La distribution du blanc et du n o ir estUîrès-vdisjhe', dans les deux
espèces. V o r ie n ta le a dë.-inêmo'le museauMiânc, unesgfande tache
ovale et blanche, sur u n fond n o ir,1 à la n uque , et’ utfe*4utre'-semblable
au milieu d u d os; mais le hlanc- du dessous du corps y. est
moins c én tin u , et-des parties-noires-irçéguheresTmteprompént.’ La
ii caudalo^rhomboïdàle a*«ûifrW2jÈP -milieu une bande longitudinale
a d ir é , et ses bords sont aussi'de;cette coul'eur.
Notre individu est long dejsix.pquees~r -
Il appartient au Cabinet royal des Pays-Bas. E origine
n’en est pas-connue ^ mais on ne peu t g É | ^ ^ u t e r qu’il
ne vienne de la m Je, des Indes. ,
Bloch a enluminé dans sa planche les p a r t ^ pâles g ô
fauve ou d’orangé, probablement p aree q u il n a ÿ h q u u q
individu sec.
L e D iagramme panthère.
(D ia g r u m m a p a r d a l i s 3 K. e t Y. H .)
MM. Kuhl et Yan Hasselt ont envoyé de Java auM-u^ée
royal des Pays-Bas u n diagramme ^fiônj, les formes e,fcpes-
nageoires répondent àjcelles du pleçtorhynque,
mais d o n t le chanfrein est plus rectiligne, et q ui a to u t le, corps,
la. tête et les nageoires verticales ,semés de taches ro n d e s-e t noirâtres
, ^ u r u n fond grisâtre ou blanchâtre : atf-dessous de la^hgàe
latérale elfes sont moins nombreuses. Ces jeunes naturalistes l ’o n t
appelé, d ia g r am m q p a rd a lis .
D. 1-2/18} A. â/8r C. 11} P. 15} V. 1/5.
L’individu est lo n g de dix pouces, et il y en a au même cabinet
u n squelette lô h g de quinze.
Ses lèvres, les pores de sa mâchoire sôüt les rnêmëS que dans le
pleçtorhynque. Ses dents sont en.cardes fortes} celle? d u rânig antérieu
r plus que les autres. Ses pectorales et ses ventrales sont grandes
et noires.
' Le D iagram m e g a t e r in .
( Diagrurrmiâ fe rm a , nob, y ^ c ioe n a g â te r in a , Forsk. ;
• | | § P'
«bif^pbîsson q u e -Forskal n.° 59) a n om m é scioena gaterina'&inn diagramme, et montre avec-lé pardalis la
même affinité d#ÿ)G|eur qHWe^iCÆ.aÿèèJe pleçtorhynque.
v: ^SafWque est arrache-; son profil approche de-la verticale ; les
d e n t e l é - d e '1 s8h préoperculë plés* pores d ë sâ-mâ’choire inférieure
^ ^ t'b ie n ito a rq fié sl} ' sa dôrsÂé;riô^i«|an;crée, mais un peu relevée
I -et.arx9u f e m fa ^ è r e ; la s e Æ | épine dte. son anale très-forte. Tout
H f l B H est,ÿun,Ms R H B plus' W f VerÇ le dos, plus clair
veh'ïheb^L^ffitête^ses'fëvres et s'es nageoires sont jaunes; le dos,
les flancs-et j lp nageoïëes verticales sont semés de taches rondes,
. d’un brim'-fo^tfeetoGolât. L’intérieur'.dfe la bouche'et la face
îkit.grnetÉa-lfopercule &>nt 'trèsfrouges.. Dans la liqueur les teintes
du fo n d ,G © » jaurdes soit le bleu, deviennent plus grises.
: ' F. Î/D V ïâ/1'9} 1 .' sfef'C. I l ; P. 15; Y. 1/8'.- -
4VÿfflKndividus, rapportés de Loliaia par M. Ehrenberg,
ont de six à h u it p o f c S il y ,en a i Berlin d’un pied et
plusfJt~Buppel (pl. 3 i f en donné une figure exacte, mais
erilumi^p^tee'gris verdâtre. ;
I Les;-Arabes nomment ce ipoisson^aterin selon Forskal,
et maral-triribi, selon M. Ehrenberg* Forskal, dans sa description
du'Acitena gaterina, dit que s ^ ^ e r c u lis /s o n t
semb la fib ^ du ‘m m ^ a n j^ eÿ -à -d ire de notre^mj-
riprisiis-, mais jjêst unë".ré’ssëmblanc|J^ssê1| ‘éîôiguée. Du
rpstfe, tju t ce qu’il en rapporte,se^etrohvé sur nos individus*
.<•<' , . . 1
Forskal (p.-^ï, n.'Log, b) parle d’un petit poisson semblable
à ce gaterina, et qu’il nomme scioena abu-mgatherina,
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