422 LIVRE CliN'QUIÈMjJS. SeiÉNOlDESr
lure; leur opercule, osseux finit en lieux pointes plates.
Leur première dorsale s’£jf§l$e en haute pointe, et la plupart
de ses rayons sent flexibles : le premier est excessivement
court ; le deuxième et le troisième .sont les plus
longs. La seconde dorsale est basse et prolongée; l’anale
est fort courte, etra sa.seconde*!épine à peusaprès rdé la
même force de celle .de&johnius. -Leur caudale est rhôm-
boïdalo ; leursf pectorales sent médiocres, J obtuses ; leurs
ventrales plus longues que les, pectorales.* Au-devant du
museau , entre les sêus-orbitaires ; .estj une petite membrane
transVerse, qui n’est pas loMe! comme dans les
corbs et les Omb fines;, mais qui laisse d e 'ch aq u e oêtiK;
entrë elle etTe sous-orbitaire voisin, une fossette q u ê l’on
pourraifiêtre tenté de prendre pour une deshowëÈtuaîes
des narines'; mais qui en- est fort différente ; celle-ci sont
-plus haut et plus près de lceil. ,Sous la mâchoire inféSÉëUre
il y a de cluftjue cote un p e tit pore et un'grand. La-vessie
natatoiAûest grande, argentée-;Semblable a celle :àes
eorhs ; T estomac, en cubde-sae;- le pyloïç suivi seulement
dé quatre appendices, comme dans les ^étMithes. '
Tous les »èques connus viennent d’Amérique. -
L e Chévalier w baudrier. .
( Eques balteatics, nob. ; E'ques djnerièdfiuis, Bl.
• La-première espèce de chevalier n’a été Lien représ ©niée
pour k première fois que. par Edwards^pUaflo^jet- ce$t
«fiaprèüsal figure que Lihnæus en fit sou c k c e to d o n la n -
c e o la tu s - Edwards iBavait reçue des îles Caraïbes; mais'on
’1‘. ©lihqaij'érTaj'côpWê (Pêchespart., sect., pl? fig. 9).
ge*ap..îvo;èques&d jnH m \ 2 a .
la trouve dans tout* l ’archipel1 des Antilles. On la nommé
gentilhomme ■&Ta Martinique, dLuf*®? Plée nous l’a èn-
^fi^ée;' Serrana à la HavanlfjFo'cf Pàrâ l’a fort bien repfé-
sentéjq^ pl.' 2 . ,fig. -2 );^|(eÆ4bn jfejje «saitüfpo'nrqnoi Linnæus
la suppqi^ d'és Indes J,.édition -.ip ^v jpart., p. 4J06,)>”$ ni
c‘omm‘e‘ïÿ%il a pu lu i t^ausgq^ter le nom sdé guaperva.)
qui est'deTa langue du JBrésüt,* et quê Margrave'<applique
à trois poisicâh^fe^lïS' 4 fièsrîdifférpns( de nos sdkevalie^Sî, le
O-Mc^todorh arçuafu^y», 1§ .JopMU^ diisÈrio ? e ,t§ || ènalUfes\
vetula. ^$,j
fâetpôiséôn'ëst'plus ,ó\irfó’léi.ïlïre l£lfba<t?oit de sa
Méeihû:gé& ; 'et y fait'près du la queue,
‘iâp\e^|i!trlïjtéTFëlte n!fen 'fait ‘V partir de la [pr'eJ-
; ^nnerf dqfhüle^e proiil',descendipr ©inplemeiiI. Dejà'aû’reil.uie ht tète
n’a de Jjipi&eu^ que le quart de- la^engueu^ ^u!;*|rps; elle en 4'
faqssile quart eU-iôqgjaeu^ La première iegtjapssi haute que
Ie quai^. d^^^teühautëur,
î^ p a ia ^h ^ la ;cgnstf3>f amififomtoJEsajdq:feujfo;r. Les écai'iljiy. » y
, grandes üen\ ^a®£j : il j >en
îM^anKfr’sur .une îfopife fomigitudinale. L,U miniRadiés vn.iicaisaint
•»apres’e^finemën|: dentée è$|fu boruFLes nqn^r,ps d e ^ |« o n s sQnt ■
p. i6 _ i/I I^ a. l i e n g; % '-‘j
,4 ■ iLp^cpple^ur^st'un» gris- jaunie.itmurt sur rjtjgf®|é, plus ,pâlè fit
plus, argenté, spqs lfi !^^t“r|ft-,'ej;^eloe|l^è!g^^Sla^geslihandes ou
rubans d’un brun, noirâtre, blanc.. La jfeinrerejest,iyter^
et §f|l duSlèMnc à Ktkiglje MJ^laçîbtau^û':, L’oeil e^Supjson
milieu. La'seçOnae’ part de'-là huqmr, pa§se^ur l’opercule''devant
la pectorale, etj ÏÏi cS^b^tain'peu,^ppimîtitir â fa ^ s e 'o ^ ® y e n -
‘ ' Fjm'e^âtir laquelle ëlïe's’emlll La- troisième, qui est la pïUp'Mrge et
1. Margrave, p. ,i45. A cet éndftiix.ô^^îMacl;.maHa ftoposTa-figure du zeus
Vôïker.' ’ '■
2. Ibid.} ip. .l‘Sôî*iü 8 'Ibid. H i