CHAPITRE IÇ 5 ;
D M Otolii'h&s e t idès jlnc yloctons.
DES,tI>iiLITHES.
Nos colons^ de Pondicbë^yt donnent la dénomination
moitié pôftnglise moitié françallg de pêehe-pïerre à un
poisson de^^^jus-gêtere^à Ga-use dY\s,gn<i)Ssî%^®rres .qu’il
a, comme ils disent, 4a®sla ||J ||g e t <pù scftil-lis pierres
de se^^Eeillts. Uieir- que ^pAonr n’indique qu’une cir-
qënstanGe jp l rganisation commnnc^UWite la famille 'doS
^ .è n e s, -|ï n<^® a ^éfviÿæ'iformer/^fcelui < l oV f / / ï rie
d’oreille), que nous'jdonnôuTdïrcë' so us-g&imj;e^iSt'irae'iYt
étranger^
Les otolitfies rêssembp n t aiàx maigres p %’ -t^ ns^îilid é-
tails d,|tieu r-stru c tu re, et -suitout, par l’exuème peliu^sê
de leurs épines analesp^t partagent Lasfec eus le s ta i noter es
généraüÉi^t éxtérieurs des^s'ciènes^ P ^t-ë l e l#M S ^ ^ lè s
dit du crâne càvèrneu*^ l a ’deuxième îérsalo l<^$ia cycle. ;
mais ils ^ d is tin g u e n t des maigres et de t o u s lesAelèn^,
p a g le u x canines fortes qu’ils oritTà’ la mâchoire su|fé4‘
rieùre. Leur mâchoireAnîelrêure n’a jamais-de pores, ou
n’en-montre que deux si petits qu’lp '- a peine à les aper-n,
cevoir : leur v e j ||| n a ta to ire , d u moins dans tousj yètm
que nojàs avons disséqué^,: est remarquable par deux prof,
ductions pointues en forme d ^ p ra s ou- dAcornes, qu’elle
a sur’Æ^'cifës dé sa partie antérieure^ét q u i se dirigent
en avant ; appendices analogues, quoique beaucoup plus
simplfl^ ■? atix épËodifef o-hs brarijchues de la vessie des mai-
■^feldbt i<âè|il|fdgO)n|â'^,'f êt: süftt’éhït• à ^ cèll’és du' pama; mais
•^lleS''îËïe«IC divisfe^ntopoiiit^ > leur -extrémité1.v
L ’OWËiï-ffE'jrRf^ ^ ® |ioil PÊcHE-érÈ^#S>'El P ondichéry.
‘.''flD'tolithus. i l i'
H É f ^ e ib è ^ e T r e , quand ^ 4 ' la gueule fe rm a i pourrait
jêtre Mfs^pour un petttiÈ^^^&'^ll'^' toài'te^'l'es proportions
dU ’nfbgiS d’Europe’, P s e l â il le s * l iq û è s ,‘sâ petite’ anale,
les n o mbr|s|id e ita|ff|)|ks Ur ès-ap pf© eh ans :
’! ^n.
^^ffl^s4 ésJfl^t^®[ities,;Ê ^ r | ‘S^èe|it*Bxen vite; il en a à la riiâ-
S UH(É?ê%^n,^èn^rèfMfeâsldTe’s-igranclès'',,t-iès^fôrtesyën*Ue lesquelles en
« ^ lÿ â é ù x ^ m e d i è èM S u f le ^ f é é 'J ^à'xaië^ùhe défep » à - d é n t s
^"‘èbn^qtfés^^plûs’éii H’edan^Un^BâÊd^'de dents èn fin Velours-. A.
Vla‘ ■ Inférieure®^ aussî’^oeé;fôHe'S'vcanines , ’ dont # se
pctd it* /V xuien l une; ebsüi ll^Mi^teô'r^me à5 laî supérieure,
"* «des dentsÿ'peti)tes çn-poîntues; enfinj^l^rfd^ dedài^une bapde de
fin Velours' AJpeine, soU préopercule est.41 un peu créndé j son
en àti-dessüst
- : Dkiis les' jëunès^éài'èts la okudale4 est^AUombdid&le, *âVec lage elle
V • s’afrondir ét devient inèiîle tronquée-
5 ' Ses1; écailles,< àçpè%ip« lisses,kOnt;à Jeurbase neuf crénelures e t
autant dei stgips , mais çpurjtes , ,|u i pep^um,ssent pas en évçnt^il.
. Sa ligne latérale, légèrement Iburbée en S, s e^ a rq u e par une éle-
“ vure ovale dans Ï é ’ïbiiifeu. de écaüle, e^des stries en rayons
’ ^suV^es^bp/ds. j;ur' 5Msn 'f " *xî "
1 Pour le bien distinguer des espèces .suivantes-, il faut reniarquer
que la longueur de sa tête est ' f c | V ^ demie dans celle du
-'corps, et s i hauteur aux pectorales quatre fois et demie. Sa têté est
d’un quart moins haute que longue.