de peine à nous .démêler dans la confusion que l’on y a
introduite,
Le jagjuacaguare; le glyphisodon d’Amérique ,:ie chce-
todon saxatilis enfin, a été nommé ja q u e ta oo ja q u e tte
par les Portugais du Brésil^ p p c e t qu’ils trauv^ieM quelque
rapport entre ses- couleurs et, celles du v$tni%entj!d'é
leurs Mè’gres?1: Ce nom s e eomerve enGO_re,àJla Martinique.,
selon- M, Pléepmais on l’y donne en même tempsp.: un
pomacentre, et notre glyphisodom yqWrtè' aussi^en^om-
mun avec une ëspèeed’un genretrès-voisiu, celui.de chauffe-
soleil. A la Guadeloupe.fdu temps "du père Plumifls|!Qn
appelait notre espêcp actuelle raz/^eî(sans doute/pur dpfc-*
ruption d e rayée). Je vois par l’étiquette d’un 'dessià^dè
M, Lerminier qu aujourd’hui on lu id o n n e le nom de por\
tugaisej qui appartient prbpremehl^à des ché,t ojd *A
"Saint-Domingue.pn la nomme d e m o i s e l l e mé
beaucoup dé chétodons.' .
g .Cette espèce n’est pas confinée aux «côtes de l’Amé?
rique. Nous en "avons reçu p a r.MM,. Quoÿ é t'^ a im a rd ,
-des îlfes" d u cap Vërt en 1827 ,-.et de l’Aseensiàn^.eA i 8 2 9 ,
des ^individus qu’il est impossible de distinguer dq^c.eux
des Antilles e t du ^ é s i l , ;
Margrave, d it qu’elle se -mange, e t P is o n q u e ^eSt seulement
le peuple qui s’en nourrit. A Saint-Domingue^
selon M. Bicord, elle n’est mangée que par- le.sNegrés pau-
vres. C’est lotit ce que l’on sait de son histoire.
.. Sa forme est comprimé^ et. ovale. La’courbé d e son dos èt celle
de son ventre- sont à peu près également convexes. Sa plus grande
. . hauteur, au milieu du tronc, est deux fois et un quart dans sa Ion-»
1. Margraye, loç. cit.
gueur, la- caxidaIeipÆ.glâ^è uet, emnemoraptant pas cettR nRgeoire,
iiïépaisseur eSfftrois fdÉkfedemie
fMa-nsda d’ùæ-los sç ^fejinue en descendant tâtyec
.çellê’du brékdeUâ .bouche ’W e lle devient
vqnl que la supérieures! sel relevé
p&£$$&La< longueur!dpla?;têïe esl||priÆmrfe-'dÈàqpèid'àu« la
longueur* rpt.dle îÜsà? haritêAkéM u n . peu STjpér-kure à sa ,longueur.
rî^Beèl« est: tout eùtife^3aû^l&m|M^.>|i®^êure'.et dans la moitié
1 aritérièurei^'&s^ diam'ètr.eiies^à.peu prè&r^khéfcade la;, longueur de
là|’tîiâte..iL’a Kofà'epkeïEs.^a'u bout-ld»? m u seau é t fort 'petite ■ fekr^a fente
n'e®feûd|pas m oiti é'-d^ifflieàpaG&?, aa-deyânn MfoJ’oeiil. (2bi£^|qe,.inâ-
feeÉoiÿe a'uné raïçgé4;diè.tr-entewx aljqqa^arite;dentsnnvu'©Jnj; serrées,
égâlesM^StjB^ « terminées éniib^pàpÿ.celles- d’en bas|^«^ut-^ég-ère-
‘menteéfeKaMîréèfe-Il n’w s^ a^ n i a j ^ p a l a i s . n i q u i est
pîdW(i,,q)lal<ex^-?r(icM^ë:(làrî^è^>tÇ'g.d(‘ Lub^ifehé, Le, shû^Odât-aire
ést^éiiî'é]fe^^^^Pétend'1-s^ûs l’oeil- G]gj^fïe^^'èl)andë(a|à||Çéferoile.
S&sippce^estvv^inéeilJe^-’aiSpu-aperc^oir'^mèmeiâi-Mdfeupe, quiuù
seul - oTÉfioefcà la marine ;i il^est petitM#,nd., .eUta, çej^b^M^ 1311 p eu
saifi-ans. Le-Lord postérieur du préopeircule ipaoptse un peu?,; obliquement
en arriéré, eV ^A fe îilign e » naals^s^n, apgjsi,é|if* arrondi -
son lirnbevést fort étroit. L’qp'erculë a en^hâutpür lè double de sa
JongùeuRoS| partiedsseust»5ïïégërep^nt -échancree ,vérs.de h^utpar
un.üyc- rentrant-, y. faitidèux. angles saïllàns peu marqués. La fenté
dess&pües ne "va que. jusqu&qtdi^soùâ' d&Ææil-, o ù les?» membranes
dp..iidjiamiea c.ol.é--s*unissénl^.etiembrass^it ffisth^aje' en dessous : il y/
a siafti;a,yons à^ehacbii^. L’épaule’ n’a pas' d’armure pârticülièBe.« La
pectorale Rattachée iin j^eu,-. obliquement, au-dessous- du milieu* de
la hauteur, a le quart dé lafLopgJ^M totalej elle est, eoupéet en
demi-ovale,, ^ et a dix-huit râyons. 'Les cinq ou sixq u i suivent le
prem'ieri&onjÈ les plus longs,.
• ^ v1 PH d . 2/12 ji-.pî 15; P. 18; V. 1/5,
, Les ventrales s’attachent près l’une' de l’autre vis-à-vis le bas. de
ïattache des pectorales 5 elles ont un cinquième de moins- en longueur,
et leur premier rayon mon leur forme une pointe assez
’ '■fi. u W ' -• ■ • - 4 3