296 LIVRE CINQUIÈME. SeiÉN©S®l^^.
son. Bloch lui rapporte: particulièrement la figure r i .0 6 de
TValentyn et la figure 49 • de ;Rènard, qrie ces deux, écmviainS
disent être celle d’un poisson appele aux Moluques ikan-
jô u rd a in ; mais ni 1’uriè*tfliBasutr e n’adâ même distribution
d^^oureurs^Sur la queue^A&est, plutôt ’notre ampliiprion
xfXTÎtfmrüs, qui-est représèntéidrins Renard, et. il-semble,
qrie la description de Yalentyn^( t. I I I , p. 34gi ^convient
bien, davantage; à notre amphiprion potyrhnus .qu’àfrs&lui-
même gqm’estupas -unç espèeê^ ou variée particulière*
qui ressemblerait, mais plus,en grand, âpnô.tre amphip
rio n p e rcu la .
. ; L ’ Am P H I P M O N ; ■ À LA R G E SVb à NïB E S .
{^Amphiprion laliclaviiîSj nob.)
i * i||b^us ayons reeu récemment d é lk ^O u y e lle: G u i n ^ j pa r
MM. Q u o y e t G a im a td , d es in d ivi dris^ ti^ s ^ aMbl abl es II
;è|; bifa$cïafius/ |
1 si- ce n’est que; la deuxième bande y'Jest du doublé''ôü du triple
• plus'dargé^^^une.^u mpins moitié de’ladonfeuéuÿfff|fla dorsale,
‘ "et se termine en s’arrondissant bien avant d’av o ir^ t^m 'l’ariüs. La
première bande‘‘est aussi, plus large, et couvre Ta uùquë, la tempe,
les trois piècés operculaires, et tout le bolrd montant riu-preriper-
cule; mais sa caudale est comme dans le hijasciatus ordinaire; et
nous apprendâsf par les 'noteS de ces Messieurs' que ja&nc
qu’elle;êÿt Tîsérée. La poitrine paraît iéfoins brune que Tè rfsté'du
corps , et dans le frais elle tire au Verdâtre. ■
D. 2/11.
Ces poissons n’ont guère que quatre pouces.