X e P ris^ipome d e R o p iA / ;«^ut
(Pristipbr^a ItàgèÆi uôb.jjrlf
^ ayons r.e.çtt ^i^éiiegal'jitpa.r M. le gauyemuur Ro4
gèr, un troisièni#|)4lstij)ome 5
plus- gpand.què res deux precedéh's, à'tertë plus haute, à nuque plus
bombée, a/s.oul^oraitaire plus eltsvé. Son profil ne descend' epÿà
j^rtifc chs. la nuque^ et est presque rectiligne. Il a les dents sur une
; Ikrgé; ^amde ,en velourst .s^ncè.^t .égal, aux deux maplpnires celles
du phafe&X:spnt en partie naoqs^e§..ê^^^iü®'fe& Le ^^^^gbitaîre
et-Jë mUseau-nient point d’écaülés. Le, bor(d- ii^Mtant du pjçéqper-
j.cuSe,*ëst; Wrlicar et droit- son ^^erarronarf^u®%ôn proéminent!
| Ltji- <^OTÎè|fie’ë t ît ‘ cinquième iepiiié eor^alw^^t'respm^*iT^it|s
et font le àejs^de la hauteur cîu b&rps. 'Lé sêcdnd 'et1 lè^Kpoteièmë
layon de son .male sontr>Epies'i'ougil udmaL'imnt cW^jffiViiîÿ.^tiL^
*; '%mt le secpntl. Le tréfelèine est mi ped -phis long que liÉ^RS^ ils
H^ont gu^e que fe.ûgis -de,la 1 hgmteui;. ■
‘ ''Les dentelures du'qweopercüïè .sont mais as/gz pi-onontlges
et maipai éMfiÈfefte'Mnes: des aumes* |
B. t j D .'p y ^ A. 3/loV'Ç. 17; P. 16;
Tout/ce1 poissoh païifîiPavoir'ëtë arsénié. Ori âpérçbilf le tong!4®
M bàsë^dâiKr^doisale dgs fctdhes'bhitiës‘et blanches à sa partie mû-
neuse, et de brunes seulement à sa partie îfidHé; 1
; îfh tffe-" ilrdï vidét^ #lt II^M^HSe* lÿiéiiè^itn'oeé t ’ t
• * \ÉéWifdiè'dei ;éSixîp(jàëi'dè dfetix ïôbiPlgàùx, loii^s'/ aplatis; tiiàn-
gulsfc®/ termines ëh ^Èfifitfedrëà-aSghë^^li^ pi^iàmxdfeiÇ tiers
de la longueur (de l’abdomen. -
L’oesophagp se continue directement dans, l’estomac, qui^forme
un Ion g; ,çul- de^sac étrqkj^gttsâcup&Ht -presque toutg,jla longueur de
. la cayité abdominale. Au tiers supérieur naît la branche, montante,
dont les parois jSrnïl beaucoup plus épaisses.
1 Lëtre bràïlche eSt^Mitté}'lé rétrécit a^Seloô'rterneîli au pylore,
qui est muni de cinq appendices cceealés, peu Ion gués Jet | grêles}
Le dianéètre‘dél'’mtfi§tin est assezjgwDS : il était déchiré; mais il ne
nous a pasjparu faire; eux- rejffism&
La vessie mm 11 n if»;.(.VivjjuéSc;üi.aIule, simple, plus grossie antè|;ieu-
rementqu’à l’autre eiîréîJM^3 ^ im îip |e externe est fibreuse, ë|®P|if*
•< * ^odïéfir d’Srgént inat ; elle Se -déchiré 'âisê'ibcèiit. ‘Sir secondé tunique
- f sésüîtt^s-iminfee', .mtmbraneusé, opaque. Le; -corps glanduleux qUi
| tjkéoBàtftmtr est assez .grand, e t se obmpoBe d’unepartie longitudinale,
oblongue, située vers la partie nç^yenne de la région jAdomi-
nale. 'etsdonmptde f^.pointse antérieuredgfix rubans ip p e ^ j qui
rjemérçtt|m 'yjsrs le. bouti ant/ripur dg 3à^ ^ § ^ ^.pg ,n tournent dans
sa'concavitél.^ redescendent^ j ln n anst featonnls vers l’autfe bout.
L femellé M 'fo v a îre . uian plein d’ôeufs
l i/ ’Lÿstdmkë'’était rfempli de débris dé coquilles.
; X e PlUSifeBPOME I IM A C A ^ ^
,/ P ristipoma gi^orflga^, pofi. ), ,
JÆ. B.élepgg^^À qui »pus devons jtant de poisbQBS deace
g e rif^ ife% * e cueilli un à l a i ^ t e de Malabary qui^npius
parait. le- gyUoraka de Btissel:.^ p l .|î |i^ |f
’-Se^ÿdrbifes VènTr'très-râÿjA'acnëes de cèî||s'squ kqakàn; iï| e #
seulement du peu plus élevé', ©1?h îë*bord montant de soiF^réôperi
;.u ct&te plus reetifigne «t les écailles plus petites; p|
Ses nombres de rayons sont lesfmêmes.
D. Î2/14 ; A. B/8, -ete. ; | .
}§a deuxième- épine anale est ebd®%é' plu& grosse à proportion :
• sa pectorale ëst bien.pointue. Tput son. oprps paraît argenté;,Sa
dorsalfe a dutbrun nuageux eqtre jës. rayonâ-^sa. caudale est brune;
ÿ autres nageoires ; sont; jaunes. L’analp surtout cons.eEYe longtemps
dans la liqueur un^âlë^couleur jonquille,
Nôus'.-Â’avdns pu voir que.'la vessie aérienne; qiii est Scn|>le»
grànide,; renflée en avant, pointue en arrière, et défit les parois
sont fibreuses et d’un gris argeqté.