sumier nous en a aussi rapporté’plusieurs, e t de la même
taille y-de la côte dé Malabar’f^ o n il s e m b ou-
chure des Tivièrës. Ce voyageur le dëçHt’ comnte d’un b§un
clair avec des,bandqsvertes..
Lé squelette de ce méléagris diffère à plusieurs <y$rds0de ceux
; des espèces, ordinaires. Ses vertèbres abdominales . sont au n^ip|)re
. de dix-sept; les caudales d e quatQ§|^ L’apqphyse jépmeu^èj.j d.es-
; çendante de la première, caudale, poTçte à dlq seule les interépineux
des sept premiers rayons de l ’anale, qt qegim^répineux sonl ilirjgï’S
. obliquement en avant, en sorte que le ^ r e ^ e r ^ .te e soer^y<uisr se
trouve viSi-à-vis la huitième ,y ertèbye- abdominale. Il n’y ,a que
; dm \ inirrépiceux sans ia \on s avant la doisile. .Lds •ciibi(.al;)est
plus petit et plus-fortement éc^apcré, le spusy„orltitaire antérieur
... beaucoup plus éleyé. Lalcrête sagittale se.porte beaucoup;plus^en
avant enUe les yeux* .
X ’ËTitpiuJa i ai. imSKs B^
(Etr-oplus maculatus, noby ChoetbderijnfâXûlutusj B l. j
(jrlyphisodon- kctkaitÿël, Lacëp.'J b<k-
Le kakait^sellé1 de Tranquebar ( chætodoji maculatus
de Bloch, pL 4ay)|’, d o n t M.;de Laaépède a fait s~gdeu|ième
espèce de glyphisodon {glyphisodon k a k a its e ï^X \ êp,,ii/|j%
mè p araît, si c’est vraiment un glyphisodon’, devuir, à»c;ÎMLse.
d u nombre dû'très ^aiguillons, appartenir au même p etit
groupe q ü ë îè ' précèdent.
Il en a, en effet’,, à peu près autant (dix - sept- ou dix-huit, à la
dorsale, et onze ôu uouze à f anale); mais ses- rayons meurs, sont
beaucoup moins nombreux (hiiit ou neuf seulement à chacune de
, 1. Ce nom n’a-(41,poiat-quelqne rapport ave,c celui de Jcaitcheil, que les.ophi-
céphales portent à la cote de Malabar?,
jjtrsih., p. ?■*
' ? 'tifs n'ag^îj^t|sÿi'a ûgiu’e lui Ootiupje long dé la ligne latérale sept
oM?wmflp- *. d’o'pî- l,,u|ffii“|)iar[i,',otp’rpl()ngen#eu haut et
ej1 •] iS?’éu . ptpbs'cmili^çs. ,et iju^'uses, le, touWsur un
, brillant.
Tl qîi’iuy a’imw l’jall.t riait diëBloch quelque confusion
sur espece’. Dans.d(')n nrAhofôotîVrage ( tr'ad. fr.,
î 2.e p art., fo a jl w ^ iâit liguT}i;‘\^ v faire*®! gran-
'd'eÛT1 naturelle d’aprespffii individu çlpyo**t$Ue Surinam ët
q u ib tro u v è re o n fo rm e à' nun ' dessin tmoitié plus
p e tit, fait a Tranqueml. p |p 7 Jo h n \ ilgc0fl«lut3Î,de là que
là‘àpèècjVsdrl*es*’deuSMb’hfêi'no‘ns|-;b{L>ïl('ajp(ap que §é|Pdehts
î||n t én !forme de* s^içtÎT i'^ar^^ô n ’’Sy^reme posthume
il’ ti ^^^plus Vpuismm tl<||Suï.inam: ;Ôes up poisson
d -(louc(’s ,dq*i(Jo,romandef, et S.chneider le
d4®ri|^eorniiie, ”^ > h td e n ts v jc p T n p rim é e s e t trilabéps ,
Ic.^fyg.l^tdfieuressî^lâitlignev latérale! irivisîblé>j lès*
4$aille% grandes, rhomboidaiesy eelleâ/du voisinage de la
^fljsale tl eXrüh^’^WlÇ '
que. Bloch a e u sifcb^si^ènrétit deux
jptfiâspls d^Prens sohs'ft^'yéux, |M que la fois il
avait été tromp'è sur l’orîginé-''depfllui qu’il a représenté,
pt ïu,®e4^ u ’fl en 'avait mal! ëfâînihé ie é^ èn ts.
j,M. idè|îfeà^épèdnf%fâ .apë^td^aucunëî^ulë %è##difficultés,
et 's’ë ||' ^brn^^ÉComer1 le premier af^Èlè de^’MBpçh^ét
•Sha’w' a ^ ^ ^ S om m g f ui.
Pour n'i'ii’S^âest^ à la description expli#ce dê-Schneider
due nÔT^ ^©#yong devoir nous, en teriid, et ayep d autant
p l ^ d e conhanoèy que nous. veû ^ l.s de ^ncqyoir de Mahé
un pplsipu- qui^avllôu te s te s dormes* du sien, e t n’en diffère
, pour ainsi dire y que par les coule urs.