248 LIVRE CINQUIÈME, SCIÉNOÏD&S. g
Son corps est.ovale,' assez compriméf sa hauteur, jest un Jpeu
moins.de trois fois dans,sa longueur. La longueur . d e . s a ; • est
d’un tiers moindre que sajhgutèpr. ; Son museau estklourtM ^ -
bouche, au bout du museau, peu fendue, à/pochoires égales. Ses
dents en jvelpurs, sont sur .des bandas étroites^ Le bp u,t du museau,
les. mâchoires, 'le"sous-orbitaire, h’orit pâstl’^ ^ ^ ; -n i a is il jspE.
a sur tout le reste de la tête. Son premier sbiïS-orbitaire sè termine
en arrière par un contour1 arrotfdi,; à ’ peine ’jsén’siblement^denWlé ;
î' è f ïson angle supérieur , aiîbord même dérôFbitéjCobaiB^TlTCài'gtiil-
lon dirige en arrière, sur.lequel croise uii aigiullon dirigé,en.àvant
et donné par le deuxième sous-orbitaire* Le 'ppQpfercuJeî a;*|on
angle arrondi, et un arc^légèrement rentrant au^d£s‘gu&;,fangle et
tout le bord montant, sonu trrès-finement dentelés.., L’opercule
osseux a au milieu de son bord pqstérieW.üncjjeiyilcj^ntê'âigùe:
a'sa base èst un ■rillon'ôu une lim e ^ertiçalè ’firiement' d^^raee
■ comme'le bord même du !pféo'j5êr'’culéf:“il 'd’hrrMre
particulière à son épaule. La convexité' de4phuqüd-és%fm^^^ra!';
sa' dorsale- égale-' et àssez peu élëvéeî(le cinquième de la te s te u r
du e o s}^ ; ses -épines sont fortes : la deptrijfmgletiÿfa troisième de
l ’anade le Sont-encore-plus; mais lajp^emîère, ^ tji0k | 6<a.m'^tL^s'
ventrales sortent Un peu plus .en arrière que fes tPê^o^â&^j.ét» les
dépassent. La caudale, est médiocre, four-ohue c.arii^ s vghiusj- le
. supérieur un peu plus long. On ne compte qu’environ "quarante
écailles sur une ligne longitudinale, et quinze on^seize sur une
ligne verticale, excepté les petites écailles'd:e la base^dé lajcâuoale :
il n’y ën a point sur le s nageoires yeiïicales., La ligne l^téi^ale^est
parallèle au dos, à peu près au tiers supérieur, et marquée seulement
par un petit point saillant H a base de chaquè é.jcaifl^v. .
B. 5; D. ièjSj A. 3 /l;;C.*17'; P. 19 ;
Nbs individù.s, à l’état sec, paraissent jàuriatres et tirant stir l’argenté;
et l’on ÿ voit la tëàCe d’ime bànde plus’ârgéntéeV'qtiï Tigne-
vait sous la ligne latérale : mais M. Leschenault dit que, dans l’état
frais, leur, couleur est grise, légèrement vineuse.
• Cette espèce ne passe pas dix pouces.
|aùë'Hi-P,' xiic-isefibL^PsaBEgî | : < 249
Ou en prcnibtopte d fe n é e j dans la radé«dei Pondichéry,
mais peu abondamment.' Elle èët- abonne à manger:.
Uanthiàs japonïcus de -Blbch (pl. 1 ) est prép
É ^R rit le j^ ^ ^ fn% u e " n ô ü s ferions de* décrire; nous
nous fm ;smTp^.l i ^ si-lrés par 1 înspiédé## dessein sujèï original
r ie p .,n ^& uve ay e â quell|^lgg|p,e,té cet
auteur faisait faire1 j ^ s 1 figures ‘/cSr15 xuême laissé
dans ( cfelle^cijdje trace^du r^^ts-orbîtaire épineux,
et il y . , a i n s i le b o u t du
muséaùi.ét la mimÉoire'inférietpe^. dmcailles qui n’existent
pomfpf?e
* ifM ;^ i€ ' ce pôîs&bn du JapOfi/ maïs êlesf <ïè q u il à
pôù^Ms^pWsbns'Wé qde^es
m’ai|éiîiiip hollandais, d |li qui il/ fé^ am e |a i¥ ‘iè *‘trom-
nasaint.^®â|I f çe,>que d’autres endroits dg gson lijre pou»
rendent plus vraisemblable J que, d a n s . ^on^i^mrajipe,
^ n tX letiqmots ja v a im éM japanes®, il n’y regardâù./pas
de s i^ è s i,..v
Le ^Ç pC Q p S lp E Kt|RITE. .
( Së&lopsides' kurita /mob. y ■'
g Rii^sel p la c ^ d a n s s'GS.sspare^et nommé vrai
scelqpside,, très-semblable aux p ré c é d a s , et que((pous
avon-s même pendant assez long-temps, été tentes dé
prendre pour notre première cependant sa figure
fldànev‘
J '^dès dentelures nombreuses e^'ljç^^^^iSSj^^^/srotis et plus
de concavité à l’arc ’rentrant’ dù pïëopercüîè; le 'corps est au*s|i
plus haut à proportion. ftussel compte deux râ/ohyiimo^de'. pM
:. : à la dôrsâleaet jun, à-1!anale.! Enfin,nilï em;décrit, autrement les,cpu-
- . leurs rle dessus du corps, d’un r.ouge obscur, mêlé do vert jaunâtre;
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