sciences de Copenhague (t. I I I , p. 383}^»by çe qui est
singulier, il n’a point'rappelé ce mémoire dans son grand
ouvrage.1
Sa forme, assez grosse aux pectorales, s’amincit en arrière; du,
reste; ses rapports avec les ombrâtes et ïès übrbs sont-très-Sensibles.
Sa hauteur aux pectorales fait le cinquième de sa longueur'
totale; et c’est aussi la longueur de sa caudale qui paraît s’être terminée
en pointe aiguë. Sa grosseur au même endroit fait m o itié de
sa hauteur, et sa tête a quelque-chose de plus enlongueur.^Le
profil est a peu près rectiligne, et le front un peu dépifjmé çntre
les yeux, dont la position e^Lau.tiers.antérieur, près de la, ligne du
front, à une distance l’un de l’autre égale à ® qu^il y à deWüseau
en avant. Ils sbnt petits; leur diamètre ne fait quefife dixième de là
longueur de la tête. Le museau est un peu- déprimé efc-arfôusse;
perce.en ayant tout-a-r-fait au bord d’un *grôsripore; sa membrane
fea point de lobes : il dépasse a peine la bouche, qui descend un
-^ e u obliquement jusqtfau droit; du bord postérieur dodfeerl. ÿL'e
maxillaire, fqrt élargi en arrière, va un peuphrs îoin.ï Ifèff<|ents
en velours, ^rès-ras aux deux mâchoires.^
la mâchoire inférieure; mais^élîeâ de e ÿ à u e ’c,^^'
vers son extrémité antérteure^ûn^rès-petit b a r b îl^ p hH tù . Lé
préoperculé est arrondi et fixement crénelé. L’ôpércüle 'ossekx se
terpine m pointe assez ’aigu®- La pectorale, attàcheë^tn pèfi-âü-
deSsous du milieu de la hauteur,^a- ses premiers râÿejns aloHgeV,
et fermant Une pointe qui dépasse considéxablemenfiWule , en
sorte que sa longueur n’est guère plus 'de deux fois et demie-dans
celle du corps. Les ventrales,.attachées exactement au droit de la
base ^ pectorales, n’ont pas le tiers de leur longueur,-bien qu’elles
s’effilent aussi en pointe. Je né vois, pas bien quelle a dû être la
hauteur .des dorsales, qui sont ün peu mutilées; mais fenalë ést
1. Ce volpnie de .Cppenbape est iipprimé en 1788. ^article. <ty lonchurus ta
paru dans l’éditiqn allemande ç}è ï ’p H t jo i o g i e ^ e n i7^f|'"et dans l’ëàition
française en 1757.
petite, comme dans Ies-'scièrfe$en général, et plkcée sous le milieu
^ 'longueur Lptaféq Ses épines^spnt médiocres'.. La caudale est
^ longue et très-pointûe.
B. 7; sfe ç ll Wa. C .17;P „
Il y a des écaillés ;'s%.lfa têteyt^ESLféfeî dans les autres sëiénoïdes ,
en compte.à peu près soixante-dix sur la longueur du corps:
toutes transversalement ovales,-minces; non ciliées; et qui se montrent
à la; Mugi très-finement striées-en-rayons. La ligne latérale
. demeure parallèle au dmdet au,tiers supérieur jusqu’au-dessus, de
l’anale ^OT^eLlel- s’mfléchitîp'our; prendre presque le tiers inférieur
- et dfeMeûxprs pafellëlé,'âti bôrdbnïérîeur de 1W queue.-
L’individu^ est ' Sfrig >de* huit'! poueés ƒ dans son état actuel il
paraît’ entièrement teint de brun roussâtre. .
‘ Lè L o s ï c h u r e a -t ê t e , p l a t e . {
"{Lonchurus dep'ressusj Bl. S ch n ., p i. i c i . ) '
jjMàm-S1- p©ile1connaissons que par Ha;ptâfëje assez court,que
Blcpeh lui ^fephss^®i^iar il ne slest plus,.,trouvé dams le
Cabinet d e f a i ll a n t, où Bloch l’avaiVvù. „
D’après ïa rtic fe ^ ^ q u e s tio n il serait extrêmement semblable
au p^éfâedent.
. Sa tête serait, dëprimé,e; sa- mâchoire supérieure plus longue ;
sa symphyse munie, de deux barbillons courts.;,, ses pectorales
seraient .tr(èsrlo n g u e s h aurait la ligne;latérale courbée,vers le bas
dans-son milieu, l’anus rapproché des,pectorales. Ses hombres de
rayons^ différeraient bien peu.
? ’ D. 10/38; A. 1/9 ; cl * lè j P. 17; V.-1/5 ;
mais (et ce serait, s i I’aSsèrtion est exacte^u^e bien grande différence.)
ses deux dorsales seraient réunies..
Il n’est donc pas même certain que ce poisson appartienne
g àce- genre.
5 . ï 9