salées (îe ces liés. O a le n om m e ka tb o fto daasQ’i 3i||rtieiMÊ
Me de èt ma/vzôowioug'o dans celui de* \ ‘&$fi}ra9É*>v
; j^ous ayons, dissécjué-eet s ^ lo p s id e .ji^ > ^ ^ f c > m a a e s i'^ F ^ s -a e tit,
, eA,cul-de-saeayrondi, àrparois[^^^mdiac'&s, .san^.pns k limérieur.
Le pylore, est charnu, asse^ épais^ ett rnuni.de six aæm<mdjc((p EtSb^-
cales-j-séparées en dgpx paouets^de tr pi^jchacun. jLesoeoe^ms spnt
.gros,, et aussi longs que l’estpmaç,t excepté,les dejix^i’ïiiVm'^, qui
sont de moitié puis .courts.
Le canal intestinal fait deux replis', comme à 'l’ordinaire : if.êst
étroit, et ses membranes sontitrès-minees. *
La v§^sjte natatoire est simple, membraneuse, argentée; elle oc-
cupe toutfe la longueur deJ’abScfriïefih
Il ne s’est trouvé -dans l’estomac que <lés- debrisi dëb'eôt^ille's si
, petits qu’il a été.impossible de rêcortnaitretkquel'gânre. dlfeappar-
tiennent.
Le squelette ressemble, Ëpg^Qüs lês^pqipts-,essepliels,,|| ^ p i.d p
lycogénis, le maxillaire excepté^
L e %raf&psjJDE I-ïc&jts gamines! J
ÇSco Rpsm$s_^^iîmts', noKfS^
| , Noùs terminerons’ çe£g§pre par uoe^ê'ipèàë^plu^ M on-r
gue egtf®#|Fft que |es dernières ^©t qui ^ tÎH g ^ è d’ftiU
leurs’,par plusieurs caractères. g
Le premier,: c’est qu’elle à quelques dents plus, longues* que les
autres, quatre ou six,en avant4 ela-.mâehpi^e sy-pgrjjsure, nfl
peu sur lesh’ côtés à l’inférieutej le secqnd, ,c^est tque j[on^ srmsr
orbitaire a le bord trçs- oblique sans dentelure, et seitermine en
pointe plutôt qu’il ne fornie une épine distincte -f le troisième, c’^st
que"son préopercule â le bord arrondi,'et que I/on n’y imprifrfri
' qu’à pd n e de très-fines dentelures à sa partie montante : il' y a dû
' ■ reste une épine à ‘l ’opercule, eihq -fayons auX- buies , et tous- lè s
autres caractères des scolopsïdes. Ses épines dorsales et-anales spnt
? grêles. -• D.'1P/9PA. ^ je te .- •
Dans* laf liqueiifr il paraît d’un gris verdâtre, et une bande jau-
jî fhâtffie s’étend l4'I(j®j| d u flan c , àsgukLdlôpiercule jusque SOBs la fin
afiM'pi I àr^udkhuteôiù eMe #efftcè. i K
Dans le d’après um&ssm.’de M. Quoy, il y a une teinte
uhë de bahdte p r e s s e la dorsale; et les
' nagéqïrô'siSÔut d’un brun. rou'ge^lre.
L individu est long de cinq p&ücéS.: • ;
Il vient du Havre - Dôxey^ à la Nouvelle - Guinée, o ù
iT a. efeépris par les naturalistes de l’expédition de M. Dur-
viïle.