Tels que nous les'avoïis dans la liqueupùou..desséchés-, .nos
weak-fish paraissent argentés,,-/un peu plus, brunâtç^ sur le dos,
av.ec. ;des lignes obliques et ..irrégulières de petites taches noirâtres
I out le long dê la. partie supérieure. Leurs nageoires inférieures
conservent une teinte rougeâtre. "
Le docteur Mïtchill, qui décrit l’espèce d’après le frais, dit
qu’elle a la tête etile dô's/bruns, stitiVént. teinté de verdâtre ; les'
côtés argentés avec des« tkçhés» obscures, qui disparaissent en dessous
et laissent toute la partie inférieure claire. Les'ventrales et
1’anaje sont jatmà'trèsjrlqgiautres*nagêôires .d’un brun pâle. I l ^ e i i
a une variété plus belle, k taches, noires } mieux terminées et,^s’étendant
même, „sur"!a_seçohde d orsale et sur J^caudalev',S,es' nageoires
inférieures sont brunes et non pas jaunes.
Nous avons disséqué plusiftu||,JLe ces weak-fish. Leur qsïqmac
forme un'long cuPde-sac pointûj le pylore i|lk to u t 'pfës*<l’d' cardia
et n’a-qûe quatre, appendices^® longueur médimiî-; J-inroiin réi'
peu alongé, ne fait que. deux replis, et>-va, ed^se^areV^èisSant^,jusqu’à
fan-us. La'’vésibulè du fiel est un long tùfee-(|ût
-présqu'e ’ jusque ' vers la région 'de l’inus. La membrane propre de
la vëSÀe5natatoire ést’d’une ^pâisSéur£èA‘iâ<>1&!jiMt#.‘^ ’ftrfînérfïvde
fibres de chuleur aègéhté'e'eti dëiîpètp de c o fèfi !-înii S-V.a<-'fÿsjwrn e s
sortent- vèrs lë miliéu de sa ldto^üçül-'ë^é^pijrtèîitïè# avâWfcqïisJfue
«'ous1 la première vertèbre pelles *seèft Ssêë»èfefisSWsèéji» arrière, et,
intérieurement, elleS se prolongent chacune" en'un sillon qui règne
jusque vers, l’extrémité postèrieüré' dé« la-vessie. JLes parties -üfeé-
rales de cejviscère- sont surtout ttès-r©buÿJÉ|a‘i!
'îd Ifêt}.squelette du 'weak^ûéh a à la surface de'jSon ’©ïân^'dBîfSes
sous-hrbitâires ët du limbe dë^sbn préopercule, fnêmes enfon-
bemens caverneux que ceux-<3fes maigrësr Le crâne'est renflé en
dësspus pour loger .les grosses pierres w s dreilles. La crête' s’âgit-
-talè^^élèvè -peu, mais 'séeporte en arrière en angle «ûn'mêmaigù.
II y !â qUatdrze vertèbres pour l’abdomen et ôffizé pour là queue,
-be, qu iëèt précisément l’inverse des .serrans. Les. troisième et quatrième
vertèbres -^élargissent un peu— em dessôus-pour-donner
attache a la vessie natatoire. Lés douzième, treizième et «quator-
WF
xiême ont :-leurs «'apophysehransverseS réunies en anneaux. Les
-,.c-pt@ s^itè^sêles et lehrs appoedjceyia,‘péu "près nulles.
Ï^e^weak-J$sfo etsl le piajsspn lô/fdus abondant à. New-
®©rk||ê’t ;delui dènjf^nÊ tjre l^-ptus?,'<t#|>aïti sur la table,
lèbtoul: quand 1W;sfii|biaL? ès-fr oi d e. D’ordinaire
il fîte in t qai^ e^tp ^u ^%;,éw®fs; d®; en a vu vifigt-sept,
ét5 qui p"esJfèii|l!plus'dé1 six#d-i’oefe'„Il a^ômpàghe-si eons-
tamiueiil^e bar rayé?,: qiîé'Çi. MitbMll a^âit :éft^tenté de
luè^d’o n ^ f ' fe nbm°^peg u ^fuer de mÊmes. pOn le “ prend
jp^lôuL 'prend lM lajf, Elis t clâiis les ê^xix salées
^kïeriie^pj i l i l i ’ «rfeinoiÿS^pnt dans des* pi^&E^ n j ^ ans
d e s -^ éM ^ d ’e a ^ ^ d ^ ^ ^ ^ ^ p . le pjljgbcî. à j*la quelqxfi.^^|
â<t^])(“ii‘ient ^q^ë^|pt!àSûïp >&M^S-0Î1
hi.il)yj?^ ie']itvÆ |ebl|Ki"i 1 n e’lire pas b e a u ^ u p sur l’haroîê^
hgh'^Kautres I de I l I llÉie- Jfcrës -I^Mpimael est
allpl^Hssaili p o u rd ^ îiom n f^ q u i optrJbpsoin de travailler,
I P ^ d . c n r s lui aMbfi^®t;a^;.eltains b ru its^ d ^ tig , un
pcW’dç^pl.ibleÿ a1 celui du taindfô^, (J#éfMq!;e'hùfend)q«el-
que'lois ,li|jks; l’eau, et^vl'uleuûqfL^ÔjlûV lU^saKmoi i i l uèst’
ah on dant ; 34ui ItïiJldfeùpÈ^alt^^f papp o rt de plus a¥èc
lfHâfdigriÛ'' Gtï p^eu^'feM'è nàtatoirïr Jcçrnue
d’^ ls itb o n n À ^ l’l'é^d’éppèshkt q u a - ^ c e l l e l i i i « ; o n .
"îrLe est celui que lu i donnent les
Tndiens^naiEragainsets.* Les Mohégans l’appellent eheçotis.
cofens l i ^ ( ‘ars; flfM.a^^pmèïSfs^Man? le'possèdent
Vijg.gi S t lui Q'p.t tjau§|pW| l i n£)m‘ be«lu|^y^usei[(id^
sesÿ.itacji'és-. ”
poisson - n-e dpîièppaSï é p | p artieuoe r ^ l’Amérique
septentrionale^! u ou^ l’avôil^âuksiliM ^ ,de la ^Martinique
par Mi Mèef*4^