cevoir ses bandes; il était long d$&ept pouces c’est aniss'r
la taille de celui âè1 M. Iluppél.
Le càlamôiâ^pota de Russel (n.° 31) < est encore la
m ê n ^ ^ sp ^ o è ^ 'e t ponte- exactemenp|es mêmes car;Wt?Tes.
Cet auteur le d it long de ÿ six pouces, mais^, ne parle
p o in t de son histoire.
M. Riippel Ta entendu appeler gefjp'r'ekj' de Alolijilâ :
ainsi get ou g a t est, un nom géhéifqiiérGé qu’il -(Mi^closes
viscères s’accorde .avec ce que nous âvoris vu'.dans
d’aut^e§ glyphisodons.’^
Un estomac petit, charnu, .obtus5 le pylore près dmcardia ; tnois
- petits cæcums ; un intestin une fois aüssilong quele.coip's ^faisant
plusieurs plis; une vessie natatoire très-mine*?.
L’espècp vit en troupe! parmi K^cforaux.
. M.vpOfÆàe^p,ède (t. IV, p. 5 19)'.a fait du |pi$SQn' dët
Forskal un pomaeanthe, sans douté parge que'Ic.vpuige.ur
danois, ard,©êdtl’échancmre de l’opercule fëSmpie s’iLy avait
deux épines^ mais sur!ce point'tous le ^ g ^ ih iso d o h s'sp û t
conformés dé la même manière.
L e Glyphisodon spàrpïdè.
( Gljrphïsodon sparoides, nob.1 ) t
Commerson, à qui nous devôns. tant de paissons de cè
genre, en avait encore p ré p a ra n t dessiné ,un q u e■ VP.'de
Lacépèda a fait graver d’après son d e s s in ^ . IV,. pl. i 1 ,-
fi g- 1), mais en le considérant, côntre toute raison, comme'
une variété d u spâraillon \sa rg û s artriularis). Les nombres
seuls des épiuês, tels qu’ils sont marqués sur la figure,
1. Variété At SpamiBon-f Xaicèçèàé, t. IV, pl.
auraient dû lep-^^erver de-cletÆe erreur : i l ÿ en a , comme
d a n ^ ^ ^ ^ lC s p ^M ^ ^ w â ^ ^ é ile 'à lâ ’dbfââ'Ê'ïet“ deux à
l’a n ^ ^ ^ “§ptfaillbj^en aurai® tous“'lé l Argues,
onze ;‘aî la p r t^ iiy y fD aK a bij-serohcle. ID’ailleurs le pois-
Sjfil' k û ^ êm e , ifél q S nous Tarons;1 trouvé parmi “ceux
d e !G onini^^H, në laisse l« cu n doute' Sur'le'genre auquel
il àppar.ti'è^f^ps|;deûis j^^ules, àü! nombre de plus
d e ê in qu an teg eh aq u e mâ'fehoirë'^S 'dMftügùèht amplement
'de tous lès:>s'àrgTO^^
' ‘ S S ■ ■ Commerson'l’avait
rislé^dè -l|r a il^ ,!,que plûk^pfmfnept MM.’ Quoy
f l 1/ r^'inp1 a e 11 p J > p o |p f f | s l’qiit indiqué danà,
la pà5^^^oo"lagiquî&u V F r e v p J i e t (p! 3g4)
f ^ J l l n °m mÊÊÈgfypfyis°dQ/ï sparoides,, que lui
aviln s'a onh e; mal âp r ï'è^ liû s de notre1 étiquand
ils on-dit^qûèieekféçlt qu’une .variété!du
«patailtenl'dfe M.. de Laeépadre.
* "Sa forme. el^lcmj'ours^J^^Wne tque Aquatriètne fespêcé^
îr-ïSes t iièm,bftsrajit|§àÿ^|
- . etq,
I] a lë!s^cfeaoirbitaïre aussisételit qüe' dans la'prfeïMète ' >
_ S^lC ouleur est ’ un • grMtat'genté, teint.de plombé d # ÿ l a partie
du dos^Une îtàche' oblongbh, noirfe,',mailléei’'îliÉ^èîlÉépd ïûpe
1 - chl^ple té®5té'’dej Ikjqueue/p'dasl^lâ 'fin dWj^dorsale. ;
>Les- individus'' ig^Commefsôn cWslSp^t^ées-îd&'longueuf. Ceux
de MM. Quo.y et Gaimard sont plus pew^hfi "s;
L e Glyphisodonq^çplé. r
( GljpJiisodon màrgariteusj n-obV}’ c
Enfin.,, l^dernier des glyphi§p4©ns' desséchés, de Com-
merson