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€HAP. w ÈQpES. 121
CHAPITRE Y.
Des Èques., ou Chevalî&r^Eques^ B I.), -> -
On nè«peut;;éléignèr'des )sseiènes à deux{dorsafes,.et' sans
•barbillons les bque-s >0» ehevalie^.^({m offrent la plus
grand^pesSSembJançj^ ave® Tes maigres^t les corfis;.elç fos
|élmms*'pàc leur museau convexe, écailleux jusquau bout,
ainsi ,qne,l Bt^tiatleiiæBÆ ^ wban les .pores-éet les fossettes, de
leur .-ip^ehoiyeciriférreüre ; parla faculté qu’a la--supérieure
de se TftjâSÈ^pf^riMS le .pebôrcl form;éitpar les, s.^us-orbitaires j
par; lsabsenoe? de detets à leur paliaisÿi p4? la ljougiteur d e
le ip ^ r é^ à iid o r sa le e t la ;b,rièv^fe deïanale. Â la vepfte;,
tsgtite^seconde, fdorsaley rainsi que l’anale 5lest- presque en-
ti^É^uéu# Railleuse, fel&mèxné ilfyd1 d'e*{jpeti||s' écailles sur
une^ g&id^pEU'tie de la,caudale, etpcetté circonstance avait
déterminé LinnæüS' à. placer Tes ^geyàlier^p^mi les/ che,^
tndonis^/inâits-.tdéjà nous! ayqns vu de parei|Je,ÿ|e|pilles
IfljpÜîrèssur cette nageoire' da«n^|a||^e scioena squammi-
pirifiis et' dans' BsOtr'é otolithus pgrvipinnis ; la même
chiisç^SÈ^rxèrâ eîrGope dans plusieurs poissons que Ion
ne peut s^pàrer. des tsfi'^niscj D’ailleurs les dents des ma-
c'h'i^æM dans ^â-^ques sont en^ simpte. velours, et ne se
prolongen-#JSoint en soies^ l f uniné celles des chetodons.
■èorps des. ch'èval'iesrs«lest comprimé,;da* convexité, de
âabnuque, et"- 1T manière'! dbnt il diminpsèlïdfi hauteur et
finit en jointe-vers la queue, lui donnent ,u»Tpte forme sin-
gUlièàüBy qui lui a valu f^pit]|ète%Eeï.cunéiforme. Ils ont
s©pt-.r<aÿ©nS~à la membrand:dè^piSfes,.qui es!tuapézdendua;
leur pr éoper (plfe,@ ffre à peines quelques vesjig^S; de cpene-
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