fig. iSQ^^Dïine au poisson quelles r& p ^ én teu t Wu©iQ de;
l'autre (.Amb., t. I I I 7 p. 3£>5 f'fig. a5*) d it,:qu’iWap-
peîle eu malais; ika n -wa rn a e t v v a rn a -roe p a n ja ,€& s ^k
signifie poisson téméraire, et ajoute qu’il est blanc, duïy
meilleur que la peidbé, ë t qu’il rie cède en rien aux poissons
les plus exquis.
DES ^ IÉ N O ÏD E S A MOINS DE SEPT RAYONS
■ B B B M H B I ■
C H A P IT R E X L
Des Lobotés.
A la teffe ‘de ’ S ^ c i è hW à moins d e’sêpt rayons branchiaux
nous plaçons un petit.©roupe qui n’en a que six,
l | l ,qiii,.,s| distingue par un m ^ sp u éourt, une mâchoire
infi^m-Pê-quo éminente-, un chanfrein u n peu concave:et
d e trë sd n k e s dentelures auL'prëopercule, et surtout parce
que lés parties moles* J e la dorsale et-de l’anale s’alohgent
en p ointes' bbtiisës1; ce q u i, avec la caudale arrdndie, fait
paraître la partie postérieure du corps comme divïsée ën
trois lobes,': leur^elsemble est1'ovale,’ assez épais; les épines
d a «4 c sont celles- d u d o ^ p p e h e n t
en partie.entre les éçailles. Ils1 n’ont que quatre pores peu
pyofonds, .ou plu tô t quatre-groupe^de très-petits pores,
vers le h é lit de leur mâchoire inférieure.
L e L o -B d ïE ^D î; StfRiNÀMV;U
v.(LoBotessurinamensiSj noh- ; Ilolocentçps surinamensis, ,B1.,
pli Bodianùs îriurus, Mitch.? pi. 3 , fig. i o l |i%
iB l 9 ,ç h ë n a j44®Àt
avait rgçue d ^ u n n am , et que nous en ayons fr£<pe également
par feu M. Levaillant; mais elle descend, plus loin au