Le P 0 MAC ENTRE PONCTUÉ.
(Pomacentrus punctatus, noî^),;,
On doit encère^ux recherches .faitës à TIsle-de-France
par MM. Quoy et Gaimard j un pômaeéntre qu’ilsnpnt
représenté planche 64 , fig. 1 , et nommé pomacèntre
ponctué. Il se distingue fortement de tous %s précédons
par son* sojas^orbitaire, qui est plus haut qu’à ,jaucun d’eux, et
presque aussi haut que large,"et de figure rhomboïdàle. Tout le
bord postérieur éiï :est distinctement dentelé en scîe^Presque toutes
ses,dents sont sensiblement échancrées.
D. 12/15; à] 2/13^1^81 ri] P."lV;.f:i/'5/ s
(C’est un^grand«_et belle espèce, elle paraît d’un gris'brunVtowei
Ils pàrtfSTde sà tête sont irrégulièrement tseméés derpôim&mêuâ-
tres, inégaux; mais sur le résidu corps ü Æ régulièrement un
' ' point au de- t&aqUe. écaille : il s’en porte aussi quelques-uns"
sur les bases de la dorsale et||f| l’anale; mais les âutres^nageoires
n’en ont pas. Sous la fin de la dorsale est une'tache ronde, ndire,
■ entourée du coté du corps d’uni deôïi-cèrcle bleuâtre.
L’individu est long de près de cinqTpïïfc'es./ '''
MM, Lesson et Garnot ont rapp^rt^la mêm,e esSc^',
de Bolabola, mais en échantillons, plus petits. Sur 1’,un
d’eux Tocéllé est presque gffâeésf^
r G’est très-probablement cette espèce'©u. une h-spoqè.
très-voisine’ que Forster a nommée choetodon lividiis, et
dont‘ïa!description est' irisér éév'sdrtiS ,'ée ;nom dans le Système
posthume de Bloch (p. d33 , n ^ p ) . 1
On lui donne une seule'série de dents, le sous-orbitaire fët le
â préopercule dentelés, Ik/corps ovale,la queu^fourchüe, les écailles
larges, ciliées; la ligne latérale finissant avec la dorsale, et les qom-,
■ bres suivans de rayons.
B. 4 ; D. 12/1%;A.' 2/18; C. 18; P. 19; Y-1/5. „
Sa couleur est plombée ,;-^|êc^des lignes de points blanchâtres du
côté^dè la queue; Toutes ses nageoires shfit blunes.
Forster l’avait observée dans la mer Pacifique.
Le POM»&Hpmi &>■ FRO'5{T PLAT, owBetite-Jaquette
’ DE LA-MARTÏINtfd'UE.
(PomaceQpriçgipianifrons, nob.)
Les côtés orientales de l’Amérique V^sèdént aussi des
pom^ffetres, et npqs, en avons un fort semblable au négrillon,
ërtvp(|é pai’ M Plee'^la Martinique!,où on l’appelle
vulgairement jaquette. '
Il a du grands rapports de«forme av,ec -le négrillonMa dorsale et
spn anâfejsamt plus pointues. Sonpr@n)|, depuis le museau jusqu’au
crâne,' Istr à peu prés* rectiligne, cg qui n^usTarait nommer poma-
^'■mi^È^éw0àmfrorisï La ’p®î|tLhn nue,dë*‘sà queue est extrêmement
•■'''d^TarW1^. "
'B i 12/15 ; A.# 1 3 nC.rl^ etc.
, IMcs la liqueur i f est brun |i^v'e'c‘ une’ <ta|Me ‘noiiref dans l’aisselle
clè la p ùWè ^ S f e t p e u luV ^h 'a sè J et1 une* rfut're suu'fe dessus
d e là queue îmüiédîâtlmérit de'm'èr# la' dbSlIïitÔWap^^S^qttel-
qüès' taches plus palès d u ^ t éM é l’anale, âïi1in^5M"' de chaq'ue
’ 1 écaille; ■
Cest’Un petit poisson qui ne p'assèpas fàpis pouces.
Il est peu estimé, l’abandonne, aux,- Régîtes;, ; Il
faut remarquer quéMee nom de jaquett& kix- aussi donne!
par ntof^chions’ à un glyphisodpn| etqu’il’ avàii^dlp^été
appliqué amtr dès le temps ' de-'Marglaÿ^par les Portugais.