-C H A P IT R E ;XI II.
D e s jCh é ilo d q c tjé je 's .
Plusieurs Rcanthoptérÿgiçffl-s ^ont A la partie ^inférieure
de lêur pejdto*ifï"é-, cte^ jfsgtons simples et non branchus,
<pao&uê artigu|fi|f^oûs -en' aVlIfs* vu de nombreux 'ejeiriT-.
pies !dans la famille des pè||llp> et' dâns' celle des joues
cuirasses. Dans les uns.jpiels que les Jriglos
ne s©éé| point réunis aux ? autres par mne memb ran
n iu n e, ©tpsé meuvent libre menb-^dans d’autres, tels quoi
le^^â^aAùesr-, ils sont non-seulement-unis par la même
membrane, mais'fts' ne la <^^És^®rf*-j»kit : il‘ ejpHest
eftfin p ifflme lesceirrhites,%inee>ip^Jt!n4, bien que réunis
par la meinbrmKXommune, sont p luA ^ ^ (£ u é les,uiÿ<nis
prolongent leur extrébiité^au-é®fed(es-'bords* de
la mnm-brajm/Ces diffère*û-étcaractères |S|teiî©®;nt'ren^-, aussi
dansMar_famille dos seîirnes ^ et celui que 'présenten»t^lys
cir-rbite^esbsurtou t très-marqué dans u n q f e s q p du fasp
de BqrMe-EspéranfÉgavegTequel M. (1jb|J^é|pèéle ajfwwié^
son genr<‘'i#^jô^mal nommé chéilodactyle el Spjkl^&e-
tgouvé dans des mer du Sud, q n iq ^ ta g ç n t
ayjfe' ©elle—là to u s’les âutrelCfâractifces génériqpaefâ un
eQ”ï®H>vale, compriméj une tfébê’’ lpeti féîsfclue Wpt.
d e ^ s èn velqalls et ,‘én dp&fes, peu aigu^p-àux iiia q hw S
seüléméÏLt;, et non pas au paln&,àomme|fgs y ont tous les.
autres poissons que nousAenqnîs dpv.p|»mmefrj d q g :||u s-
nais cela signifierait doigt en lèvre ou
1. Il ’fïralait direcuii labre à doigta* libres-; ir
livre servant de cl&igts.
orbitaires et pféoperculei|sin^ dentelures; de nombreuses
0 èïiîês'dS fs^ e^ ’et surtout des vèntrales sortant sons le
m illu l e s ’ P .e c tH ^ ÿ , W?o|e plus en arrière que dans
jeA^dyrli^^Mcfui déterminé -M. de Làcépède à placer
Æ genre dansp^st abâfominaux^Meagimoins les os du bassin
sont en,©ofêjSuspepdus-'%,ce u£ de l-ép a u le ,,^ par conséquent
cetigenre és>tfen||,^ce |<lj que nous appelons., sübbra-
. chi èris; ::
L e C r i i i la O T l^ l ï^ a b a n d e s d u C ap.
i L a c é p .1)
Dans i ’'esp’M®^'.|iécÀe^^aii de Lacepèdj^Mpt qui’ .est
originaire!:' du cap. de' BonneHÈp érâncey e
‘maisi simplé^'qüi- bocupek -le bas de pect
o r a l e f ^ n th lu , qui èst le plus
: loife>, 'dépas'sè'du d'&uWfej^^Tî^fes-mous’ÿ'et prend le quart de
la longueur du-’poiss(w|Tïe premier.'^^ttguèfe plus long-que
• mais siriceiit le ne diminuent
le l ÈnqTnëffllë’ ëMèlmërést ^nfedre^aussi long que'
’ le bienvpMpfô rt.
J9|j (pie* pj.jtsson ‘a EOvalecSa plus^grâbd^bajjt^q^, qui est au;
t rmilfBu,lia it le tiersdàsa. longu€nr.-ï,§aflête;.e |j ^edtje^t n’a' pas les
, quarl de^çptte longueur. peu|lend.ueÿ ,_ e t n’atteint
qu& J illié de l’espace^quà est C oeü méfm
nai ni tme rc è s pl u§ ' près ^ d|^k)rbite que du
" mMeaiii^LelAèfre^ilt’ • f1 ^ s^!fents ^ef ,
p mW^oifes’s ^ ^ - 'V é lb u r s é L a langue"Ht m è coiimlrtfe palais,
e t‘assez libre. Sa m ^ tta n fe ï des #ëéiës lia que cinq comme'
• celle des scolôpsïdëslliOn p e s a it aucune dentelure ni aucune épme:
an f^ iW orbitaire. ni au préopercule. L’opercule, osseux finit par
deux pointes,plates et obtiAes-,.^q^ p e.,distinguent mal dkns^ son
L Chéilodaclyle fascé, EaCéÿëàB', t. Y, p. % pi. Y, fig- i