2 4 2 Lltit® SQfÉNOÏDES. V.
en a vu un d e treize Ipouces et pesant vingt-sept onces,
pris su r;î la côte dë iNew-Jersey, près de Powles-Hook;
mais il J en a de plus grands^, et qui pèsent quatre'vôu.
cinq fivris. Q ê ehëtiïs ! d u pays l’appellent aussi
black-grunts ( lab re;,n |ij J. ^
L e L obotes pjps Ind.es.
( L o b o t e s erajfé; nobs)
]\L Leschenanlt nous a -envoyé de Pondichéry un de
eësi lobbies., teUement ;sènibiable à celui: de Surinam,
mêip# p o u r le blafeÉ du bord ,4« la et pcmrJ.es
points p â lffia e s écailles et la couleur jaune dfes pectorales,
qu’d n ’aurait bien de- la peinera soutenir q u il en
différé par T è s p j i ^ ^
' ! ftctus lui trouvons seulement les dentelures du préopercple u n
peu plus nombreuses et plus égales, çepss, de l’anglf ïd|,pass|uit
jnoins4es autres.
' ^^Totre individu est long de quatorze pouces. Ü y, ên a de dëûid
■ pieds, ' V > ' :
go a squelette a treize vertèbres abdominales et onze caudal.es,
. H n’y a presque point de cellules à son..crâne, si>ee, n’est.Aei]S; la
tempe: I^r crête mitoyenne, est élevée, et suivie de fcrpis interépi-
neux sans rayons., en avant. de; là-dorsale. LesJnteEépiiietfr. *dgs.
, aiguillons: dorsaux ont chacun' une lame large d’avant en >arpiëre ,.
: mais mitirt»: Les cubitaux sont peu développés- et Mès-^h'anérés.
L’anneau des sous-orbitaires est fort étroit,, eÉcir+ 5
O n nomme ce: poisson jàt/Pondichéry ' é ra té ; à; M à h é |
eôte de Malabar , on l’appelle, ;selon JVL B élenger, qui
nous L’a .envoyé d e ce -port, bio-coindaUou. Dan,s Jétat,de
vie il est d’un bru n violet.
: MM. Kuhi et Van Hâsselt en ont fait peindre à: Java un
CHAI». Xï. LOBOTÉS. 2 4 3
que nous croyons le même, mais sans consigner son nom
malais sü r'fe lr figure.."
]ls le représentent violet, marbré de hnm-viôlet. La-dorsale épi-
peuse ^ ïb îuW i marbrée de bruni pMs foncé. Au bord postérieur
delà caudale!est iiix-liséré noirâtre, suivi d’un liséré blanc.
M,. Dussumier 5eii a apporté du Malabar de beaux et
grands* échantillons, {
Ils paraissent d’un gris brun, q u ig ||om p o s e d’un foud argenté,
avec du brun sur chaque,'éqaiïlfe, mais-inégalemént distribué^ Les
‘ nageoires grisés. ' éxc‘êp|e, de s^ pcto^aleSa qui tirent au jaune,
La càùdal&n un.’ ruban- brun, parallèle ^ |o n bord, .qui. est blanchâtre.
Ils s o it .longs de plus d’un pied’. t
’ ' M Raynaud en a rapporté de semblables de Trinque-
mtjlê, d^hs l’pë 0 e Ceilan.
L e LoBOrT®s pE; Farkhar.
( Lobp tes,
Parmi;‘ffes peintures faitesv.à Malaca. popr le major
Farkhar, nous ,trouvon§‘une figure ^trè.s-Lreconîïaissable de
peu près de la forme de Yeratç*
(inàis;.,.un peu plus haute à-proportion, à.dentelurfes prépperculaires
- bien plus fortes.^etidont la teinte générale est noirâtre, avec un
• bord; jaunâtre-à. chaque écaille. Ses nageoires tirent s^r l’orangé, et
n’ont bi taches ni marbrures.
Il est probable que c’est u n e J s ® e ; particulière, et
nous la m commandons à l’attention - des voyageurs. Son
jaom malais est écrit .(d’après l’orthographe anglaise) eekan-
pe-chaprie-o.