des points bruns sur les rayons de la secoffde dorsale. Les écailles
sont plus grandes qu’4 l’o'mbrine : on h’eri compte guère que cinquante
sur une -ligne entre l’ouïe et la queue. ^Elles sont obliques,
âpres au bord, et ciliées comme ^ o rdinaire • et l’on y voÿ-iaieus
1ue dans la plupart des autres ombrines cette apparence striée’ de
leur milieu^qui forme des lignes de reflets que nous avorisT^ijà
^mentionnées dâns-1 ’espèce; d,é- Java.
'ONous avons ’compté" comme il^suit S nombres :des rayons.
D. 10 —1/29; A. 2/6 5 C. 11 ; P. 1 1 ; y j i f à Ù J
La caudale est légèrement écbancrée en^croissant.
- jNotre-indiyidu n’a que huit'pouces.'
C’est feu M. Delalande qui avait rapporté du Brésil
CQ-tte ;pspèçe intéressante.
La ressemblance dess couleurs nous; avait fait penser
d abord que èê pouvait être “l e . coro-coré -é^pMargrkve
("Pv17 7'5 ? dont Bloch^stdonne-une figure^ éopifeje, sur celle
dii prince Maurice, mais fort altérée .(-gl. 3oy, -fig. - M t
qu ’il a nommé scioena coro; mais ayant reçu depuis peu
u n pristipome'colaré^â- peu près, de m ém e ^ t qui p a r la
des deux parties de sa .dorade B B M knd
mieux à èés figures, b ien que pour les détails il s’eîfeëtoerte
aussi b eaucoup, nous avons ^efise que _c?e l ^ ^ ^ ^ p r i s -
tipome qu&Fon d ^ f r ë p d r te r la s 'y n o n j^ ié t^ ^ ù e a tio n .
'Notre poisson actuel est plutôt le petoto',rcf^éîiM;fd<f
Humboldt a. donné une courte description* danà ses^Obsér'
vations zoologiques (t. II, p. HBHH