méat qu;ils font entendre un b Eui-t^^^MGimdemerit;, comme
on le sait d’un grand ^nomlue ^^^Ëànes?."'
Ëeur nom ^^Êe^o p é ^cMe 'èn ^cW[d t^ 7r«/x«^Kj^ erelè7
et de
Le PïËfêÉrEfOME KAARANKi'i,
\Lï$Èm o ma RâigJiah, n 4jPffin>
Plusieurs d é rivés pristipomegpont encore- la partie, -épi-;
neuse-dgîik dorsalé^asSe^Slepéeiâ la partie* antérieure , e t
séparée de la molle p a r une légère» échaojemre ; telle|§Ét
l!^spèee;i qui se nomme kàakan à P ondisbér^, ?dS©ù ellè
nous a, é té envoyée*.par M. Leschenault.
3~%éb1; ûri5p Æ ^ c ^ o b l n n ^ g Sd
»Haufeur5 aràx pectorales / est trois’îbis ctdëmife*iâns'ssà^li(!f® guérir. Sà>
]KiUclie-e!est;pksÆndaepiSc[trê; soW l’oeil:.&s ‘derfititeoirtït îiivcl^].^
serré, et le raégoestâriéùr’ Jae ‘Ç^pasærpas beàucoup.;rauîre, bg;:sous^
. ...orbi taire grand et sans dentelure, s’unit ,par ^s^éjaililes^ a|waçt la.
joue. Leprpéperculfe a soit limbe. trèsÆggpAgrA- | ’m g îé ,f quLpst
arrondi el^rç^imneait en arrière • le fait
upé sailËe oBm^ autour de la if o ^ f le postérieur,est un
Êonda^è/aléatéK à dentélu^^^^ffiÇs, pointu*'?,4 i^^féiâ/pT^'ecar-
téês et plu s larges-Vers d â r^ ë : e lîè s^ flé ïïd é iif au^i4 u^B?M^féé
rièur. L opërculé est obtüs, sans pointe'lensible. U ■ y;''a^sepé'^Éiï^
^ la membrane des ouïes. Les os de l’épaule ne .montrent aucune
dentelure, aëi^ce nléfo quelques' vestiges au scapulaire. , „
Lés. pectorales sont pointues, etjcomprises un p,eu:p'lu|^de quatre
fois4dans la longueur totale, Les ventrales, également longues et
pointues, ne dépassent, point:les pejripraW; Les ejmjes^orsaïes
soiÿt fortes, comprimées,; Ætlf tse replient dans là 'rainure'du Impi
laprêmièré esritrèà-çoùrte, lajSfecori.de uri'peu moins'; la-troisième,
la quatrième et la cinquième sont les plus'longues. 1 La quatrième à
moitié de'la-hauteur du^Côrps.’ Elles diminuent jusqu’à ladriMiÉS|
qui est moindre que la deuxième; la douzième, qui vient^après
t$lfé<dif^c®to?e, sé^ ^ lenan peu. Il ycàfquatorze rayons mous, à peu
et dp'iÉ^^He cette^iwSnaê* épine.* La- première jqpône
J™^æsd'bùu$te;-mais 1 a -~scc (•jpdë.uKtài^^jaike.• surtout en gros^ur,
^fâtfméetlmgitnSinalemenfrà^^^M'aptémemE elle a les dette tiers
’ i:di^KaTltmt»i^ip^^êl®^®s®eMeà,’d'u i^oftié de la hauteur arix
pectorales. La 'tfoisMhêésl feîêàitGètip^wllgf’ële, 'étl-Èiri quêflèk ueux
tiers dè|||Ilonguep-r;de ilfofdîilnnrik.t ojfe^sJj sept rayons
njôéisJi>La''eaüdâlp est 'éèupéfe« un peu «en croissant.;^|>ri' -l|te supé-
rieur est, umspeu plus, saillant : a des* écaiüe® sur la moitié'de
pi4i'*hî%; il n's | i d ^ r i . f » < 3 i S î r ^ t
Les th>ît
mWÊWiJ’-
’ MS(-mt grafkl'es*et ée|uïièrêment :|« |ie n
trente-âîx Siïr une lî^ne1 ^oh^Hpdinale jusqu’aux petites de
la câi!f8^®Jtctièil|i *Qtf'g^àtéfKê.‘fsuréihé lignc|%^||Hp,4 "Leur 'suVJace
drfs’, rûaisâi fâéfitteSt qu’il faut lo-ii^Lfebur
àén'àpercevoir. Lâfïj^tt^ latérale dst parallèle*ati dos; elle seJmarijue
par^une^aiffie^ir la,;h|se „de cjiagjzeéçaille'.
M^^^inÆvid’uS: dè^^Mçlq3araisfeîi.t Bïanchâtres^t argenïés. La
t Èasê 'de^^'s^ëc^lfetè'Sljtsabïée par de petitS‘p©’ints brüns très-jin^
.Ve^sqÿés^'sfers lell^s'llo cppefè%fe rembrunit u|i peq, epdè petites
^ ta ch e s• brunâtres y,paraissent semées|^^^af régulièrement. Sur là
membrane dev|aiîo^saWgQqt.,dès suites ,«Miches., qui y forment
Lqs.ahtce§ .nageoires sont jaunâtres. Le bout de la cau-
aale est teint de noirâtre.
Ce poissbliatteirit viiigt pouces ou'deuxt pieds de longueur.
De: é ^ ^ 'r^ a n d o u r on ne le pêche que dans la mer. Il
est b op à man g èw J^ îA ;
Mais il vient dans la ri|iè |e d’Arian-Goupang des individus
plus petits,, et qui passent pour les jeune^de la mêprie
espèce....
Leur forme est semblable, ainsi'"que k s ’noriahfes.# leis. s p o r t s