elte^^iP&uyent en - abondance' unê^exeêjlenté d^rrituTef.
Les pierres que le maigrie a - d&iïs • l!ofeill^^^Pnm'eîJJtô‘ü'S
■les a litres - i||§éjfe-, màis-qui 'Sont^!ç ip | luipairtsb qffe^dans-
le corb et dansl’ombliSIë, plus grauftlS'àfprôp'©^^®»cpreO
aucun autre- gen-re^îènt été remarquées»;*» ark^y1 !âi||j§pM ‘,
qui répèJÉît;vplùïieurs^f(>is' qujâlombré*: a?«dés' <pieü^e'sÿdâia‘s
la têtey et le peuple leur a yti t ibvK^ide’s'A ci lus imaginaïwïfa^
comme.il en attribue à'to%§^[^'OtB>^j^^gùlM!fe,''®Éi les
nommait autrefois^selon iMlom, pierres de ïetilieiiMè,- et
an les partait -au. cou ^êbcMssjitsrdans d^sl|©r*|)urfgae'rir
et imi|^e^pour-prépfÉîir'|cette ‘&aladfe^noe ilif^llÉ^^^wr
pfla quon les eût reçues eÉ|M:Oia y:ï^beMes qrifc$i|jf8ft^k
perdaient leur vertu.
, Klein a fort bien représenté : lés1 pierres ‘'d’oreille ïdà
maigre dans-son T ra ite u r W [w .^ s de pie-rrès"en.'^i^al
( pl. : | | îfig. DD p e lle s so111 Htprih\ Ifip'riplas-'-gi aml'es^-tpiè'
celles dêd’ombrine. Aldroyarsâ^^fonne céUs§$K[p df|®ât
espèces sur la nu me planche, <■ l ; tac*VhdèlCii 1 ei Elï^t>IÿlmG
je m’en suis, assuré. /
Je .Tiens maintenant à la description particulière du
maigre. :••
Le maigre est un, gran< b ^|||jfe qui ne séjpjTclîè&ùerc au-S^sSm»
dé.trois pieds, et en atteint souvent %iùq et quèlqueFois-sixÇ-^sçez
, grés,pour sa longueur, il prés'ente, à peu p^Ëàdormeî-gérféràléî du
bar. Sa tête jusqu’aux’ éûïéy-fait- environ. lèi quar,r dfe$là<d awgfeija-
totale. Sa plus grande hauteur, qui répond au m ilie u ,^ sa wenaierp
dorsale, .fait un peu plus du cinquième de cette même longueur.
Son profil descend obliquement, un peu^çoùYexe à.la nuque, un
peu. concave atrfroht, qui n’a pas beaucoup de convèxité eri travers!:
Son'muséàn'est'mousse et un £§u bombé; des étàrlïés‘iê,igaVûissent,
1. Mus. metallicum, p -736.
, q]ferolk%j,(é3 eswfifc lqs. 1 bpercjaip^ mais.-il n’y en a point
^.ylfis^bs ini.ermaxjllâigg&:. - l e s i u â a x i l l a i j j e s ; . ees .derniers,
teflmffibpfeTi«rlftfp!p]Sÿgra^ ^ 16mbi;et3e.s -ptoissons. ne portent Aucune
|ppfr?fe. ftmist»m|iTjra|ia « l i e r a iijtoingisâl^ajçesi ju§qu’M$a commis&ur.e
des riià‘<-11 n w . w . ] ) « M i l s s p U Æ médiocrement
jieu bliff ^n’allant que
tS1 V1 Sfe* a m i mn-eiua dffilio il^ B « É ilis g y ^ )^e>> dents écartées ,
ÿ(a.telkues.^ ^^ s^p6u»^Eisi^.erabiL§s à proportion,
;_'fiiiiitAb^|)^ÿlifaW«ch§.que|,mâcb®tl^^j|ijb^>PUTa d^beÆneéup plus
jpe|itesyfi,ijJ.i. 'fl e sp r attid^.M»^ im .^^afer.rière ,dl-les
à, 1 jf e élpftyip em.iex js ie ^ ^ tmjfes'i ni aux palatins, ni au
TOifflfe&^iji surtjfa- langue.
■y^ËMliav>kiet, l’ombrine ressemblent au maigre sur ce dernier point,
niais.-ils en diffèrent par les dents de leurs mâclioires, qui forment
ungdisg® t i a n d v e l ^ r ^ 4g^^&r^^em'en^ioe)fns les yiéjii%p@rbs
d’une rangée de dents
ÿ^.wfri )ivp(>"ij|e>i ttT'i^m(-ea.^-ey<yi.t|rèi)'i aa au e i^de^ei|Éfaàé|t^ûM sous la
i.mâGbpiipéiæféri^ur.p-, ,grès1^d^J^|syrnp)by4e^‘.»
- Le diamètre de - l^H|n^/£pmaqiÛ^Je}.six.ièt&^ dè! latlonguaur de
la têtq^jtsâ^distanjfefii.ai^bpugM^ÆU^ai^jn'’estt que^double de-son
d iatpè^ry, . i l j , e s ï | d u .d^n^^^p|lfautre^dé. deux dial‘
p , «mÛI uyfsj.de 1.1 w w j j ® j f nfe iroi^l&sjfplqs^près qué
djn^bon t» din,.ffliasfeajn*^^^^ plu s, grand, etkebf).forme
, .Aaj'membrami^déSi^jnMis^at &ndue^iusquea.s.ous le bord antérieur
de, l’(jieil/,v»e%|o ul enu e.t najLsept^r a.y >‘ns,t,, 4'QDt, .lesii trdjs,- deKnÿgS} sont
d’une grosseur mgtoQ^dimirj&.ijAb.n-t e juaplajis, mais arrondis. Le
dernier .dgjtdus... é tanJ? l )t1 r< • 1 Je r.. on ne l’a p^as tqujours
^;()mpW'&^5^ st^ ù n sil0æi0 |i^ ^ n !a quelquei^feirqiH^é au maigre
Stîïïli ï1,c o,iLRin}au^||,qij(w mqv Linnæus n’en
S on ne ..que: six,aùx|^ji|lg£&.ew'gia^érgl,^ruqiq.u!elles en aient(gept^
a 1 issijbb n^ipif'il ôs’ p';i éu les«T'.< nidn ès.-> ^ ^
Les^iïsjbrbijààres s’ont peu, considérables, et.fort loin de couvrir
:3JOjdpek;dJs; n%=se montrent pfeinL au travers de; la,peau et des
écailles. ■ L&.preqper&ule a. ,c0rmdep é iEai d it .v s y bord postériëur
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