• de leurs rtiyons; mais ils n’ont pas de points sur leurs écailles. Les
taches de leur dos sont plus grandes et forment des sériés plus
régulières, dés espèces de lignes. ! I
M. Dussumier a rapporte de Mahé un poisson énliélément
pareil à’ces jeunes kaakan, si c e -n é s q u ’il ÿ a un
peu de noirâtre à l’angle de son opercule.
Le Pristip/ome piqu-e.
(Pristipoma hast a, nob. ; Lutj an pique', Lac ep. ; Lutjanüs
hasta, B l .) .
La mer des-Indes produit un poi|somytrès-semblable %
de kaakan, e t qui en différé..cependant par l’espedey
en çe^queson profil est Un pfeu plus bombé, son oeil un peu „nius
grand, ses taches plus grandes et pTus prononcées, mais?surtout èn
ce que, l’eGhapcrure-de^sa dorsale estnnpîys profonde. La» oWzi^iric
~ Je ses épines-Tétant presque égalé à la douzième. Ses nombres sont
d’ailleurs les mêmes.’
I). 12/14; A. 3 /ï, etc. ; ’
M. Rayhaud vient de nous le rapporter .dg^Bataviai On
le trouve aussi à la edte de Malabar, d’où M.'dielénger nous
l’a envoyé- sous le nom de chialla. Il nous paraît que l^eBt
un individu de cette espèce que Blocff^a#àit reprépÉffier
(pl. 246, fig. ï) sous, le nom dtèflutjanus hasta1. Il le
croyait-.venu du Japon jamais on àait combien ceux qui
lui vendaient des'poissons seps en Hollande, Eont souvent
•trompé sùr leur origine. '
. Ce que nous avons pu voir de l’anatomie dû pristipomè^pique,
nous à offert un'estomac petit, ixn foie mince, un ldFe, pointu, qe
dépaSsaht^pas la pointe de l’estomacet. une vessie aérienne simple,
1. Lut j an pique, Lacépède, t. IV, p /229.
ovale,* d’wafbeau .blæaiMAitpuX mat',’ sans aimun r efltt aàgejpé. Le
s ' ÿ»ériii©ilafei e$r blanc.-. ■' t
‘ Dans le. squelette las.téterest-garnie d’autant y iè petites brides
îvügs’sejjfléS* et;.h^onlff.e^aîtkan® oetiveellulés. que dans aucun, ©orhg ou
nhjoi&ius. La .base dei»s®n^Éàne èsttaats^tfovttrènfl^^Il y a dix
fkitjêr,,!''hie\ .ibdnniinaïès ’ et s'eïzhï^IûdMesfeSjd.éu-x^inLer^ideu sans
rayons' pr’ê^l^C|£eeIttiî»|'d'etlia ^première cépine'dhr-sale. Ses dents
phaqyûigirenries sont gabtuses*. ; -
1 L è 1 stî|b©vif&fe A-rK,k ,ê jife ^ n o :à l® à .w « ■
i5 t W O i l K. et « H .W
* Les' jfjrlu ds^o^^ours lirolîà'nd^i.vy ; ri t ' m’ofjlR avoiis si
souyéialR y s ioai de rappeler h mémoi^-. ont, ‘au
des* Pays-Bas1 un p®isti«pd®ê t ^ W & b l a b l e
au kdakan^eX^mastg,
‘ . rïsgsqr ^maîsqgjé ^■dessus», de la ligne
'»lattiâle i î ( \ l ( UY longiludunlts prunes, et>^ffiè^Mi^ ^ lu n e
H ' couleur cï|r‘''‘su^'bha,^wJé^^é/]*È%*:dt<Éîs^leî est
«•■fg l ' dëjïle'■phîifclnoir^;< ‘ *
es^Wng de sept ^ 0;âciés. -''Sè& nombres’fdë ràyonSf: s’ont les
mêmes qii’àt? kaaltdn ettju’au hostau *
D.12A ^ | 3/T[; C. M; P. 14 ; V. 1/5.
Le Prîsï-i^oMïE -ijageb.
(• P r ïs tip o fr tà a r g è r ite um 'i n b b . } '
> t ‘P o n tà â a s is i dtngèreûéy L a c ç p ^ l t y '
fc "M. Èbrenbe^ 'l-rapporté' de la met Rtrage sun pristi-
pome encoKè t r §s - f^ i | a bl ë‘a u ,
mais qui a> le-museau un peu plus pointu, les tépinj»doi;s^es plus
grêles et un peu plus lo q g p lf la t^ y em e de Tanalê ^ ^ q le ^ u s s i
& o n g u e gÉ ie .la deuxième, les écailles plus ^„elàts^xpn en compte
■T&T? I , H