552 iiv re .S'CIéïîoïdæs.
de m ô u ch a rra , qu’il lui *d©tme 5 ,car moucharra ? quoi
qu’eu ait d it Bloch, n’est pRoprexnenUque lë'-nom basque
d’un sargtie’*; il à été transporte par. léPEspagnols d’Amé-«
rique à des gerfe&f 'j mais il n’appartient point à.des'glyphi-
sodons :*ïf|st un m ot qui littéralement signifie Jer de lance.
Bloch, sou^Tcette première e sp èèéd u chætodon saxa-
tilis* 3 * de Linnæus, rangeait le pilota .de Benard^j .le gat
de Forskal5 e t | | f jaguacaguare de Margrave6 , d ’où il
$|ncl'uaît iqué'uFÊ^è'c^îi habite3 la mer ues'Tndes Réelle
d ’Arabié/ePSelle du Brésil, èt '^M. de^Mcèpédè ’> r|w p d a
mémle; chô^è^ fêlais' dors o r i ^ ^ b i t pas pourquoi'ils n’en
ônt pâs fàit àôitFùn d’E ü r éw f «&1: le mêicckarra
dé Bûhâhnel, quils-mettent dans la même tyiÂbnymife,
è’st bien certainèmèn't d h gOif^de\'(^à^cbgné,7
?T Gé qui vrai, c’èst qu’il y 'V ’cîes glyphisodonf dufiff
les deux o c é a n s^ mais qtféAîe né sont pas ^ffnliémes ;
malgré les ïap p ô rts’dê fdtnfë‘/êif dé^êirlehrs de q u e lq oe P
unes' de leurs e ^ ê c é s^ dites se*distmguent p a f'd ’autf es £â$
faèfâ*ës.‘l j é s t surtout dàhs la mer dés Itf9fes ‘qu’ifé?s^at
nombreux. ^Oomiherson seul k^lr^avait réobéilli. binq*; ë t
e n dva’it fait dêslîfeer trois ; mais il n’en a’‘l&is&é^ânA sé>
îhànuscrits aucune description.
Tous ces poissbns se ’ré^emËlent b'eShébup entre eux,’
et n e ressemblent gixèlê’ moins aux pomacétttrës^^ônt ils
ne se distinguent presque que par leur preo^efcule-Wèfi
1 . pl. )4 ,lÿ ip # ■. l
3. Bloch ’, é:* part., "p. 7■ ftS' 4. Renard, i.le part. , pi. 3 S j £g$JStâ
£. F. 6 2 ,' n.° S7 .'— 6 . Bras., p.'Î5‘6 7 P i s o i i S T ”" ”
“J, ll .ayait étéefeyàÿé ;à Duhamel4e.Spot-Jeaûn'de-'I.Tiz.' Çebnem ’dti.mffchetrra
ou jrwxarra ne se trouye cépendaiitpoinï (tonyf’pVyrage de .Gcrnide.'siir :les> (poissons
de Gallice.
CHÂP. X V H . GLYPHISODONS. . 5 3 5
deûteléi-lsfOnt le corps*©® mprimé, ovale, couvert, ainsi
que la tête |ife%randes écailles ; le profil arrondi ; la bouche
p e tîté fd e s dents aux mâchoires seulement, sur une seule.
rangéfej’/Sëaré'ê^f^égales^ étroites,' à b o u t tranchant et le
plU^'souvent |ji|éhancré^l’opercule et-le preopercule sans
dentelure ; la digne la tt^ le fixnssantïsoùs la fin de la dor-
sale ada membrane de la dorsale formant un lambeau der^
rièi^ohaque aiguillon : ils s’accordent même ordinairement
dans les nomtbreskle leurs r ^ o p s , surtout des epineux,
d o n t il y aftpsresqne toujours treize: à .la: dorsale et deux
a ranalé&ëo'fflme dans beaucoup de pomaceptres. Il n’est
pas, enfin, jusqu’à!la distribution des couleurs, qui ne se
ressemble dans plusieurs esp'èdes^: elles ryJsont disposées par
lWgësdâandesverticales, alternativement claires et foncées,
à; iftemî/ptès*feomme dans -les.targues. Les petites espèces,?
qui serrapprochent davantage des pomaceptres par leurs
fo rm e l plus oblongues, leur ressemblent aussi davantage
par desÿcou&èürs plus vives; >■
•.y On a^peu de détailsùsnr l’histoire de ces poissons. Il
paraît qu’ïkéeutiennènt parmi le s rochers , surtout parmi
les récifs de corail, ce qui leur a fait donner dans nos
colonies lé nom de chauffe-soleil On les mange, mais on
né Voit pas~ qu’ik 's è ie n t très-redherchés. ■
L e G l y p h is o d o n s a x a t il e .
*( G ljp h is o d o n s a x ç t ilü , L a c é p .1) •
J J ïo u s d écriro n sR ab o rd l’^ ^ e , la plus commune en
Amérique J celle qui y a été observée par Margrave et par
1 Jaguacaguàre, M a Chætodon saxatiUs , Iian.'; Chætodon marginatus et
Chætodon Mauxüiiy M êt ÿml5 Chétôdon sàrgoide, Lacép,