d’un, gris dfâr-
■ '3 et! L&fériéttrëlargentée. Dans le^gris régnent det& b Stades
argentées et droites; l’ürfé'qüi va dt^§oui’c iliau 'tndîeu',oê|lâ partie
molle dé.la dorsale, l’autre du haut de l’oeil derrière l’extrémité de
la* do;rsale.^tJne ligne' impaire ’.part de la- dorsale et se termine sur le
chanfreih;,,iqù'Ms'deux afutres; passant en,avant de l’oeil, s’en rapprochent
sans*lâ tbff(m ^ lp ^ cl^què'Qéfé» dans le gris du dos entre
r lès lig^êiÿ^rgéritées.* voient trois larges taches, plus' pales
q u e Rès nâgeoireMsôwblanchâtres, et il y a uÀê tache
fiof^^^feWe1rvfiletdë%premièlel% la troisièriie épine de la dor-
^~î5slïë ve'rs\sâfilsé^Dans lë’-fr'aas'les lignes pllef s8‘nt.verdâtres, et les
nageoirWrodssâtfés. ^oe ilfe l® r t '^ a t ta ,! et l’iris d’un beau jaune.
D. A V. 1/5.. .
■Ç^ps,premiers individus'n’avaient que quatre poucçs: ;
* Ges m êm é sn a tu ra listç s vtdah sjleu r second voyage avec
le ^ p if a in e Epirville', cette^espàp.e à l’ile de
^ t e i c o l o , eri|pMipht ra p p o rté 'd e sê in d iv id u s lo n g s'd e six
■ K II y/ete a u n à p emprès de la même lo n g u eu r au
-MiklFé* de la dlogfque■ de L o n d res, q u ip ro v ie n t
M s 1. , / , ’ ^
Od-là^fe’Éiep.uis, .très-lpngtemps au ..C^ipet du Roi un
M t it iÉ d i v i d P ^ deux oh pâles de
f i n t e r v a l l e p e f e s ~ d u ' d p ^ ^ ^ y d ï e n f e /pO'în-t.^C’es-t
probablement effete' variété que MM-.- Qu’Oy-- et Gaimard
‘oiit'^fafe-fgfeav^- d après un dessin faifàfenvmer ,"'da’ns le
J&gfhgeHLltt.. Freycinet, s p ||^ 'h o m àe^seolopsis linea-
tusirÇp®'ol, pi- 6 o , fîgi’3;) ; mais I^©usP©rbitaire n’y .serait
pas M’en - r e n d u , hon ■ p lu s1 q u e - les5 râyo'n-s de la pecto-
de ï a ^ h d a l 6-
! ‘ ]É. de Mertens en a observé* i n ’à rbejd-ÜPeâ^ lu ü ç'd e s-
G % to h n s \o -n î es hgnesyè^les sôiijËpIus.flgfgês et jât|nbs ;
e h sorte que Jeydos parâ.itprangé,a|y'^c>jâes l ig n ^ n oirest e t
sans it&olies tran sv e l|||j|j|la tache iioire^sp,voit toujours a la
„idorsale. . .
Ce poièson se prend dans l<ss. p etites rivières et lesvfetares H [ 34