.42 ^ ‘I4i V)R£.4ïiVÇi4U BÈME.
grand nàturafiste ( des* pierïfcs dans la ®Uï®
fine9, là-‘ïaCT]té|É?A^fentendre^unïbalèoet^^Me sortes de
grognement $féeb- 13âa4Htüde,.rdfe v«r,é, en troupes eiode ne
pondre qu’une dois* :par; adfi^Éeoaviendrait" miêfeerra^ez
exacte|aiè®t 'au m&s^ih. ‘ Aj outez ' qÿpÉp-i cbariae^ daïa&-Alhé-
p.iaBa|| dit«crue fe%hromis ,!aiosique lesxiphias;
siâ'nt au Jprin4^pp?ÿ,les; meilleurs *dës ■pfeâTO’ns^ > rapprochement
et qualiboàëi'on qui*d®nt bien au maigrelet à cause
de sa grandeàif^^à éausleî ‘d§^^^bôh^ji<û.t. ■
_ : : dSependan meile-g'/a ucwi, qu’Arisljo t#distingiie du
n b r ® * ^ ;,’ allies rapports Encore .plus frappan;s ; É ^ àile maig
r e , et? comme Bélon no us • d it ', q n |k M-àrsè fil e l’ombrine
porte encore quël^-uefoisjlfe»pa | rdfe .éhêëWi ouacle? chràu%,
comme -elle 'prend celui dë.:e-Aro huj la;îe|ftl dsé^Ôpmg,
au ra p p o r té e GfiliusÉ^fil neif^ràit^fas; imp ossible que-le
cAromz,y fût l’ombrine , ainsi que l’a iprnVBfffl|jton On
pourrait meme -tfêgar d e o ü v ^ ^ - ' s a d c ' é
poisson avait l’habi tu deldbf wvr e* en-> troupes ? e t la faculté
de rendre un ■ s On. Malteénràuvseli&èy. <tjn u n Ærouve^daos
auéun obséfvateuf^^^ltiaSI&l^^^fefe^éit.^
Ori aurait' une -preuVè^ -ptuâ'-dbe^^^^s¥di^vefeë^]K''4'
(^g^^^doËteîÉlàea dit qu’il a usaesi^arbc--ÿi&â‘ifesÉ)ien
certainement le même-’ique le \chr:êrriis. 11 eÉ^Mhjquefëet
autet^wjdute que ►erette -b arbe cest^tespl^nfgf^ï^^etlèg^
de la mustelë^tët que &§|p<fid1âg»expliqû^^^^^ar^fâ^ssr
( asellm^§g& qui-nous r ej e ttera^|biêndîOintfdf ‘f omb ri npi
w a. cru que 'ygcfMg >“■ **i* fas > *Çk
i. Hist. an., \ . y \\i , f H H P . , i. r ^ / c . , 8 ^ 3 . ƒ£,* i. ito b.:ô. —' 4.: j& ,
1. — h. De aquat., p7 1,12 et'-ri'/J.".-!—’ 6. De gallicis norniri. pisc., p. 22.
,*«pï. î)é anim., 1. XV, c. 11.
SCIÉVOÏDES. 45
mêmeqpé§%:t^i’ ©t* 1 ne sont que . differentes manières
-#bttbographier le même nom1, et cela peut être vrande
plj P tos de aes. mpjs-;. mais il y a'des éditions d Aristote
sont nommés distinctement dans la
iSplk'-phra^ ^ 1 <
Rondelet a j|a i^ # ê â |u e ,d ^ , chromis, .était le castagnau
{sparm mais,. quoique Artedi ait adopté
cètfeeSnqncture , personne-u^trouvera quelle soit prpu-
^ M fland Rondelp|l'aurait encore cj.té-le passage d’Hi-
^ siju sÿ b ù tfsj.6 b | q i|p |» J b roniis-;e^ du même genre que
le* pliagl^ l’ànthias, l^carnane, l’orphus', le synodonte et
le ?s#nàgiï%Jl n’aurait R B K É | établi* sa..proposition ,
puisque la p lu p a rtÆ ^ ^ ft'o is sp n s . n e ^ |n ^ pas encore
b ie n lïé ^m iÆ Æ o inm e n t d’ailleurs,;aurait-o 11 jamais pu
iffeM um m'âuyai^ petit ppfe|f|§!5_ *&1 qjie,;l|^y^tagnau, qu il
psb aàfrife xiphjins j celte immenseflafipèafa le meilleur;<fo
tgus;i* rl^to’approchemept s^M- aura i^ |^ridicule . 1jj
fie ; nom. d^üÀpom^^ à^rouvK aussi dans, les Latins.
Ovide: jla^Sduls.G^Irpis ,^ a is ;fIseulement pouf^dire qu’il
est immonde. : 'quabf t ^ lon peu convenable
fajye^c^pire qu’il na pas
entendu la mêmeatesb èteeSafoiAristote ,fc,.ëest qpe Plin^»
â p ^ ^ B 'i r traduit -dam&u^ fendroit^ 1. I X À .- 16 ) le pas-
sagÊL d’Aristotp, sur l’ouïe ,'dur ç^rpmi|, dit dans un jq|tre
( t^ Â X lh p ^ ^ i ) qd ^ &est un des poissons dont personne
qu’OvMrana,.pajl.é. Le chromis d’Oyiue;(devait donc être
différent de celui' d’Arâote. Il.ne faudrait pas non plus
sé laisser détourner.paSadaculté/deJ'aire un nid que .Pline
attribue ajv chromis ^ M q u ’il crçxit d’après Ovide; il suffit
1 ..'Sctmeider, Sjnom. pisc. Arted.y 'pi’.ÿfc jjpL'JKiit anim., t. VIU, p- 19-