220 LIVRE- CINQUIÈME. SCIÉNOgïbES.
quil lui doïufie d’un museau'plissé et'.'CQnt-ournë ne tient :
qu-aux lèvres proprement d i% ^ q u i sont en è#et un peu
plus amplement retîèWsëes qu’à l’ordinaire. L’os maxillaire-
et le sous-orbitaire n’ont particulier. Les leyxgt <®ês
autres diagrammes sont semblables jo n lès à mal. r^idues
dans la figure ( t II, pL i3; fig. a), qui d’ailleurs est,belle et
exacte, si ce- n’est qu’on y a représenté les deux ventiles
comme(sLelles n’en faisaient qu’une, qui'aurait beaucoup
plus de rayons qu a l’ordinaire.
h e D ia g r a m m e p l e c t o r h y n q u e .
(Diagramme/, p lectorhynchus, nob. ; Plectorhynchus chcetodo-
noides, L acép.;, Chætodon plectorhynchus, Sh.)
Ceplectorhynque est un poisson .court, dontflà»hautètin.n’est
• que, deux: fois et demie dans sa longueur. La conç*yite^€5t son
chanfrein et la convexité de son front sont bien prononcées^ Ses
dents sé;»Entrent à peine au travers de ses gencives,,et ne-parais*
sent former qu’une seule rahgéel Il a s k .pores assez petits spus-le
""devant de la'mâchoire"m&êure, et deüx fossettes peu marquées
soùs ses branches.;La partie molle du sa dorsale se relèi e’ en courbe
ovale, ainsi que son anale : Tune1 et l’autre ont leurtbasç^enVelôppée
par une continuation des écailles du La seconde épine anale’
- est assez longue et forte; cellërdu dosilout-médiocres.
B. T; D. 12/19 ; A. 3/T:-G,,17jM 15 ; 'V-,1/5. '
Les écailles se rapetissent éücore.sur le devant de la tête, oùejles
couvrent une bonne portion du sous-orbitaire, et se laissent voj.r
en partie 'sur le museau.
La distribution du noir fet du blanc par grandes jtodEés4uc ce
poisson; est assez remarquable. Le fond est brun-noir : il y a une
grande tache blanche sur- devant du museau e t la bouche; une
| autre sur le derrière de la joue et le bas de l’opercule, une en
travers pw la nuque, une sur le dos vers la:fin de la dorsale épi-»
. ' C-^A^^X’^I^R-^Æ^ES. : ; 224
- neuse^une survie fl'anc,îderrière*M piStdrâle, une, sous, la poitrine
au-cle\.mL <j|tsv\ ÿ n iM ^ iU u e sous lé ventre, remontant-des dçux
çôjésV^-dfevant< (flflànale ;suh,e au jm ^ ^E fk j et une petite,
: 4m la .Bise Ht 11 cnul de, dont le bout ^M ffî.b ïan c . Chacune de
P res’?gî \ndtV t./('lîes%îâiu-tïe’s ~ b o r d plus noir que
milieu ude tache p lu s ^ t i f é ÿ '^ l f l û \ h d ï f
ï t i ^ » r É h ‘outre', l^ c k s a ïe fdo|l^4Mln^aie amChes ,-âvêc, des
-f'4itâôî|'es'noires' i?dnd,CSCqAkr^gu|ièE.est,Lapartie épineuse de la'dd%
sale^sj|nq%âtre Hlançh^^ au bord. Les, pectorales et
les vèntrales srâ^t>ùoi>resget ont.lé,
• C e fp  ç d ï singulier, |^ ,|é .t r e rd^e.r N ^ ^ |n en ; aypns
Vu, encore,, que ^Bdiyidu décrit par, M. de La,cep„^i,^ : il
est long ‘ d’à^ pei!ty.pjBë%Giinqi
H j ^ q ^ B^udÆMA (un. a u iM u s é ^ r o y ^ y i^ ilR ^ rP ^
q ^ ^ p u tr â it bien n’emjétr'g qu’une
Sën marbré de noirâtre surfun fondt jaunâtre ou
blanchâtre / dé manière qu’df restëlqu'âftreJ grandes tâches d e^G ç- fo n d ;
une sous (la gi|3?ge»en^ayani.ventrales une suEfde^ilanc derrière
la périoral'ûj’^mn,ronde au-J^^^^de.'l’an.’deétoupe- carree occupant
1 toute grandes taches noires préfetr^nt la’partie‘epineuse
de Va, dÔ.r^‘lv;^ S de’; gro$ pfei^^>no.irs sa partie ï4p,ïlëv^ija,&i ’,qûe
l’auale.fitetej;caudale- Les pectoralest e t|e s|(^0trales sontpqires,,; etail
y a- sur^Æs de-r-nières, dès - points gris ou bleuâtres.
Sa longueur est de huit ponces.
~ D. 12/dS; Àyî/L C P.
L’oesophage .du plectorhynque ^est^fès-cpuct, et d se dilate en un
, grand esjîoxhac, à parois très-minces, sans plis a 1 intérieur.
La branche dans'laqpelVéîÿouvre le n y l|^ k© st très-épaisse, et
le pylore est entouré de.douze appendices coecales.
L’intestin grêle, fait deux- .replis inégaux ;i ses p arois sont trps-r
r minces. - Un étçanglêmeut très-tnâyqûé sépare cet intestin du rectum,
dont les parois snnt plus, épaisses et le diamètre beaucoup.plus
grand.