' r y • V f 1' ? 11?' ÇÏINH^ÈME. -,
et même su» lès uageeSrés verricaiek Cepeidant^èês der-4
niers ^eara&t'||,e|^ que les polynèmes, nous ont *déja||dfferts
presque en totalité, sont moins.-essentiels que cêlaife de
l’absence de dents paktmès, et ne peuvent servir que
une premi èm m^fcatipn.
La famille dds joues ^uifaSsées, dont-nous aVQ»ns traité
dans le livre précédent^ à part la disposifcioaàL&lises*aQ«us-
orbitgire§ % qui fur est^ particulière , établit une sorte de
passage des pgrCoïdes atü-, sciénoïdes. Une partie de ses
genres*, lesseorpèqes surtout, se .lient aux pereoïdes par
leurs-dents palatines/ e fle s sebastes rassemblent 'même
tellement aux serrans, qu’on les a apurent Confondues
avec eux; tandis que d’autres de ces joues ^|®i»rl>ss-éisî, les
synanééesj par eiémplè ; ont lë palais aussi lisse qu’àu?-.
ç » i # %$cife9ïde& ‘
Les sciénoïdes ressemblent, encore aux ipprcoïdes par
plusieurs détails de leur intérieur, mais pn observe plus
de variétés et surtout dos structures plus Compliquées à
leurs vessies natatoires : un^trlsegiand n om h iey a des
cornes encore plus développées que celles dont nous avons
parié dans la description du trigle perlons quelques-unes
même y ont une infinité d’appendices branehues.,. et bien
quë cesivçsâes na^teairesaie paraissenfopàrïiaymr de ©pmr-
munication. akee llèxtérieur, comme presque toutes des
Sciénoïd^ font entendre des. bruits, des grognement,
encore plus marqués que ceux des* trigles, il- est difficile
de croire que la disposition de ces organes n’ait pas quelque
rapport avec cette propriété.
Les sciénoïdes ne sont guère moins nombreuses que les
percoïdes, soit en genres, soit en espèces; elles ont à peu
près les mêmes habitudes, et offrent à l’homme les mêmes
SÊtÉÎTOÏ DES.. : . 3
ùtilités. Presque toutesrlèurs espèces sont bonnes à manger^:
plusieurs.'sont duo go4t exquis,, il en est quelquesunës
qui arrivent à une taille égaie feu même supérieure à
céfié des plus grandes* percoïdes à le maigre de nos mers ,
par exemple, devient au moins aussi grand que les varioles
du ange, ou que les plus grands polynèmes, èt
plusieurs johniu&surpassent nos bars ét nos eerîtropomes.
i La Méditerranée«,-possède trois. poisson s remarquables
Em ilie , le maigre, le c|®br etd@mbrine, qui ont
tCttijôUrs dà être,-et qui ont été eu effe t râppr©chés par les
naturalistes, dont plusieurs: osât eru y ^etroùyer le s s c iè n e s
ou le s rnnbres dessaiseietas. éàvtedi, qui ne distinguait point
assez les deux I premiers, les avait réuni s av te le troisième
dans un genre qu’il à nommé scicena. Il a eherelïé' à en
déterminer les. caractères, et si cèux qu?il a'donnés »iéëoa-
viemrïewt pas entièrement à tontes les espèce» que l’analogie
amène aujourd’hui à placer dans la famille des sciénoïdes,
ils représentent assez bis»- l'idée qu’il avait pu -s’é* faire
d’après les deux seules qu’il eounaissaiï.
Linnæus a adopté ce genre,mâi s©Hy ajoutant des
espèces. qui n’y ajpameOnent^Éf et en modifiant dune
manière peu heureuse son eavactèregênérique. Sesélèfës,
et surtout Forskal, cmt augmenté le désordre en ne rattachant
qu’à une circonstance peu essentielle : à la faculté
que les vraies scièiüs partagent- avec biateCOup d’autres
acanthoptérygiens, de*ea-eher la dorsale épineuse entre les
écaiHes du dos. Bloch, ne considérant qü’uné circonstance
tout aussi peu importante et relative »ans éeaüles des opercules,
a encore combiné les espèces Autrement que ses
prédécesseurs, et un genre naturel -dans l’origine s’est
trouvé tout défiguré. Enfin, pour combler la mesure de