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bres de sés'ra^ons ( ü . 43/ 2 6 ; À. 3/ 2 0 , etc.) annoneeun
chétôdo-n -proprement d it . voisin du vagàbundus pju :du
decussatus. C’est sans aucune apparence que Linnæus et
ses copistes le rapportent à Xholacanthe ciliaire.
H Forskal d it dè\-$on gat^, que--sur des teates d’Arabie il
n’est pas commun, et qu’il sè tient dans la profondeur
entre les roches: de corail. M. Ehrenberg l’a entendu §tp-
peler par les Arabes .de Massuah. Commerson ne d it
p oint où il a pris ses individus , et n’a même laissé aucune
note à leu r égard; mais-d’après en que nous apprennent les
feolleèdpins de MM. Qûoy n t’Gaimard, on trouve dé * ces
poissons dans les parties les-plus diverses de l’arjehipt'l^es
Indes. Ils doivent être-rares'-à Iaidote de|Ê®àdma^ÿel]. car
nous n’én avons reçu :ni de MkSonneratni~.de M.-EeSchev
nault; mais cela tient probablement à la nature.•sablonneuse
d e cette? cote.
Le G l y p h is o d o n 'a sept ban de s.-
( Glyphisodon • septemfasciatus y
Il y .a ‘ aussi à l’Isle-de-France un glyphisodon a ^épt
bandés verticales, que MM. Quoy '’et Gaimard vieiînenï
d’en rappbr'tér.*
• Ces bandés, qui ferment son principal caractère, £gîit Igfiseç, et
: lé fend de la couleur-est d’üp vert .pâle. La première .est sur la
nuque, et va au prèopercule; la seconde part déf d.eyant®ÿdor-
sale, et descend ^ers'ïqrifice des puïes; les quatre suivantes partent
de différents points de la dorsale; la septième est sur fa queue, immédiatement
après la dorsale. La dorsale-a un-bord n'oir’à'sa partie
■ épineuse. La caudale est toute très-pâle : il - j a- une petite tache
noire à l’aisselle de la pectorale en dessus. • Le sdus r orbitaire -est
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un peu p^qg|h^ut què;celui du rnhti,, sans? l’êjiîff alitant qu’au ben~
I g al en sis.
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indivis;n’jDpt que trois^nouçcs éutt^spouces et dptm,
f '''lue •'^Y PH isoh fe^ p^ ^ b id -E s.T fe :'
;' ïékLlxphisodorÆÈéi’Êitiniisf 3olander.
'/'J*"^l£.ixiëme f|#ècfe|flêïla mêr 'des In d^ ^ p t plus facile
| ; Gis li m gu ^ . ^ a . r q i | ^ & c j k , ; b o j d supcLiçqr-ct'lqi
^^»d nféR^ u r.. 'd||4% 'çaud’Mé^^o.us l’avons^ am^. Ironvée
parmi lç s’d)®i^nsi^e&rd(n Commetsolnlllh il ne n©ifs a
p a s1 i?(l.v|cME:cii.!©':dfe la^&vÆpînLre dans lc"\î$sfin du moüiie
n â |M jp ||ÿ ipÿe'M/tb^ -faiti gravbl (t: I t l, pl. M
h.°- 2 ’) ' le/nOm de làbr'e sitr-bhnâës^^^iq^ail n y 'e n
âit'^ùa' tr o ù ÿ ^ s ‘^ussi un jà'ëâsin dans/le
||kw h d ç rP a r ta ^ | i^ la B ib lS h eq ùW le BuDUj-oVi'Iièst
appëîe choetodon ëçebestinus^ \|| i t y p â a sous le
TOiri.un^ÿëâtbonnp ^ ^riiBtidh/daîns lë&papiers;de Snlan-
^deu (ÿ în ,_ ( Vsf’„ à rien pas^d’p u tè r^ a figik^quikèst dans-
Renard ^jgL , moin^bien,' dânlîWâlentyn
Bloch rapporte S ^ îuçêis à |o n cJjtçetodan saxatilis^
| | ! y joint de n.° lij-j^eRenard,}<|t Jef
Yjdentvn ; mais lé n;°. tigrille Renar^.e^fn^qrpo^e, <2t les
deux figures dejftalentyn, ^ n t ’dçjYraù ;çhe|o^bns's
L’origiriàl.,jiu Renard,,p^te d a n ^ f e ie c u e il
de,^.Corneille d e |||lam in g ( n."' ôir.,-)’î'|e nom dHkan-sian^t
que Valentyn etrit i k a n - s i a m u i|m |M i fait traduire
1. Labre,six-landes, Lacéf|d|| t. III, pl. Lootsmannetje, Renard,
1 . 1 , pli*35fj$ü:?À Ikan-siam, Va len tyn*,.^5.