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La vessie natatoire est simple, argentée, à parois fibreuses, assez
; épaisses;
L ’estoiôac était plein d'un gmnd nombre- dé petites erevettes.
Il npus presque, impassible que ce^pe^pitpms le
plectorhynque qui a,été. ddqigt une Seconde foig^parflÆ. jde
Lacépède ( fc_|üV,~p. i.g5 et 2$3-j) .sous le nom, de lutjan
chéto<hnmde.W<mte■saf-.descriptioustecorçle jusqu’aux mi-
nutfes, ’excepté les nombres dés ra y onsqu’il donne* âi&iSi :
d . l i f t t . 4/6 j'c . i 9 ; p : i 6 ;^ ; ’^ ' '
Mais on peut supposeïPifei quelque faute d’attenlïon-ou
d é Copiste. Il est certain qu’il n?existe au Cabiiï-e^dfà Rôt
aucun autre poisson auquéL-oette description puispsé'ou-
WniTlÂ^cé-^ffe^sèTàit pâsd seule foiétque M. de Laceplde
auradti'fait deux espèces avec un ßeul c t meme individu.
— * Jje D jagr4mmë - »ie ; ■ -
(Bîagratftmâ ba'£ Üim^)
est une autre espèce des Indes, rdont l’affinité ayec , le
piectorbyftque s>e marque même par >lab distribution des
douleurs/bien qu’il soit plus oblong et queéa dorsalë(w it
plus égale | |p
ca'r/sar un fond noir le long du-dns, il a aux memes endroits trois^
grandes taches blanches j4 une -au-devant du(nî®pauj, m 1 ni ti.uris
' sûr la èfuqùe, et ûneuers la tin de la partie epineuse de la dcirs’ale';
mais celles de l’opercule, de derrière la pectorale et de la queue^ se,
jmgneot au blanc qui r^gâè sûr toute la partie inférieure du§t&rps,
et ne font pluè que des échaneru-res dans le noir-; ta queue estqpisme
quelquefoistoute blaiîëbe. Lé-noir ef l&'felànc drà <fe>s-s’étendent sur.
là dorsale. La caudale est Manche, avec des bandes ®u des taches
irrégulières -nôtres. Les autvesnageoires'Spat grises.'
, Ce poisson est.plus.alongé que le plectorhynque. Sa hauteur-est