362 L|VRE CINQUIÈME-. ,’S-.GIÉITO'ïlïES»
par les deux ocelles de sa-dorsale, mais qui n’a pas 1'«^*,Egales «lu
front, et qui se distingue d ’ailleurs aupremier coup d’oeil pat une
bande Verticale blanche ou bleu clair, qui descend ’’des quatrième,
cinquième et sixième rayons de’la dorsale Jusqu’au quart inférieur
de la hauteur., Le fond de sa..-couleur parait -d’un brun tirant au
violet. La dorsale et la- caudale sont jaunâtres, avec unJiséré n@i-j
r&re. Les ventrales et l’anale sont noirâtres; la pectorale"est,grise.
D. 13/12; A.‘2/12,<ete. ' _
Nos individus ont depuis un-pouce jusqu’à^^^p^ët demi.
On l’a aussi de lilp' Yanicolo.
Le G lyphisqdon p o in t il l é . - -
(Glyphisodon punctülatus, nob'.fy'h
Les mêmes voyageurs o n t -encore Iro n v l ll t E il^G u am
u n e charmante _ p e tite .esp^t#!|
qui a-deux‘ocelles placés comme dans les deux pie<-<'denies,' in ai s
qui manque de la ceinture et .des lignes d u jio n t, el oui?0>£utes les
écailles du corps ont chacune pois petits points bleus-sm leurfënd
brun fqnpe. -De chaque côté, du museau sont Éjois lignes .'bh'iùe.s -,
dont la mitoyenne se prolonge sous l’oeil. La caudale et ;!a partiç
molle de la dorsale paraissent jaunâtres. J J anale - ët les Jgrata-jdi ~s t s.o-ti t
noires. La pectorale est grise et a une tache noire en travei -, de sa lia se.
D. 13/12; A,. 2 / 1 3 ,^ ^ g
L’individu est long de deux^ppjlçis,
L e G ly ph iso po n d é B rownriçg . .
(Gljphisodon Bràvtnriggiij nob> j GhætodonBf'OVVnriggM", Benn.®
I C’est.ici que nous croyons devoir placer le petit pois!on
de .Ceilan donné par M, W. Bennet (Poissons de;Geilan,
n.° 8) sous le nom de choetodon Brownriggii. Toutes ses
/ e-îf^P; XVIÏ..^YPHISOD‘ONSJ : 365
ûppaTeù'ces-*e l -même %i^^>Meu-r9,îsG' rapprochent des es-
^.è'èoSVqfiie 'bous' yèiîôftS de-ïl'é^lîet1 *
Il'ësi.fhlong, Æ,couWi iuangj e'p^dojjiïé le dasdepuis le front
jusqu’à^Bcaudalé et> la b ^ . do la (lot^ ^ qmf^dnt^d’un beau bleu,
Lî p u lie îuo^^dëd.Ucloj sale "soûl dans le bleu deux taches noimsj;,
uik-an&w^yret peliie’ el londe j;*u^^^}ërieiirpplus grande etyqr-
", ’1acàfeî&èntJômmg|ie? \
* } M’. Bennet comptées-rayc&Si-comrn©‘’il- suit :
..-■ Mais nOustjdjAU'lans de quelques-uns alrcés’ bomb^ i ^ T
lin e [irfssnpa.’s*(ïeit^^pw-ueès'.'ii '
LdR,Gi^à^ÿS^pellents«^«-'£<zrfZrt^#z ( ü‘Ôis's_ofej|||n e j .
Le ‘ ( î -
Jusqu’ici np^s :h%Vohs.rêu que^ps^gfypffisdd-oifs' à'deux
épinqwha-feè. Il-,en e'èislg^c&p^-hpant g u l^ n ont- troll, et
telle S une éslpêdlMtïè lfe’ Cabinet du Boi^ija^hq autre-
■jfa de-celui du Stadhouder,jet que-nous appfekms gfypJd-
tipdqn à. bouche nûir-e,r
parce qù’â ’a JiP| ’» ^ ^ôiit dû eprps
mbirij-dèl qufe^'nous le voyc^s^'dlns la lrqueury'd’jn ijâu ig
D. sl%i|;Æ.B/12., rte.
’-vSès-formes sont d’ailleurscehes'i^ l n b i ’‘!prërriièrës espèces, du
- rdhti, du 'bengülensïs? < ;
L’individu est long de troiti&^8e@ÿet demi.
r.u î$pus ignorons son origine. .