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releyéè de; parties saillantes $ la mâchoire infédewegéhér’
râlement marq&ée de pores notables ; la dorsale? profondément
échançrée, ou même; deux dorsales entièRemènt
séparées > la partie molle longue à^pgpportion ; l’anale ^ an
contraire ,'fort courte;.? le prnoperenk-de^tdlé ,i%<dns
dans la jeunesse, j l'opercule ^osseux terminé;en une ou
deux pointes plates ; sept rayons aux. branchies : ils ressembleraient;
en, .un mot , beaucoup aux perches, s’d#., ne
manquaient de dents au vomer et aux palatins. Du reste,
leurs épines dorsales sont robustes?, leurs écailles fortes,
comme aux perches et aux spares ; tontes les parljes.-de
leur, tète sont écailleuses. Ou eu a rangé quelqnfs^uns
parmi les labres; mais quoique plusieurs dentre eux aient
les dents, pbaïyngiennes e it fotrne de pav#, .comme les
labres, ils u’eu ont pas les doubles lèv ps?, et ne manquent
pas comme eux- de coecunas ; ils en ont géaéralemeud dix
ou douze, et quelquefois davantage. Leur estomac ;Q§t*un
long cul-de-sac; leur vessie natatoire fort grande, et;pourvue
d appendices très-diverses. et souvent foft singubè®s ;
les pierres de leurs oreilles se fout surtout remarquer par»
leur grosseur.
La deuxième série des sciénoïdes se ^compose des genres*
à dorsale continue ou du moins, peu écîraucré^leuE'diver-.
site est plus grande, eWest.parnai eux surtout que l’on observe
des combinaisons de caractères. analogues, à celles des
percoïdes. Ainsi Lon en trouve aussi qui ont sept rayon#,
anx ouies,.et d’autres qui en ont un nombre moindre.
Ceux qui en ont sept, se divisent fort nettement en
trois genres.
Les diagramme#> qui ont; sous la mâchoire inférieure^
en avants quatre ou six pores très-marqués ; les p ristis
c ié ï îo ïd e s . i 7
pomes, qui n’ont que deux petits pores et une fossette
impaim;>les- hémul&n|É qui , avec les mêmes imptessiom
queléspmstipomes, portent des écailles sur leurs nageoires
verticales : une certaine disposition dé» l’articulation de
leurs mâchoires leur donne une physionomie particulière.
GeuX qui ont; moinMfe. sept rayons branchiaux forment
deux groupes très-distincts.
Le premier, qui s’éloigne moins du reste de la famille,
a la ligne latérale continue depuis l’épaule jusqu’à la caudale.
Des ■ caraè®l®e& fort remarquables'y font «ressortir les
dont f orbite ^ t «garni en deëséus de deux
-épines qui se;éroisetit| les ohéilodactyles, dont les pectorales
ont plusieurs rayons sans branches-et prolongés' hors
de la membrane ;des mivroptèref , cp\\ ont à l'arrière db
la dorsale une petite- nageoire mollejséparée du* reste de
la nageoire ; les lobotes* dont la partie molle de la dorsale
etid e tinnale se «prolongent en arrière, de façon à? faire
paradrèd’arrière ddcoèps^diviséen trois lobes*; les ma-
quartes , qui ont la tête caverneuse comme les gremilles
eé seuleinent cmq rayons aux ouïès ^e®fiOy les latilus,
dont le 'coéps alongé, et le profil presque vertical rappellent
leé corypiiènes, mais quiy outré lis# («raetètes propres
aux seiénoïdes dun préopercule dentelé et d ’un palais sans
dents; ontbeaücoup moins de rayons à la dorsale que les
■ viai'€p«®f BÿphènjgSii -5 pf
; Le deuxième >gB©upe des sciéaoïdes ^à* :moins de sept
rayons branchiaux diffère tellement des autres, èt lés
1 genres ?qûi; le ëé «ressemblent •* si- fortÉentré* eux,
que l’on pourrait en faire une famille séparée. Son caractère
-commun est que la ligne latérale §y- interrompt toujours
vis-à-vis la fin de la dorsale, et quelquefois recommence