2 7 2 livre ciN%mLÈvyEà se iéNiOïd e s .
Sa figute,à la yériép,; montre :
D. 11/15 j A.' 3/9.'
Mais il èst |||bl)able quec^elt au te^teVqu’ô^'ddit s’en
rapporter. Le premier rayon, simple d^^^^^efeoxale le
seul qui paraisse. à l^ ^ é sur- la figure , ehjjhyïfei» dit di^p le
texte qu’il est cTouble des ‘autres. M. Carïqiçhaé'l rapporté
a s'dît" poisson le sparus carponemus de la .cdMêétion de
dessins de, S.- JôsèrBanks ; mais ,gfe®üne „ jgéB«US& vivrons
plus loin , dest e'nçpïéune autr^Ssp.|net^ s ;
L e ChÊILODACTYLE-A DaiGT;ǧURT: DU ^GÂP.; -
- COheilodactylus brdçhydtâçtjdiès,
Cette espèce habite aveB a lAhremiàte^ et lui, ressemble
pour les formes ; mais ' elle demeure dans dejjââ^^nsions
plus petites ,
t‘ ét seTldistingue par d’autres nombres dé.rayexd&| et Auft6©#Sÿa|&îa
brièveté des rayons simples lâr’pectorale. Le deuxième et Je
r troisième,, qui sontrihs.plus Ipngsf,.ne" dépa^-i ni h >
: que d'un* cinquième, et sont erfgajpfSdans la membrane presque
jusqu’à leur extrémité.
B. 5;D. 17/Slj A. 3/9’j fi}% ; P. 8^1 f j
Tout ce poisson est d’un brun verdâtre, un peu plus, pale^en
dessous, et sans autre distinction de ipouleur qu’ûrie tàclié /triangulaire
noirâtre immédiatement derrière l’oeil..
Notre individu h ’est long que de quatre pouces.' .
Il a été envoyé .au Muséé royal des -Pays-Bas narM. Van
Hoiétock. MM. Quoy et Gaimard en ont eu d’un peu pluf
grands, et toujours au Cap.
CH Aï». X l I I . CHÉÏLODACTYTÆS* 2 7 3
L e CHÉiLofiAcuiYpE,‘A lonS d o i g t p p l’A u s tr a la s ie .
(j&heilodacqfôtis jjéacrdptera, Bl. Schn.)
* > ^©»’ ^ 0 ^ 6 - d'eux l^ ^ ^ f e ê ^ e c b n n é is s a b le s de chéilo-
'dâélÿlës^dlùs les RéMÊdi1 màùfiJeÿife’ de Forster, conservés;,
à la BibMÂ'èque ?^^MaÉi0ï Toutes deux ont été
f a i t e « 1 aSp u^e ïlé -^é lM ^ ^ ^ b fe të f -lés intitule, l’un et
l’autre 'jéioena macroptercfj et ^ ^ ^ u r l’article qu’il avait
leur sujet d am ig | papiers, que Schneidé* a établi
Souï. # ^ / « macroptera ^M îa dessin semblable de
ParkinsenvÆb dams: la baie de la Reine-Charlotte, .est
intitulé sparus carponemus. - Le poËstm q u '4 ^ ; figures représentent vient de nous
être envoyé du pbrt du Roi-George, à la pointe siid-ouést
<3^^ËlSivellérHollande, par MM.-Qtioy et Gaimard, de
leur expéditipn .a y « le capitaine Durville.’^es' caractères
spécifiques.^ont fort distincts 4'§i%Yx du <béilc>daetjfï à
bandes-.!;,
Il a'^sèpé'râybn^ .amples à la pectorale, au lieu de cinq; et le
deuxième est si long qu’ib prend prèsïdu -tiers de-la longu-éur du
poisson. Les mâchoires ont une rangée de dents; coniques,‘petites
- et mousses, en dehors de leurs dents ©^velours. Je compte distinctement
six rayons à sé& duïes. Sâ’Morsàle<xfa que dix-sèpt épines;
mais ses rayons mous s o n t - au nombre'de trènte-un.rL’anale a trois
-, épines et dix-neuf ray’ôns mous. L’opercule f e i t ,en ang b oMns»
B.‘ V; D. 11/31 ; A. 3/19 5 C. I I 3 P. VII3 Y. ï/5.*, ’
Notre individu est l l ^ de’dix-sept pouces-
Sa conservation n’est pas telle que nous-, puissions juger de ses
' couleurs ; mais d’après lés dessins et la description de Forster,
1. Bloch, S yst. 'posth., p. 34à.
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