«dessin qui a doimtf;Keu, dans l'ouvrage: de M. de Lacé-
jjède (t. III j piil5 i rj , et pl. 21,'fîg. 2 ),^ l'établissement du
labre kololépidole. Daris aucun cas Ce^ne^ pleut 'ê'fcfëvqfuun
maigre1. :
Commêrson avait pris “ ce poisson au„fort Dauphin dé*
Madagascar; il en ava«it aussi fait une, description, mais elle
ne s’est pas retrouvée paraisses papipsygn-^çjj^tegque,,pàu.s
ne Savons rien d eL eA <ïuïl!avâit .f,!hsU5V;^sur,ses habrgude%
ou sur l’usage que l’on en fait. - ,
Selon MM. Quoy-et Gaimard ,> ce poisson est pair's^iï
abondah'de une~dës 'xichef^ë1^ de la ville cffr Cap^-fSMque
jçfhr il s’en prend des milliers à lhifmeï <m,J ou â'fl^s’mie.
Otfle sale et on-le sèche comme la morùe. Il’est d’un bon
goût et a la chair ferqie.r J, . _ . ,., .... : -, ... »
L e BAJÆAr 0;^. ;M^IG‘RE
(Scicena p am a , noU.; B o la p âm a , Buchaix.)
Lé b o la -p am a 'de 'M. ( BhchapâhJ(‘p. et pl.*' j|â<-,
fig. 2Ôy ressemble aux maigres" par le rang de dents io f te f
et pointues qu’il a autour fea ^ ^ p â q u re ‘mâchoire , ^ par
l’extrême .petitesse de^so^i ^pine- apâle-;*qi|jsprrâ'pMiphe
unipeui d^shotulithes,!,parce qup'gâa n|âçh|)i^é>i&fépje pre
n’a que deux trè s - petits p.oresiiàÿ silo» extrémité
il a des .caractères |bien distinctifs dans, le n om b |e ^ e ^
rayons hiouSü dé-sa dorsafe;,, qui ya_de quarante j j , u n
à quarantf-cinq^-.ehLdans la forme unique de Saj y essaie
natatoire.
«t «Géstde <poiss:uill) q u ifilorsqui|inV que ojr iqiiip®^
potyE^j ' ^polte .• plus spécialement à Calcu tta y-faaaaem' détourné
de merlan (yvhiting ) ; mais il devient, bien plus
CltAJP. I. S'CIÈNES/PROPREMENf DITES,
grand qu5e «notre“vrai hiérlan ,te t l’on en v oit de quatre à
cinq pieds. Il grande abondance aux embouchures
du Gange; màis il ne rémohte pas plus haut que la
-maréeftdLorsqu’il esj b ie n frais, il fournit, une nourriture
l^gèYe'iè^|sl^lusbfé.•3 '
MBRng ën^avéris re c ù d u B en gale mn É^P$'gfànd nombre
d’fndividu's de iH ^D u s s um ie r, Duvâucel, Râynàud et
Bé lë ifc e i- ,
M. Raynaud en ^q jris^u sâî dans l’Iraouadi, qui est le
grand fleuS d f v h , et il i^ g ^ lp p r e n d que les Birmans,
préside Rangôun, l’a®%llent rabantin.
'Sa jet renflée , principalement aes pfftfiFp son
;î;^iuSëâmf'obtu«, «5^iûqut*fcfiïmifi( e , e f s o n oeil pfûs petit qu’aux
-mfai^ré^‘et<'’a lk plupart despdh'hïus; Ufe"1 plus grand diamètre de,
' ^gët oeii/'quS?êst le longitudinal, n?èst que le huitième de la longueur
;J ::d e 'î|p i|i| Il estlpjâef^a® quart antérieur. L’ahglemu prqbpérëule
^esitû oVu df et diiièie. S'es dentelures sont faibles. L’oper-
, "’f^ h le^ l^ ^ ^ e^ r r th ih e en déuxqiointesi pliïel:-‘iWû]'repli 'écailleux
^pdè* la* pëâii quiîdëüt au^u's-orbitaire, iegne Jusqaàux inlermaxil-
f^ L iï’ê's,'er qûâhd'lâ' Kèucne55 se~férme, U. HAvra^Pe ,e:n fièrement le
,r maxillaire, quoique ce, dernier s®Æ è s1é l^ ^ e n arrière.' Aussi le
maxiilâïré tf^æ -il point est-wxTpmÉieU^^^^m, par
péau'^leiMblk’* Il y Irarelî éeailles à "la mâeh'ôffe inférieure,
î^‘f iîiM^îïfdiiçmx lè\rc»; ifm/e^ccriei daugSr^Wiil «nîlitj^^rlies dents
aüx deux m fm lir e s ‘ÿ p W p f î É r a è éjrdiwp de fémurs rafr, et
il y en a de pltts une ijângé# de forais etpoihtu.es j ^sWjÿcartees,
dont deux ,des,xantérieure^®hr u n preü plus lç^ïgttês à Sa mâchoire
^''‘ supérieure, éyl^raalérales à^mférieure. Il y eh a au|sr rfnmilieu
deux un-peU grândes, 1en^ï^pmae f on,pbrLrj'iùr pi'ëstiuc^îhssx bien
en ‘faire ûü' Ûtolithe qu’un’ maigre. béS^ulraj^M oe fliystf|)J^i<ifrs les
“ bxit cohiqûes, et lès inférieurs en Ye|©^®fTîk première* dorSâle est
gukirn-et-^ n’a que des aiguillons f|;^pl^f'èles:rh’anale n?en a
que deux fort .petits et presqù'e^caeïîésdans son bord, comme dans
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