LIVRE CmQüüÉME-.. S.CIÉ^0l*DE%-
- rdc r beaucoup *la plus l'obguerjî.4sé»ip:©'la premibra dorsale, etj se
. couihant un peu obliquement, suit la longueur du -iÿiliëu du
. corps jusqu’au bdut de la eaudale.. .
Bloch, qui a: établi le gè&te>equeSj a d ‘onné^f<^t;te'fêà-
pèqe, la.seule qu’il connut d%bord,le noîh dlamericanus;
ipàis cpmnm toutes les espèces connues viennent
q u e , n©us>éÿpyOns d # ^ l|É f|L |jpK q u e r une- épithète -plus
significative, et nous l’appellerons- eques balteatus. |
Parra d itlfu ê ces chevaliers, owserranas, ô'dmme iMéi
a p p e lle v iv e n t au fondfpjp la mer; qu’on en ptendifeâre-
menb;uHÉ;^pie les plus grands n’ont' qu’uni quart dé. va-re
(six ou Sept pondes?).: lis sé mangent.
L e C h e v a l ie r n o ^ c s s p É ..'-i
, ( Eques'puiîciaïïï'ii ‘ BI. )
La mèrtdeslAntilles produit encore une espèce de efie-
vahe]}. tr-^vcisine de la précédente/qui partage avec elle
à la Havane le nom de serrana, et dont Parra (pl.^fig.' 1 )
à àu&i!ldorüiô une figur|||que Bloch a .reprodurte'Ÿl^r^
tem a , êà\i. de Schn., pl. 3 ,‘fig.i 2). ^ püs l’ayo®®p^|^ de
Cuba par M. Hesmarest, et'M. Plée frdïts la envo\éc.diè
la Martinique, où'elle ^est connue du peupfeWuI^lÉB.om
dé maman-bàleine, sans 'qu’on saféhé &■' quoi àttmfôSer
l’origine~dfe ' c'é nom ridicule.’lr '
Sa nuque est plus haute à proportion que dans la première
. frespèce,, l'ouï son corps est d’m/brun.noirâtre trèsr&um&i et aide
chaque côté cinq bandes étroites, gris„es, dont les trois mitoyennes
. jremontent vers la première dorsale, en_sorte que4 feur dSectron
tieqt de qelle du grand ruban de l’-esspèce précédente. On peut dire
meme‘que ce ruban ÿ existe, ainsi que celui' qui le précède ; mais
o» a peine à-les distinguer sur un fond presque aussi-obscur qu’eux.