540 LIVRE CINQUIÈME. ^’S’CIÉtfOÏlTÈS./^
Bes [sacfs à ovaires, dans J’iqdividii ,cgute nous avtan^idisséqîuîj:,
étaient petits et rejetés vers l’arrière de l’abdomen ^^cèifïiMIdescen-
dent presque verticalement"pour* déboucher, derrièred&nus. -
La v es.sie'aérienne. èstjgraade, simple , très-mince . non, fourchue.
Les rein^; sont ,grps et nccypent.seulement la région supérieure
-de- l’abdomen^ '
La crêté mitoyenne du crânjl'est?taes^êlevée-dans le' squelette, et
les deux- crêtés intermédiaires viennent se^j oindre en airâffeâSsa
, J“bise. jEntmiaétte ,erête etjle premier 'interépineux de la dorsale il
y 'a trois interépineus; sanSe ràyôù'^Msv vertèbres sont 'au nopibre
de vingt-six’v dont lè^ onzé premières apparti'enhènt“âfl’'ab‘domen,
et les'-treds -dernières s’uhissënt pduP'fôrmér l’éventail 'qui porté la’
- caudale. Les’ dotés: sont grandes Æjbnt "chactine -s une -appendice à‘
Irarifêsh; La douzième vertèbre, qui pre^i^éecaudfde:,', à
une'apophyse descendante H élargie^ de droite ,^gaU&fae,- .à laquelle
est-suspemjto'un très-fort interépineux, qui-igr |||jty « r s le bas,jpf?pr
il a a e m i ^ e côté un ‘fort ^sillon , et^enn^orte les deux-épines
anales. Le trdtrdu cubital est Fort petit- ^OTrîu^pàBikl' î?e!Pjmoiu&’
Le eoraçoïdien descend-fort Bas," et est-plat et ppiritu. rLesySs du
- bassin forment un triangle isoscèle, deux fois et-demie plus long
que large.
U j a dans la mer des Indes plusieurs gly?piaisodons: à
bandes. verliealéssét à deux épines ^ÿ#âhîale^rérè'Ssdii’liE.cilès
à distinguer du gtyphisodon saxatilis de Linnæus.pttms
ail ©% les décrire successivement, après quoinotfselsâye-
rons d’en-fixer la nomenclature.
CHAr. XVII. GLYPHÏSODOXS. 341
Le Glyphisohon rahti.
I r yOdi'Ji^iSodSlVétWV^'h n0^-H
Le preMier dfj&@|i glyphisbdonSÉ|Mbandes -les a aussi'
au n om bre dfe cffflq, mais u n p e u au trem en t placées que
dans le saxatilisï
La quatrième- prend?* Sé fta deuxième moitié de la partie molle de
la dorsale, et vat jusqu’à l’anale, et »la cinquième est au.bout de la
1 ' pârfie nue de laqueuk Ses Nombres sonyles, mêïnesque dans l’espèce
••d’Amérique, et il lui-fesseinble par la forme-autant qu;il est.possible,‘
seùlemenplesous^orbitaire I étroitidAnsilkm et dans l’autre, se
rétrébit-à propoption*.davantage» en arrière" dans l’espèfceï des Indes.
avions^ ce f poisson de l’ancienne collection du
§Iadho'udejy M. Ebrenherg l’à Tapporté de la mer Rouge ,
et MM. Qù’oy e t Gaimàrd dé Java, de Célèbes et .de la
.'K©.uvëlle-Gmtf^|. (.Ç’est,probablement aus§i l’esuèce que
M. Ruppél indique (atlas,'p% î^ \sf p. 35) sous le nom de
s& xa tiû f e t qu’il dit sé’vnompier g e tk Mohila^. comme. le‘
gtyphisodon sordidus.
Le GLYPHisoDok de W aigiou.
(Gtyphisodon waigiensis, nob.2)
Le deuxième-est beaucoup plus comprimé, et â^le museau plus
court-j sa* tête étant d’un quart plus haute;.que .large. Il est aussi
plus court dans sa totalité. Ses -bandes-'sfent plkcees'de manière que
la quatrième. prend «^.milieu de la partie molle de la dorsale, et
que la cinquième est |q r le milieu dé la partie hue de la queue.
MM. Quoÿ et Gaimard eu ont rapporté quelques indi1
. Rahti-pdia, Russ:5-fig.86. , X n
2. Quoy et Gaimard, zoologie duYoyage de Freycinet, p..3gi.-