vidus des îles de Waigiou et de Rauwak, et ont décrit
l’espèce dans le Voyage de M. Freycinet (partie zoolo-
gique, p. 3g i) sous le même nom que nous. Le plus grand
de ces individus n’a que trois pouces et quelques ligues.
L e Glyphisodon abdominal* .
( Gfyphîsodon abdominalis, n ob .1) jg
Le troisième est facile à distinguer d e tous les autres,
parce qu’il a la tête plus longue, que haute, e lle profil concave dès
l’entre-deux des yeux. Ses bandes sont placées de manière que la
quatrième prend de la fin de k partie épineuse de la dorsale, ètrla
. cinquième de la fin de la partie molle, comme dans l’espèce d’Apié-
rique, avec kquelle d’ailleurs la forme de sa tête empêche de^j^Sm-
' fendre. Il ri.ofià à semblé que ses ventrales sdhV uri'peu plus, en
arrière que dans les autres espèces.
g | | nous a engagés à lui donner l’épithète
(HabdominaUs.
Nous le devons aussi à MM. Quoy e&.Gaimard, qui
lo n t rapporté des îles Sandwich, et qui em ont* inséré la
description dans le Voyage de Freycinet (partie ^ l o gique,
p. 390), Ils lui ont conservé le même nom Spécifique.
L e G ly ph iso d o n d u B e n g a l e .
f ( Gljphisodon bengalensis> nob. 2)
Nous avons trouve le quatrième parmi les poissons secs
de Commerson, etril nous a'été ïhcile d’y reconnaître fctfit.
Qiïoy et Gaimard, zoologie du Voyage de Freycinet/jü 3§b.
2. Choetodon bengalensis, Bl.> pl. a i3 , fig. 21 Chàtodûn saxatiUs, Forsk.?p. 62,
n.° 87 ; Labre macrogastère, Lacép., 1. 10 , pl. BgÇS.. ,
ginal d’üne figure qui est parmi ses dessins, ët que M.dé
Lacépfèdje ta fait graver (t. III, p l.1 9 , fig.3)so u s lë nom de
labrè macrogastère.
■La.; comparaison Ja plus 5 poignée que sj’cn aie pu faire
avec A’espèce d’Amérique j ne m’a donné que dos différences
bien légères, et dont quelques-unes ne sont peuti-
ètre pasjÉôhstantësftf,>,%
, Sqn ^oiiss-'dTbitïire'. èst-pliis, haut, «t eetteùû’réoïistanee le dis-
' tingue iüâfesi des iS&ux p'récedens ‘ sSon pré’operculfe, pour la- partie
de la joue, l’est un peu-moins; II,ÿ a une bande de plus, c’est-à-
dire qu’en en voit,une venant de la puqup, tjuatre.des différens
points de k ,dorsale, et la sixième en arrière de la, dorsalp, mais
'.tout prè's.de^Æbord.post'éiieW.f Quelques-unes des- écailles,dispo-
sées .au t èw ^ e dia nurfqfe ont leur chèque jjjlus brillant eit plus brun
hue lés%utrés- ce qy à y ferme ©ompié un demi-c6lliér. Le bord
de la' do‘rsaie est m on\‘v
..M ^Q n p y o t Gaimard viennent d’en rapporter de beaux
échantillons de J ’île?de Y^pifiploç
Ges quatre 'poisgonsiparaissent aujourd’hui tous plus; ou.moins
, .^grisâtres ou verdâtres., èt ont des ^>andes; plus p u moins brunâtres
ousAqirâlreSp suivah ipétat plus ou^moins parfait cite conservation
. où ils se trouvent1) ils^ont tous les'mêmes nombres de rayons,
p.'i3||jS ;
„ -si ce n’esVj que/quelquefeis, dans fa. même espèce il y a un rayon
mou de plus à la dorsale,et*à'Tanale. •
Dy A-' W -
Cest »parmi ces différons glyphisodons verdâtres , et à
1. Mj, Ehrenberg, ,qiii a dessiné sur le frais l’espèce de la mer Beug^nous apprend
(ÿâ’el^è alé corps aisjf ïïir,î{i?iifFdi [ilieuâtre sur les flancs^ef'd» verdâtre sur
Te’ dos, et lès bandes rioîrësT"GesTéîiite^doîveftr'st relrouÿér, â pêudcTefcoseprès,
dans les espèces du même groupe.r r