228 LIVRE CINQUIÈME Sci^'OÏDES.
Le Dia$r2Sime sSotaf.
\ f^Diagramma shotaf,^o.ob.^ Scicenh 'skotàf, Fos?sko?||||j|
Celui-ci, qui pourrait être le vrai sh o ta f de Foÿkal
( p-^ ■Sl7 i ^ '59^ ^ g
a aussi la dorsale basse, et y compte quatorze épines et ving^gayons
mous. Soji corps n’a" aucunes taches, et‘ est'ce^Àré dessus et blan-
cliâtWdessous.* Ôn rfy voit de frappant'que le]rOTî|^^ intérieur
dé là bouche et'dtf d:psoj|s de l ’operculé.
D.' 14/20 pÀ. 3/7 ; C. 17, «tcT, ^
f L’individu est long de pr,ès d’u n ,p k d » i l y en a de plus|g^uds*
L’^ fe e^ e ;sq n anale„est médiocrp. . :
' 5 Fürshal dit^d'e sori"shotaf qu’il est tdut'brun,.que s(|Jjaggoiies;
-sunt noirâtres, et qu’il atteint une longueur cle^eüx pi^ds."
Le DI AURAMBl-È '
■ (J jia g ram m a foe t e la , nob. -r S c ioe n a foe te la , f
Peut-être le poisson que nous^vCUcm^,d 'e « ^ ^ ^ ® ^ |p îl
p lu tô t le jeune de celui que Fo^skal ( p. 5 1, n. 5g ,
nomme foe te la ,
et qui est'“ décrit 'démine* brarf’dèssus ,J l^hchâtr-iî,l( l * ^ ! ^ et æan^
taches. Il atteint uüe longueur | |^ t x «pieds ^t^e^t g r o |^ |t^ |n à
manger. ForskaI.dit qrfe^es préopêrcules dgm
ç en dessous; mais les dentelures s’eîfacent„sÔuvént dans ^® tr è s-
- grands poisgons/
M. lluppel donne un diagramma foetela (pl.r32); mais
il nous semblé y représentée plutôt une variété du diagramma
punctatum.
Le DlAGRAMME,pRlS. '
' I)iqglçjzmmQs§riseum > nob.)
- M. Dassumierf' supporté de,<son dernier voyage un
diagramme** tr ë ^ ^m b la b le au sh o ta f e t-a u foe te la ,
, rmais,,qui a deux'aiguillons: d^Snqinâ àdaT.d^le..,
A 'é ^ ^ Û .ïÈ j®4 etc. e
ü ^^deuxième dé l’anale.
Ce zélé^pigeur l’a tr^^Sur ^îfféreiis points de la
' côte d (Malabar,
et lui a > u ^intérieur de, la Bhrfche d’un Ô r^ en v if; le corps est
brun e r f t d u ^ ceq dT^ d e s^ n l^ eg ij^ g r ise s^ ou teintées de rose.
B M Ë H tjpîis"les'individus|(J^ns';là*Viqueur paraissent bruns
tirait’ à q^)lCTfàtT5é2'/i &r‘< i * 1 * ■ B SE S BI b
ri# ‘#^^H>ient CéntrappoTterr (#• de> même côte,
lo^rd^iéip ouegs5, qui sat couleur grise : il
]’®Fe^u appelé?» lès naturels canimine. fe/porés
maxillaire^P^il peu marques^ , j)
I f lo u s -ayons, B B B f i i I g H I H I S H B F a crête mi- ^BBBBfl HH êl^v'ée’ B B B bbü moitie,| h h et mum MKBBI^BBBlflBBn a dix ■ B H abdominales e t’seîâé calidales. Les apophyses^transverses
dfes*' âbdbmibalësip^stériëures P lo n g en t, et les dernières s’unissent
ensemSrdans le-haut et-rapprochent* leurs extrémités du premier
' interépineux qe l ’anale, quigt,trè%fort, a quatre arêtes, et porte
les'trois é p i S W r la p r é fé r é vertèbre, derrière la crête,mitoyenne
du crârfe, sonVtrois saP^ rayopS ^grêles et'réunis. Le
premier interéprf©«suiv.anfportelès> d ^ premiers aiguillons de
la-dorsale, et.s’insère entre la première e t’lâ déuxième vertèbre j les
autres s’attachent plus op moins,irrégulièrement.