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qu’il donna dans.^ou Supplém^nt**^ "Vf pk
p^ése^t^ cette espf^ÉîSÊXUsr le îaom âe.fhéiloé^pt&m .aigle;
no|% |maàgr^rqu ap'gaîBtiept; aujpjiard’BAa»iss'kl6^ie^
le nom de fé g à ro^lequel n’a été jusqu’à p<gésjâ|ift mentionné?'
que par Bélon-,'mais appli^sé, majJl propos par lui,à une
espèéeibar^iu^com me l’oimbr i-m-ei&tsi1 anéme Mq n’eùeteÉËi pas?
ûùè Var^Pifje-, suis> ^^E-i^du fait pap-J^Viviani, payant;
professeur d’histpire naturelle defeé itte ville par M. Du||
vau;efel, mon beau-fils,* qui m’a épÿoyéf;'dip.ns le téMp|§&®‘e
tête' sepaç,ée - d e fé g a ro , parfaitement identique a^qê^Éèlle
de -notre 'maigre.
On nnimn% e poisson à^iipe jffigfu. M. Ri^s© ra^d©^rijt-
êjg- représeat^^ ^dansiipa. premi^% éditioît^^a^ 4# nom?-;d%
persèque vanloo \ mai®sa*^emarquve® |^ à |;ï||^ ^ ^ j^ ^ e !C
eeu^dont avaient, pâiiép^jpréJéj^s^uÊS;, ,^^enA)nnant
à la première dorsal,é^®^|énb^ra^Mp. peure*a©i|e-vJ^epuis
loi« M. Rifàt pétant à jKark-^a breoïi^^ff%iu^^pers‘èque
vanloo- dans deux; maigres?. qp,e - feu l^el^feiïLd^ l’i®É des
préparateurs du Muséum,' venaitide rapporter? <àp^Toulon,;
i t dans sa, deuxième édition (p. 4 11) il n^âstee? l?esppcfe.
scicena aquila.
Qu iref énualt dans tes] couleui^Brillamtes- qu’il lub afctsri-,
bue, la justessp.de l’o b s p n y a t . i n S . 1Jrjl’éc]at;rgH<&.
lesî^aules du maigre prennent dans la Mediterran^ë^i ■
J’apprepds par plusieurs témoignages dignesdeiMbiy que
le maigre porte encore à Rome le nom d umbrinagfç,o mme
auq.seMème siècle ; mais je suis certain, qu’il l’y-parfage
aujourd%qi^>y,ec,1 le, corb, que j’y,,ai-acheté ^sops^çe nom,
quoique' du temps de SaLviep. il s’y nommât eorvo de
} . Ichtyologie de Nice.} p. 298 ,_pl. 9, %•?$%'
' e p ^ P i 1 . sgi-èn es , p r o p r em e n t d it e s .
fortiera: P eô ^ tr^ â tjt% ,tran sp o sitio n de nom existait-elle '^4 B WiUugbby,; et a - t-e lle , occasione son
ik'&e’ftitude sur ^§,*d.eux paissons*
Il Ëi-âêt-que;dans, las, Méditerranée c’est surtout le long
™:^i,dmuk-es quelle maigre se propage; vers les
.éfewi^p^Brtîieflaales de**etteqma* on ne le voit guère; que
tr^ g p lp d . A ^&^ne^bà il n’est pas rare, il serait impossible
d’ebiavoir un p e tit, à ce que-me mande, ]$■ Viviaui;. mais
Mi Saint-Hilaire-, n otre .collègue, en a rapporté
un des^têsi-d^glqi'te qui, n’â^qnun .pied de long.M.Ek-
^ n b e r^ e ÿ ^ ,^ s iK ^ trb |4 4 .p lu s ie rp S î de&.celte taille près
da’A l& n d ï^ -.P e u t^ te J c e tt.e ^ fe ^ s tâ n ^ ^ x p liq u e ra itre lle
H M H y R | que ,f4 ^ f lo lum e llS u ^ ï|e s ’, ombres d ’Italie
4e t 6(#êSi d’Afriquei» {punicasquëÆ in d ig en ts timbras) : le
maigre -seraitïoi^bre pumqUq,. efcl|-<|orb' Nombre du pays'.
, dii aséft^ ^ m n iu u sur, les cotés,.de
l’É ta t-R -Q ^m ^ iïiTM ffl^ pr&|iailA|MfiOup, selon Paul
l ^ f f i u x ’ e x ^ tu é liU f ê ^ ^ f le u v é f ^ a y e c d e s tu r g e o n s ,
etf^îù il p o sait surtout pour être, excellent- aux jours ca-
n ic u l a ir ë ^ f ip que d it SalvieÈâ Le plus grand; nombre y
R °ndSÉ®t, des envirpqs 4è
Ë-aête j q d S ^ k sJ # # e ^extrémité d e sp o te s de l’Italie;
,ètî eëjlàê particularit^^jtpèorde encore! as.sezôbien a.vec la
goàjeeture que le pnai'grevps.t} le latusj car dans des vers,
c ïl|l\p a r A tb é n ^ ip jY I I , p.jdi 1 ) Archestrate d it que c est
le détroit de SçylLa qui possède surtout le noble la tu sj
ce manger merveilleux..
On Y'0;it par* Cetti? qtÿpde maigre habite, avec,.le. corb le
l o n g - d â ^ t e s d e Sardaigne^ù? l’ombrine. est inconnue.
lb y .en ,a-,Ie long, dçs - côtes ,d’Espagne sur l’Océan :■ le
Cabinet du Roi. en possède un petit, provenant d’Adanson,