bandes qu’il faut chercher le ckcetodon saxatilis ou le
•g«*-:de F b r s k a l , n .°B '|||| celui de Bloch.(pl. '$$@1;'
fig. ^Mle choetodon hengahnsis dre Bloch (pl. 2£3,\lig.>a^:
èt le rahti-potà de Russel \'3 mais if n’estvp&sl facile
de rapporter ces noms aux e&pèces précisés qùei“ces
auteurs ont - observées*.’ i
Le choetodon bengalensis a-les bandes pk<&&esȈ p eu
près|a,©mme dans notre troisième espècey mais.i^a^tgte est
toute différente, b t au total il nous parait -dâ-
-vantage à la quatrième. On- neïn®us d it pas commènt sont
^disposées celles d u ga t; tuais la figure du-ra/di-les .montre
à peu. près; commé'dàhs'notre première des Indes;.
Il est certain (bailleurs que cêtté1 * prerni èifé^éspèc'e agrlé
rapportée dè -la mer Rouge par M. Ehrenberg.,\ e t par
conséquent on p eut croire q u e ^ e f td e g a i'
don sa xa tilis de Fprskal. Nous nous s om m c " î||s ^ S que
'césl1 aussi le choetodon saxatilis âte Bloch par
une comparaison immédiate ‘de7 son ind1^(lvi^lèlf*f|R.>s
nôtres: * §& Ifiguré - ' nous '« ■' longtemps imduitsf**®®, férrnur,
parce5 qu’il y dohntfttrois épines^! d’anale ; m à^ -cçst 0 e n
certainement une faute,' pcçasionefe’,5' ^ n S a r c b que
le premier rayon m o u , rompu à,son exlremul'éj âuï-uwffcé
règardé/J§ar le. dcismateur comme une épine.
Bloch, dans ‘son Systema ( p. 282 ), le dît*4, des 'eaux
douces de Surinam, mais sans doute parce qupftaûra confondu
avec l’espèce d’Améfique. Il se fait e n su ite ^ ^ ^ -m e
soir éditeur Schneider, 'beaucoup de diflS.cultésJisur: l’identité
du c hoe to d o n sa x a tilis de Linnæus aveèîile ^ a rw j’
fasciiscjuinque^ transver sis,' etc.«, de Gronovius1. Mais'êes
1. Mus. icht., p. 37, a .189, et ZoopJyyl., t. I, p. 64, n.° aaaJ
difficultés» ne viennent que d e ce que Grbriôvius n’a pas
aperçu Ikcharicrure’’dés depts. Pour tout le re ste , sa> description
est b ie n egMe. d’un glyphjsodon; mais, comme
on s’y attend' bdenÿ ©n ri-ëlpeut-deviner parmi toutes ces
üs|(ëdeai.àt b aip jjijcelle qu’il a euç particulièrement Sous
les yeux.*.
- Jejpensemême que.çqst ici qu’il faut chëpcher le choetodon
rotundiiswm Linn^p^^^urtraane depuis long-temps
-dans èes|^t|m>esi^ans que l’on a ild e y in e k e que c’est. Il
lefdéfecï'KdMs le M«s)%rBï d ’Adalphè-Erêverie (p..6'4-), et
sa description e^ trè s-éobfô rmeï. a^,,ée que nousyvoyons
danSsiapsglyphj$<pfons; mais il dit \ PinnuMorsikradiis 2 6 ,
‘qlco nu m-f-2 '3 • prSoxes* spin o . « j n o mb r e s-son t marqués
•en^;©fei|fels;v -jyesdix^lmb^e^fdQ'udème éditions du Sÿstema
natïiroe'jM Gm elin^pyunS 4 , n.° 2as),'PplfefCQpi;é de
%M0 pède aMpi|t Or, .qui a jamais vu un j'çhgt©4on et
■ipê|ne » u n q u e l c o n q u e , av^Ç* vingt-trois aMuil-
lo ||^ ||y g e iulenie.nt ttrois m o d s mpjusL jGfèsÆpre b est une
faute d’im p r^ p r i.’ ’Mettè^/ijd•'au lieui.d&iiMjÇet tout s’ar-
range : on ^ 3 ^ 1 5 /4 3 ’; A. 2/1 ^ët|e.';;!!^ u s nôJnbres de gly-
p h ll^ d ^ îj On-s eiplique^mcr^e ainsp comment Linnæus a
pu lC jÉ o ire àda fois'd/kméri que' et des Jn d ek Peu 'de
p ÿ k fd d ^ t^ ^ fsem b len t:ïautà»nt que" beux-ci’ dans, lés deux
Jpéâns.
-Bloch n’a pas admis - <âb‘choetodon rotundüw dans son
’System! pésthume,/et'b®afv V e n parle -que comme d u n e
espece '■peu:;;çbhdue-
J ' r Ou,ant au choetodon 'saxatilis d’Oabeck (h:® 27^)1, eest
to u t autre c h o i s i e qu’il d it de'se^JraiteurS et des nom-
1. Ghéiùâtm •rondilieç LaCçpèdfe y- t-j IV, jp>. !$&>’ et itfj 1 .
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