LIVRE .CINQUIÈME,9 4 SCIÉNOÏDES.
L e JoBNIUS A GRANDES TACHES,
( Corvinîi rnaculata, nob.) ; .
Jusqu’ici tous_ cSs* jolinius •’©nt de . vingt-sept % trente
rayons à là -seconde dorsale. Nous allons maintenant en
décrire qui hep. Ont que, de. vingt^dqtùsîà vingfcquat-re. Hn
des plus faciles à caractériser est le jo h n iu s maeuIatusWm$
Bloch (’édit, de -Schneider, p. rp.),, nommé à Tranquehar,
selon lui, pulli-katalei. M. Leschenaultno.qs l’a env(w:éfd;e
Pondichéry -sons le nom de vqrii-katelé; -et Je ts.aMkulla
de Vizagapatam, donné par Russel|,toi.,”& âA iv
On le distingue a dîna-bandes transversales, bruîtes .ou n om s,
qui descendent jusque vers le -milieu de sa' h a u t e u r . u n
peu plus bas; mais qui sont quelquefois inten omjyaf s r l d< gf nj'w n i
alors en" ta c h e sn ly fenrai une derrière1 les ouïes, mu mu -'yj-'tli
dorsale "épineuse; les jtrois dernières'sont sous la-dçuMèim dorade.
Ses nageoires, sont jaunâtres , excepté-1. jj>t sale, qui -est
grise; et a près de1 sqn bord une"bande.'ndiret-Son înmeauteFÎt ùn
peu saillant. Son maxillaire^se. dilate un peu v'érsdû bout. Le |pjP
jmier r ^ g d e sas dénis esi as^e/ lo il. Les cfcenéluns dejn^üspi;(‘ij-
. percute se ^distinguent assez bien, ain^ qu e les) deùx p®inte§Splâtes
de son opercule.^La seconde surtout-est .assez maïlqd||p Sa tj^p jjalg
est. rhontboïdale.
; * m. -10 a - 1/28 J A. P. 16-V. 1/5.
Nous en stvons vu un individu d é ïranquebâi* donné
par Bloch lui-même à Mi Chfuiês>GoqueheÉt:;:®ffl-Æï)iEte quoi
nous sommes: certains de lèspècé.^';
M. Leschenault nous apprënd que^Êé1 poi-sSÔn pa-rviênt
à environ un pied de longueur j qu’on-le pêche :en abondance
pendant toute-Fermée dans la Ta de. d e Po n d î ch ër y-,
et qu’il est bon à manger.
CllAP. III. JOHNIÜSi 9 5
d)ah&s|f^|pôrt;éàd'è-la ootp de Malabar par M. Dus-
sumier pourrait b ien m’ê tre -que le jeune dè ee maculatus.
hvges b'andsS'sérit interrQmpues ; sa dorsale mo'ïïé'la Chois taches
% S^isr'i^i^ld’es^ e is '%aiî|le%Vqm »lui ^^^^p^RdèUl ; l’épineuse est
4 ’Prèsque- to-t®5è >iî@fr&: Il’ÿ a ^ k
^H^âhdale, qui MÉ* tÈès|[)ohnue S<>'n;>M%ï'> paraît bien moins élève
que ne -le Apij^.eme la,figjire de esl quatre
^ P - s et demie danV\a ]|ojigûeui , / L ] m e ligui e ne 1 ^ rÈontre- que
^■ ^Wis dèmiè." "
L’individu est l'ong (f^ fiit re ‘ponces.
'•t:
Y lé e r v in u caMteaJ nph:- ÜutjatifÈi^p^Aÿi Pae^M j
Il y a dans la même mer u n j^ sp è ç ë ;^ èW rab lab le pour
les' fü rm è s# 4 el!e que nous^venohs-del^étriiBe^l'îJ
^ » I riaisiuuL^n’a de distinction de (■ô^VuPfeifeîideV^fehlés tu lle s ‘ou
po&îte noirâtres,' plus '©u"W5îhs“Wa^«lbfés.|;^^||v sur le d o p e t
^ 'sur les do'riipe? êt la caudale. .
/ IS jSette dernière ventrales, et l’anale
« T ij iil non ur<!^'iq[Juig,analè;^ti|s§§z|b‘rM ^ ^ ^ [q e ‘de moitié plus
le'quelles u j a m imnfàf Les rang B ^ n | % la mâ-
^V b 1(ùr’e^u|erjeur'e,' rsôi& tfîjhs^èt r£\i\ces'*fo>sKbmdt 3 de’vêkfurs
~à-s’oUt 3é lr 6 ^ ^ d ï'f e ^ ^ a d’un ;pèu ^a' hshde de la
' '^ 'ch oir e ififei^ém^epSbn maxillaire ’sto dilate subitement ’en|^®ie^e,
D„ -10 ^èi/245-jA^6yg.i|,a; '
^ •1 Notre description est Faite sur des indmiwië-huit et-neuf pouces.
Cette espëe^ nous a été r â | ?0^ée^4e Pondichéry par
feu Sopneràt, .e if c d a côte de Malabar, pap M., Bélenger^
le katchelée de Russel (pl. î -i®v.Cet auteur assure
que les p ê ^ é l |s ;d e Madras considèrent ce poisson comme